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  • Actualité 01/03/24

    15/17 mars : le vélo bien en selle

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    Au printemps, changeons de braquet, pédalons ! La Mission Développement durable de la Ville organise la première Fête du vélo, du 15 au 17 mars.

    Au programme : balades à vélo (familiales ou sportives), Bourse à vélo (achat/vente de vélos d'occasion, atelier relooking et réparation de vélo…), Forum du vélo (voies cyclables touristiques, sport santé, prévention et sécurité, enjeux écologiques et économiques, animations diverses…), rencontres avec des partenaires, séances aquabike aux Bains…

    Télécharger/consulter le programme de la Fête du Vélo 2024 (PDF)

    © Visuel : Ludwig Malbranque

  • Actualité 28/02/24

    Mars au féminin : les sportives gagnent du terrain

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    Dans le cadre de Terre de Jeux 2024, la Ville propose des rendez-vous festifs et rassembleurs, autour du sport et des valeurs qu’il véhicule. Dieppe, terre de progrès, terre de résistance, s’inscrit également dans les combats pour l’égalité femme/homme. Mars au féminin revient cette année pour proposer un mois
    de sensibilisation et d’information sur les droits des femmes.

    Le sport est un domaine où de nombreuses inégalités persistent. Malgré des dispositifs et des évolutions encourageantes, il reste encore un long chemin à parcourir pour que toutes les filles et toutes les femmes puissent avoir accès librement à tous les sports, sans discrimination. À travers des films, conférences, forum ou démonstrations, chacun, chacune prendra conscience de la place que doivent occuper les femmes dans le sport, comme dans le reste de la société. Championnes ou dirigeantes de clubs, boxeuses ou footballeuses, chacune apportera un témoignage de ce que le sport permet, en termes d’épanouissement et de performance.

    Au programme :

    - exposition Championnes ! (9 portrats de sporrives dieppoises) ;

    - conférence Les femmes et le sport (8 mars) ;

    - forum d'infos et de démonstrations Le sport se conjugue au féminin (9 mars) ;  

    - conférence Regards croisés et concerts (9 mars) ;

    - visite de Dieppe Ville d'art et d'historie Sport féminin à Dieppe au tournant du siècle (15 mars) ;

    - film Marinette (vie de la footballeuse Marinette Pichon, 16 mars) ;

    - table tonde avec l'ex-Ministre des sports Marie-George Buffet (lire son interview) et la journaliste Mejdaline Mhiri sur la place des femmes dans le sport (18 mars) ;

    - documentaire Les Incorrectes sur la vie de la militante sportive Alice Milliat (21 mars)   

    • Télécharger/consulter le programme complet de Mars au féminin 2024 (PDF)

    © Visuel : Samuel Gros

  • Actualité 28/02/24

    13 et 14 mars : le logement, cause commune

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    Se loger bien, se loger mieux, est devenu un enjeu très fort sur notre territoire et sur notre bassin de vie. Ainsi la Ville de Dieppe, l'Agglo Dieppe-Maritime et leurs partenaires organisent jeudi 14 mars 2024 au théâtre du Casino de Dieppe les premières Assises du logement du territoire. 

    L'objectif de ce moment, ouvert à la population et largement préparé avec les habitants, sur les marchés et lors d’ateliers, est de traiter de cette question majeure pour formuler des propositions concrètes en direction des pouvoirs publics. Vous trouverez à cet effet le programme détaillé ci-joint et le lien d'inscription ci-après :  https://www.eventbrite.fr/e/billets-assises-du-logement-818844194027 (réponse souhaitée avant le 7 mars). 

    Ces Assises seront précédées d'une réunion publique dans les salons de l’hôtel de ville la veille, mercredi 13 mars à 18h (sans inscription préalable).

    Au-delà de ces différents temps, afin de faire le constat le plus précis possible de la réalité du logement ici, un questionnaire anonyme disponible sous le lien ci-après est également mis à disposition : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSd8hMCARVgIj1lGFIlgO2c6KiaOdh0P8dcwQiWbfUbx4c9yqw/viewform?usp=sf_link. Sa complétude par le plus grand nombre permettra d'enrichir la démarche conduite. 

    Enfin, une carte pétition visant à interpeller le Président de la République sur l'urgence du logement est mise à disposition depuis mercredi dernier à l'hôtel de ville, à Neuville-lès-Dieppe en mairie annexe, à la mairie de proximité du Val Druel (Camille Claudel), à l'agence postale communale de janval, au pôle la fontaine aux Bruyères et enfin à la maison des associations dans le centre-ville.  

    © Visuel : Samuel Gros

  • Actualité 26/02/24

    Sports : des bénévoles à toute épreuve

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    Dans l’ombre, de nombreux bénévoles gravitent autour des terrains. Reportage dans les clubs auprès de celles et ceux qui font vivre le sport.

    Des personnes investies, qui consacrent, en grande partie, leur temps libre à leur club. Celui pour lequel ils ont parfois joué, qu’ils ont supporté, dans lequel évoluent leurs enfants... Celui pour lequel ils attendent avec impatience les soirs d’entraînements, les jours de compétition. Elles et ils sont les chevilles ouvrières du monde sportif, indispensables à la vie des associations.

    « Que seraient nos associations, nos clubs, sans les bénévoles toutes ces petites mains invisibles ?,  résumait le maire Nicolas Langlois, lors de la réception organisée le 3 février dernier dans les salons de l’hôtel de ville en l’honneur de bénévoles dieppois. Celles qui tiennent la buvette, la table de marque, celles qui emmènent les enfants en déplacement pour les matchs, celles qui font les courses, qui passent les appels. » Distingué à cette occasion de la médaille d’or de la Jeunesse, des sports et de l’engagement associatif, André Lavenu, du Club des cyclotouristes dieppois, soulignait bien l’enjeu : « Dans un club, une association, il faut aussi s’investir, participer à la vie du club. Je me situe dans cette idée que défendait Pierre de Coubertin : l’important, c’est de participer. » Ce que Jean-Claude Magère, un autre bénévole mis à l’honneur pour son investissement au sein du Duc Tennis de table, formulait autrement : « Je suis dans les associations depuis longtemps. On a toujours, dans notre famille, une veine associative. J’ai coutume de dire que les bénévoles sont une espèce en voie de disparition. Je vois avec espoir, en vieillissant, que d’autres derrière nous arrivent… » 

    Bénévole des cuisines aux vestiaires, sans eux pas de volontaires pour les compétitions du week-end, pas de chauffeurs pour les déplacements régionaux ou plus lointains. Distinguée lors de la réception des bénévoles, Carine Martin (en photo) fait part de sa fierté de passer un très court moment de l’ombre à la lumière : « Cela donne de la valeur à mon investissement personnel, mais surtout cela valorise tous mes collègues bénévoles à mes côtés au sein du club. » Notons que le Covid a eu un effet sur l’engagement et les activités collectives plus marqué chez les moins de 35 ans : un Français sur quatre déclare participer à plus d’activités de groupe qu’avant la crise sanitaire, un taux qui monte à 49% chez les moins de 35 ans.

    « Je donne ce que j’ai reçu ! » 

    « Chaque week-end, vous ne les voyez peut-être pas toujours sur les terrains, dans les salles de sport, les gymnases dieppois lors des compétitions, mais pourtant ils sont là, jeunes ou moins jeunes, souligne Luc Desmarets. Présents parfois très tôt, et jusque très tard, les bénévoles, pierre angulaire des clubs sportifs sont indispensables au bon fonctionnement de nos associations. Je suis bien placé pour mesurer à quel point l'investissement sportif, et plus largement associatif, des bénévoles s'avère important dans la vie des clubs et dans le rayonnement de la ville. Il y aura toujours besoin de parents, d'éducateurs, d'anciens athlètes, pour faire vivre et tourner les clubs, pour préparer les sandwichs, les tenues, pour arbitrer aussi les diverses compétitions » Et l'adjoint au Maire en charge des Sports d'ajouter : « Certains m’ont dit je donne ce que j’ai reçu. Ces passionnés méritent notre respect et nos encouragements. Souligner cela, valoriser cet engagement, je crois que ce n'est pas inutile, pour ne pas s'arrêter à l'aspect sportif d'un tournoi mais pour en rappeler la complexité en termes d'organisation. Et remercier nos bénévoles de cet engagement au quotidien, c'est essentiel ! »

    « Sans elle, pas de volley ! » 

    Sylvie Leborgne et le volley, c’est une très longue passion…  « Sans elle, pas de volley ! », entend-on régulièrement du côté du gymnase KLéon-Rogé où le Duc Volley a ses quartiers. « J’appréhende le jour où je devrais m’arrêter tant cette activité de bénévole me tient à cœur, avoue sans fard la dynamique septuagénaire. M’occuper des jeunes, transmettre cette passion pour qu’ensuite elle se perpétue, faire progresser les jeunes, contribuer à faire naître cette passion du volley, recroiser ces jeunes, c’est extrêmement gratifiant. » Avec les années, son enthousiasme ne s’est jamais démenti. « Je ne me sens pas vieillir. Le bénévolat favorise la vie sociale. Cela permet de rester dans la vie active et d’évoluer avec son temps », indique celle qui s’est mise à l’appli Teampulse pour convoquer les équipes de jeunes. Le message est clair : « tant que ma santé me le permettra, je compte bien continuer ». Rendez-vous est pris pour les entrainements nocturnes du jeudi, du vendredi, les compets du samedi et du dimanche. « Ma fille disait récemment à quelqu’un qui demandait de mes nouvelles : il faut prendre rendez-vous avec elle pour la voir ! »

    Un enjeu de formation 

    Le bénévolat conduit chacun à maîtriser des tâches parfois complexes. « Etre président, trésorier ou membre d’une instance dirigeante dans une association relève de l’engagement citoyen. Et pourtant, ce n’est pas si simple !, confirme Chrystelle Vereecke, directrice de l’association Oxygène. Rédaction et application des statuts, gestion des ressources nécessaires au projet associatif, suivi financier, recherche et structuration de partenariats…sont autant de tâches qui incombent à ces bénévoles plein de bonne volonté mais parfois surpris.es par la diversité et la complexité des sujets. »

    En partenariat avec la Maison des associations de Dieppe, Oxygène propose des demi-journées mêlant partage d’expériences entre responsables associatifs d’horizons différents et apports théoriques. « Chaque temps de sensibilisation ou de formation est l’occasion de partager les bonnes pratiques qui dynamisent les projets mais aussi et surtout font vivre la participation interne, en écho au rôle essentiel des associations, véritables corps intermédiaires de notre démocratie », se félicite-t-elle.

    Sur le territoire dieppois, plusieurs structures sont par exemple labellisées Guid’Asso (ex-Centre de ressources à la vie associative et points d’appui à la vie associative) et apportent conseil et soutien, par téléphone ou lors de rendez-vous individuels. Par ce nouveau label porté par le Service départemental à la Jeunesse, à l'Engagement et aux Sports (SDJES) des structures comme les associations Oxygène, la Maison Jacques-Prévert ou le centre social Mosaïque se voient confier la mission d’accompagner et soutenir le tissu associatif local. Souvent les sollicitations recensées mettent en exergue le besoin de sensibilisation sur des thématiques précises, c’est alors l’occasion pour l’association Oxygène, en partenariat avec la Maison des associations de Dieppe, de proposer des demi-journées mêlant partage d’expériences entre responsables associatifs d’horizons différents et apports théoriques.

    « La petite comptabilité des associations » et « faire vivre un projet associatif » sont deux des thématiques annuellement proposées sur le territoire. Parmi les outils à la disposition des bénévoles figure depuis 2023 en Seine-Maritime le Certificat de formation à la gestion de la vie associative (CFGA). Composée de 5 modules, cette formation aborde tous les sujets utiles à la gestion d’une association : projet associatif et enjeux, finances, ressources humaines, responsabilité et communication. Les bénévoles obtiennent le certificat au terme de la seconde partie : une mise en œuvre pratique de 20 heures au sein de leur association.

    « Pour ces bénévoles investis, être formés permet avant tout de gagner en efficacité et donc de disposer de davantage de temps pour pratiquer et partager leur passion avec les adhérents, principal moteur de l’engagement, indique Chrystelle Vereecke. Mais être formés ouvre aussi des perspectives de développement plus serein pour l’association, renforce sa légitimité auprès de la collectivité et contribue largement à la pérennisation de l’activité. Il s’agit là de mettre en place un cercle vertueux qui facilitera l’arrivée de nouveaux bénévoles dirigeants lorsque la relève sera nécessaire. Faire vivre une association demande quelques connaissances, un bon sens pratique mais aussi une profonde conviction dans la capacité du collectif à réaliser des choses qui dépassent les individus. C’est pourquoi chaque temps de sensibilisation ou de formation est l’occasion de partager les bonnes pratiques qui dynamisent les projets mais aussi et surtout qui font vivre la participation interne, en écho au rôle essentiel que jouent les associations, véritables corps intermédiaires de notre démocratie ».

    Au bord des terrains, dans les bureaux des stades ou des gymnases, derrière les comptoirs des club-houses, sur la route..., les indispensables bénévoles dieppois sont, plus que jamais, au service du sport.

    © Photo : Pascal Diologent

  • Actualité 23/02/24

    Le festival du film canadien de Dieppe bientôt sur les écrans

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    La 11ème édition du festival du film canadien de Dieppe se déroule du jeudi 21 au dimanche 24 mars au cinéma Megarama. Tarifs, programmation, tables rondes, jury… Découvrez le programme de l'unique festival du genre en Europe.

    Une programmation enrichie

    Nouveauté cette année, la programmation s'étoffe considérablement. 33 films ont été sélectionnés par le programmateur du festival Guillaume Dauzou (dont le portrait est à lire dans l'édition de mars de Journal de Bord) : 15 court-métrages et 18 longs-métrages dont 13 en avant première. Les œuvres retenues sont représentatives des provinces canadiennes et embrassent un large panel de genres cinématographiques. Au total, 27 séances seront programmées, les courts-métrages étant projetés systématiquement avant les longs-métrages, pour permettre aux "marathoniens" du festival d'assister à un maximum de séances.

    Des invités canadiens

    Une quinzaine de comédiens, réalisateurs et producteurs, ayant tous contribué à des films sélectionnés, feront le déplacement depuis le Canada pour assister au festival et participer à des échanges et à des débats avec le public.

    Rencontres et tables rondes

    Michel Bussi animera une masterclass qui sera suivie d'une séance de dédicaces vendredi 22 mars à 18h30. Par ailleurs, deux tables rondes sont organisées en présence des invités du festival sur les thématiques "enfants et adolescents au cinéma : grandir devant la caméra", samedi 23 mars à 14 heures puis "festivals de films : comment ça marche ?", samedi 23 mars à 16 heures.

    Un jury de haut niveau et éclectique

    Si le nom du président de jury sera annoncé prochainement, on connaît déjà la composition du jury qui sera chargé de récompenser les sept films sélectionnés pour la compétition officielle. Le romancier normand Michel Bussi, l'actrice Agnès Soral (Tchao Pantin, Hommes, femmes, mode d'emploi ou encore Les Brigades du tigre), l'actrice dieppoise Mathilde Lebrequier (Le Pain du diable, Falco), l'actrice et metteuse en scène Josée Devron (Kaamelott), le réalisateur Guillaume Maidatchvsky (Aïlo, Mon chat et moi, Rroû), l'acteur, scénariste, réalisateur et producteur canadien Martin Villeneuve (Les 12 travaux d'Imelda primé en 2023 à Dieppe) et le YouTubeur dieppois Yann Solo (12 Parsecs) défileront sur le tapis rouge du festival.

    Des tarifs attractifs

    Avec la reprise du cinéma par Megarama, la politique tarifaire a évolué. Elle permet de rendre encore plus accessibles les séances avec un pass à 6 € permettant une réduction de 50 % sur chaque entrée. Avec ce pass, le coût d'une séance sera de 3 €.

    Libération de Dieppe

    A l'occasion du 80ème anniversaire de la Libération de Dieppe qui sera célébrée le 1er septembre prochain, le Festival du film canadien, qui contribue à entretenir les liens entre Dieppe et le Canada, propose deux documentaires : Dieppe ou la générale et Un matin calme. Les films seront projetés le dimanche 24 mars à 16h30 et seront suivis d'une conférence en présence d'historiens qui reviendront notamment sur le raid du 19 août 1942 sur Dieppe.

    Village canadien

    Animé par plusieurs exposants (Domaine des Roches, association Je me souviens, France Québec, Apei de la Région dieppoise…), un village canadien constitué de chalets sera installé durant toute la durée du festival sur le parvis Rosa-Leroy, à l'entrée du cinéma.

     

    © Visuel : Ludwig Malbranque

  • Actualité 12/02/24

    Plan local d’urbanisme : les habitants consultés

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    Les Dieppois sont concertés sur le Plan local d'urbanisme via une réunion publique le 19 février à 18 heures à l’hôtel de ville et une exposition dans le hall de la mairie de dieppe du 19 février au 4 mars.

    Qu’est-ce que le PLU ?

    Le Plan local d’urbanisme établit les principales règles applicables à l’utilisation du sol, notamment en matière de permis de construire, pour une commune ou un groupement de communes. Le conseil municipal de Dieppe a approuvé son PLU en 2014 et l’a modifié à plusieurs reprises.

    Pourquoi le réviser?

    Depuis l’approbation du PLU en 2014, les projets sur la ville ont évolué. Son application ne permet plus aujourd’hui de les mener à leur terme. Il est donc nécessaire de faire évoluer le document d’urbanisme. En juillet 2022, la révision globale du PLU a été confiée par la Ville à un groupement de cabinets d’études.

    Que comprend cette révision ?

    Après avoir réalisé un diagnostic territorial et environnemental, les cabinets d’études ont travaillé à la mise à jour du Projet d’aménagement et de développement durable (PADD), qui détermine les grandes orientations d’aménagement du territoire pour les années à venir. Ce PADD a fixé 4 axes principaux : faire de Dieppe pôle d’équilibre et de développement durable du territoire régional ; valoriser le patrimoine urbain, paysager et environnemental ; constituer un pôle d’habitat équilibré à l’échelle de l’Agglo; favoriser le rayonnement des équipements desservis par une infrastructure multimodale. Le PADD fera l'objet d'un débat le 28 mars prochain au conseil municipal.

    © Photo : Euclyd

  • Actualité 06/02/24

    L'explorateur Jean Malaurie nous a quittés

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    L'écrivain et explorateur Jean Malaurie est décédé à 101 ans, le lundi 5 février 2024. 

    Nicolas Langlois, maire de Dieppe, rend hommage à l’ethnologue et spécialiste du grand nord, installé depuis longtemps dans la cité d'Ango : « Jean Malaurie nous a quittés. Michel Le Bris, dans son Dictionnaire amoureux des explorateurs, l’avait très justement désigné comme le “dernier des géants”. Il avait choisi de vivre à Dieppe, lui, le premier homme à atteindre, en 1951, le Pôle Nord magnétique en traîneaux à chien, l’homme de plus de 30 expéditions du Groenland à la Sibérie, le fondateur du Centre d’études arctiques au CNRS et à l’EHESS à Paris (1957). L’homme aussi qui défendit la première réunion internationale des Inuits et des États circumpolaires en 1969, sous la présidence de René Cassin, prix Nobel de la paix et le président-fondateur de l’Académie Polaire d’État de Saint Pétersbourg. Et Dieppe l’avait choisi quand Roland Leroy avait proposé à Christian Cuvilliez alors maire d’organiser un festival du film arctique dont Jean Malaurie fut l’invité d’honneur, quand, en 2019, il fut aussi l’invité d’honneur du Festival du film canadien. Nous avions plaisir à converser avec lui comme lorsqu’il a fêté, dernièrement, son 100e anniversaire. Jean Malaurie était un “scientifique poète”, qui invitait sans cesse à sortir des couloirs parfois trop étroits de la connaissance scientifique. Avec Jean-Jacques Rousseau dont il était un lecteur fidèle, il savait qu’on ne commence pas par raisonner mais par sentir. Il nous a permis d’écouter d’autres voix avec la célèbre collection, “Terre humaine”, qu’il a fondée en 1955. Une collection qui fait référence et qui a construit, au fil des éditions, une communauté d’auteurs qui tous, à leur manière, témoignent d’un morceau de l’histoire humaine, quelque part sur la planète. »

    Et le Maire de Dieppe de poursuivre : «La citation de Jean Giono qui accompagne son livre, Les derniers rois de Thulé, résume bien ce qu’était Jean Malaurie : “On ne peut, je crois, rien connaître par la simple science ; c’est un instrument trop exact et trop dur. Le monde a mille tendresses dans lesquelles il faut se plier… Seul le marin connaît l’archipel.” Ambassadeur de bonne volonté de l’Arctique à l’Unesco, fort de ses voyages et de ses recherches, il transmettait sans relâche la parole et la sagesse des Inuits, une parole “sacrée”, nourrie d’un rapport au monde que nous avons perdu, et que nous devrions rechercher insistait-il. Son travail, son engagement de vie même nous invitait à réfléchir à notre place au sein du monde, qui n’est pas seulement celui des êtres vivants. Les pierres aussi ont une âme. Les Inuits le lui avaient appris. Comprendre aussi que nos sociétés tirent leur sève des “éléments fondamentaux comme la terre et l’eau, la faune et la flore, la fine beauté des fleurs, les subtiles géométries des pétales, les sols polygonaux, le son et les couleurs”. Une synthèse qui aboutit à nous rappeler à l’ordre pour la défense des peuples autochtones, ou plutôt des “peuples racines”, expression qu’il trouvait plus juste.»

    Enfin, Jean Malaurie était « un veilleur, un relais des sentinelles de la planète que sont les Inuits dont l’environnement est menacé par le réchauffement climatique et les prospections pétrolières et gazières.  “Puisse le citoyen inuit voir le rêve des explorateurs se réaliser : un pôle non pollué où régnera un humanisme écologique. Il est urgent de (...) prendre enfin humblement conscience que leur volonté obstinée de respecter cette nature ne fait pas d’eux des retardataires, mais des précurseurs.” À celui qui lançait aux jeunes lecteurs le conseil : “Lis tout ! Voyage en tout milieu les yeux ouverts, l’oreille attentive, dans le monde entier. Tu vas enfin découvrir l’homme, cet inconnu”, nous souhaitons aujourd’hui, avec émotion, rendre hommage. À son fils Guillaume, nous adressons nos plus sincères et émues condoléances et toute notre amitié ».

    © Photo : Erwan Lesné (2019) - service Communication de la Ville de Dieppe

  • Actualité 06/02/24

    Gilles Perret : « La simplicité des Dieppois me touche »

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    Le 3 février, le réalisateur de documentaires Gilles Perret est venu, en compagnie de sa compagne scénariste Marion Richoux, présenter son dernier film La Ferme des Bertrand aux cinémas Mégarama. Entretien avec le cinéaste qui aborde principalement des thèmes socio-économiques (Ma mondialisation De mémoire d'ouvriers ; J'veux du soleil Debout les femmes ! ; Reprise en main…) ou socio-historiques (Walter, retour en résistance ; Les jours heureux La Sociale…).

    • La Ferme des Bertrand est la suite du premier documentaire que vous aviez sorti il y a vingt-cinq ans…

    Oui, j'ai fait Trois frères pour une vie — NDLR : film sorti en 1999 présentant une exploitation laitière savoyarde — à une époque où je ne connaissais rien au documentaire. J'avais juste posé ma caméra et laissé la parole aux gens. Un film à hauteur d'hommes. C'est une fois qu'il a été fait qu'on m'a dit que c'était un documentaire ! Il a été primé dans des petits festivals, il a eu un gros succès dans les petites salles. On s'était dit avec Marion — Marion Richoux, sa compagne, scénariste — qu'on allait le ressortir au cinéma. Et puis, quand on a su qu'Hélène — qui avait récupéré la ferme en 1997 — partait en retraite et qu'elle laissait la ferme à son fils qui allait robotiser l'exploitation, on a sauté sur l'occasion pour reposer les caméras là-bas. Avec La Ferme des Bertrand, on emmène les spectateurs dans une saga familiale de cinquante ans (NDLR : avant Trois frères pour une vie, un reportage sur la ferme de Marcel Trillat était paru en 1972). C'est la ferme de mes voisins, elle est située à 80 mètres de ma résidence de toujours, dans un hameau de Haute-Savoie !

     

    • Votre film sort en pleine colère des agriculteurs ?

    Cette coïncidence est dingue, c'était pas calculée ! (rires) On s'est glissés dans la brèche de l'actualité et ça a donné une visibilité à notre film. Mais le documentaire détonne par rapport à la crise agricole. Car on a filmé une ferme dans laquelle tout ça se passe bien. Elle est dans une zone d'Appellation d'origine protégée (NDLR : AOP) Reblochon où il y a beaucoup de règles et de protectionnisme, à l'encontre du libre-échange. C'est un contre-exemple de ce que demandent les agriculteurs. Je comprends leurs revendications, ils sont tellement pris à la gorge… 

     

    • Le monde du travail vous inspire ?

    Oui, tous mes films interrogent le sens du travail, ce qu'il représente dans notre vie, mais aussi le mal-travail. Les classes populaires sont sous-représentées au cinéma et à la télé. J'essaye de les rendre visibles. Mon boulot est de restituer les histoires de ces gens. Le but est que ces gens des classes populaires qu'on filme ou qui se reconnaissent dans ces histoires viennent voir mes films ! On ne souffre pas de médiatisation dans la presse cinématographique. Mais on a du mal à toucher les médias grand public alors qu'on revendique de faire un cinéma populaire…

     

    • Avec La ferme des Bertrand, vous mettez encore en avant des travailleurs invisibles ?

    Oui. Les agriculteurs souffrent de dévalorisation. Ils ont été invisibilisés, mais pas sur le même plan que les ouvriers. Dans le film, la ferme se mécanise, et comme ils sont propriétaires d'une partie de leurs terres et comme ils sont maîtres de leur outil de travail, les gains de temps obtenus sont pour eux. Contrairement aux ouvriers où la robotisation leur a fait perdre des emplois. Mon discours sur les technologies, c'est que ce n'est pas nocifs pour les travailleurs si cela permet d'alléger leurs charges ! 

     

    • Vous partez régulièrement à la rencontre des publics ?

    Oui, c'est agréable. Après, si on fait des films sur les gens, c'est pour les voir aussi ! J'ai une relation particulière avec le public. Je les ai habitué à être près d'eux. J'aime les contacts humains. 

     

    • Votre avez un lien fort avec Dieppe ? 

    Je viens souvent présenter mes films ici. Les élus dieppois ont une sincère préoccupation des problèmes sociaux. Chez moi, en Haute-Savoie, il y a zéro préoccupation sociale ! Ici, des collectivités, des responsables politiques ont des préoccupations pour le plus grand nombre. On est venus à Dieppe pour tourner Debout les femmes ! (NDLR : documentaire, sorti en 2021 et coréalisé avec le député de la Somme François Ruffin, sur la précarité d’auxiliaires de vie sociale, d'accompagnants d'élèves en situation de handicap, de femmes de ménage…) Et on n'était pas venus par hasard, car il y avait l'expérience dieppoise de la création d'un statut des aides à domicile. Ça s'est fait automatiquement, car j'essaye de faire vivre des expériences qui marchent bien et sont porteuses d'espoir. On a noué des liens avec les aides à domicile dieppoises, Delphine, Isabelle, Sabrina. Et puis, à Dieppe, on sent le côté populaire et la simplicité des gens, et c'est c'est ce qui me touche ! Il n'y a pas d'artifice, pas de posture, pas d'élitisme !

     

    • Quels sont vos futurs projets ?

    D'abord, une deuxième fiction avec Marion, après Reprise en main (NDLR : sortie en 2022) et un nouveau projet avec François Ruffin, mais je ne peux pas en dire plus pour le moment !

    Propos recueillis par Pierre Leduc - © Photo : Pascal Diologent (service Communication de la Ville)

    À noter que La ferme des Bertrand est visible au Mégarama les 8, 9, 12 et 13 février, avec à chaque fois deux séances l'une à 14 heures, l'autre à 16 heures. ​

  • Actualité 05/02/24

    Le pont Colbert transféré entre les 8 et 10 février

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    L'opération de déplacement du pont Colbert jusque sur la plateforme, située cours de Dakar, où il sera restauré durant quinze mois occasionnera des fermetures de la passerelle piétonne provisoire (du jeudi 8 février à 8h30 au samedi 10 février à 12h50) et de la passerelle Rolland (sur plusieurs étapes de l'opération) ainsi que des fermetures d'espaces au public et des déviations routières. Le planning de l'opération est susceptible d'évoluer selon les aléas climatiques ou liés à l'opération elle-même. (mis à jour : mercredi 7 février à 18h40)

    Mercredi 7 février

    En raison des vents importants annoncés ce vendredi 8 février, la barge sera finalement acheminée ce mercredi 7 février entre 20 heures et 22 heures. La Ville met en place une navette gratuite durant cette période pour permettre aux piétons de se rendre de part et d'autre de l'emplacement du pont. La passerelle Rolland fonctionnera à nouveau dès 22 heures. La passerelle piétonne provisoire ne devrait plus être accessible d'ici samedi 10 février vers 12h50.

     

    Jeudi 8 février

    La barge sera fixée au moyen de câbles d'amarrage et une zone d'interdiction au public sera délimitée de part et d'autre du pont pour sécuriser la zone.

     

    Vendredi 9 février

    Le pont sera transféré sur la barge entre 9h30 et 10h15. Il restera sur la barge, sans mouvement, jusqu'au lendemain matin.

     

    Samedi 10 février

    Les câbles d'amarrage seront déconnectés de la barge entre 8 heures et 10 heures.

    La navigation aura lieu entre 10 heures et 13 heures. Durant une partie de cette opération (estimée à une durée d'une heure), la passerelle Rolland sera fermée aux piétons tout comme la passerelle provisoire qui rouvrira au plus tard à 12h50. La Ville met ainsi en place une navette gratuite (arrêts : résidence Marcel Paul et capitainerie, quai du Carénage) durant ces trois heures.

    Le pont sera ensuite transféré du quai de Norvège jusqu'à la plateforme aménagée le long du cours de Dakar.

    Une déviation routière est mise en place sur le cours de Dakar à partir de 6 heures et pour toute la journée.

     

    Pour rappel, l'application Citykomi ®, téléchargeable gratuitement, permet de savoir en direct si les passerelles sont ouvertes ou fermées.

     

    Le réseau de bus de Deep Mob. offre également aux piétons une alternative de déplacements. Pour connaître les tarifs et les horaires, rendez-vous sur deepmob.fr.

    Retrouvez le communiqué de presse de Ports de Normandie ici.

     

    Photo : Pascal Diologent

  • Actualité 26/01/24

    Marie-George Buffet : « Le patriarcat domine encore le mouvement sportif »

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    Coprésidente du Comité national pour renforcer l'éthique et la vie démocratique dans le sport Marie-George Buffet a remis, avec Stéphane Diagana, le rapport Pour un sport plus démocratique, plus éthique et plus protecteur à la Ministre des Sports le 7 décembre dernier. Ce rapport est le fruit d’une large consultation menée entre le début du mois d’avril et la fin du mois d’octobre 2023. Près de 170 personnes ou structures ont été entendues au cours de près de 70 entretiens. Il formule 37 recommandations et doit inspirer une loi-cadre en novembre prochain. L'ancienne députée de Seine-Saint-Denis (2002 à 2022) et ministre des Sports du gouvernement Jospin (1997-2002) tient une conférence le 18 mars à 18 heures à la Salle des congrès, dans le cadre de Mars au féminin. Interview exclusive.

     

    • Au moment de la remise du rapport, vous avez déclaré dans la presse que le mouvement sportif français était « fragilisé ». Pourquoi ?

    Le mouvement sportif français est fragilisé parce qu'il y a une crise du bénévolat qui touche le mouvement sportif comme le mouvement associatif en général. Le bénévolat est plus limité dans la durée. On a donc un vieillissement des responsables. Il est fragilisé aussi par la marchandisation qui touche un certain nombre de pratiques, puis par l'instrumentalisation politique ou géopolitique. On voit comment aujourd'hui certains événements sportifs servent à faire rayonner des États alors que souvent il n'y a pas de pratique démocratique du sport parmi leur population. Le mouvement sportif français est d'autant plus fragilisé qu'il n'a pas une vie démocratique très développée au niveau de ses fédérations nationales. On a encore un système qui est très marqué par le président et les hommes du président et on a du mal à avoir des débats au sein des fédérations. On a donc fait toute une série de propositions pour changer le modèle électoral et faire en sorte que les différentes sensibilités soient représentées dans les instances et les directions. On veut favoriser la parité dans ces instances.

    On a un mouvement sportif qui est aussi fragilisé parce qu'il est en difficulté pour mener le combat éthique en son sein même. On a encore un entre-soi, un discours sur la culture de telle ou telle fédération qui justifie des actes qui ne sont pas admissibles aujourd'hui. Le mouvement sportif a du mal à prendre en compte les demandes sociétales de notre époque. On le voit bien comment on banalise des atteintes sexistes ou sexuelles, comment on banalise des propos homophobes ou racistes. Quand je dis ça, je rends hommage à tous les bénévoles qui au quotidien agissent pour faire vivre leur club, pour accueillir les pratiquants et les pratiquantes, pour encadrer les enfants… Mais on a au sein du système, notamment au sein des fédérations nationales et internationales, un blocage qui empêche le mouvement sportif d'avoir une vie démocratique et de mener un combat éthique au niveau des exigences actuelles.

    • Vous voulez aller plus loin dans la protection des pratiquant(e)s ?

    Oui. Signal sport (NDLR : cellule d'alerte des violences dans le sport lancée en 2020 par le ministère des Sports) est une bonne initiative. Le problème est qu'ils n'ont pas les effectifs nécessaires pour suivre et que c'est très peu connu. On a un problème de transparence, d'information des acteurs et des actrices du mouvement sportif. La protection des pratiquants et des pratiquantes, on a deux propositions phare : la première, c'est que le CNOSF (NDLR : Comité national olympique et sportif français) prenne ses responsabilités par rapport au combat éthique, à la protection des pratiquants et des pratiquantes. La deuxième, c'est la création d'un comité d'éthique supra-fédéral, qui pourrait intervenir y compris dans des fédérations où le comité d'éthique serait endormi ou serait sur la mainmise de tel ou tel dirigeant. Nous pensons que pour les violences sexuelles, sexistes, c'est trop difficile pour les victimes de parler à l'intérieur de leur famille sportive. C'est comme les phénomènes d'inceste, quand c'est dans votre famille, c'est difficile de dire “c'est dans ma famille, c'est lui, c'est elle”. Donc il faut donner, créer des structures qui soient détachées de la famille, des comités d'éthique indépendants, une agence indépendante pour que la parole se libère. Nous proposons comme nous l'avons fait pour le dopage à une époque qu'il y ait une agence indépendante à la fois où les victimes puissent s'adresser, être accompagnés, et où des sanctions puissent être prises dès que c'est nécessaire. Par exemple, déporter de ses responsabilités un dirigeant qui s'est mal comporté. Un entraîneur qui aujourd'hui est sanctionné par sa fédé peut tout à fait aller travailler dans une autre fédé, ce qui est incroyable ! 

    Il faut changer aussi les mentalités par rapport à la violence ordinaire, quand on porte atteinte à l'intégrité physique et psychique d'un ou d'une athlète pour obtenir les résultats. Est-ce qu'on pourrait regarder le sport comme quelque chose où parfois le record n'est pas battu, la médaille n'est pas obtenue ? Ce qui est important, c'est le plaisir des athlètes, le bien-être, le spectacle sportif, qu'il soit beau. J'espère que les Jzux olympiques de Paris (JOP) soit un rendez-vous magnifique où les athlètes vont vivre quelque chose d'extraordinaire. Je ne dis pas qu'il faut absolument que la France ait 70, 80 médailles. C'est pas ça le problème. Arrêtons de faire pression sur nos athlètes et de justifier certaines méthodes d'entraînement en étant axé uniquement sur les résultats.

    • Le sport français laisse-t-il de la place aux femmes ?

    On a le même phénomène qu'en politique. Ce sont des mondes qui se sont construits au masculin pendant des décennies, voire des siècles. La domination patriarcale est très présente dans le sport. Ça joue sur les mentalités. On a encore l'idée encore aujourd'hui, y compris chez les parents, par exemple, qu'un garçon, il faut qu'il fasse du sport, c'est évident. Alors qu'une fille, si elle fait autre chose, ce n'est pas grave. L'idée qu'il y aurait des sports masculins et des sports féminins, que la fille, si elle veut faire de la gymnastique, ça va, mais si elle veut s'inscrire en rugby, ça devient problématique… Même si tout cela bouge, on n'a encore que 39 % de licenciés dans toutes nos fédérations qui sont de sexe féminin. Et nous n'avons aujourd'hui que 4 femmes présidentes de fédérations olympiques. Nous avons au sein du CNOSF encore aujourd'hui dans son conseil d'administration une participation des femmes moindre. Il existe toujours cette idée que les femmes seraient moins compétentes, moins disponibles… Tout ce qu'on a entendu lorsqu'il y a eu les débats sur la parité à l'Assemblée nationale, il y a plus de vingt ans. On nous avait expliqué qu'on ne trouverait pas des femmes suffisamment compétentes pour participer aux conseils municipaux, régionaux, départementaux. En fait, on les a parfaitement trouvées. Mais quand vous regardez les conseils municipaux à parité aux dernières élections des maires, 19 % seulement de femmes sont devenues maire, malgré cette parité. On voit bien qu'il faut agir sur les mentalités pour faire bouger les choses. Dans nos recommandations, on propose la parité dans toutes les instances, mais il faudra continuer à agir sur les mentalités. Je pense que le rajeunissement, le renouvellement des directions dans les ligues, les fédérations… devraient nous y aider. Encore faut-il que le bénévolat soit attractif, c'est pour ça qu'on fait toute une série de propositions sur l'indemnisation des dirigeant(e)s bénévoles, sur des trimestres pour la retraite… Tout ça pour donner envie à des générations plus jeunes de s'inscrire dans un bénévolat dans la durée.

    • Est-ce que ça a évolué ?

    Oui, grâce au combat des femmes et des hommes qui mènent eux aussi ce combat féministe. On avait 18% de femmes aux JO de Mexico en 1968, on devrait en avoir 48 % aux JOP. Mais ça évolue extrêmement lentement. Un sondage récent commandité par le Haut conseil à l'égalité entres les femmes et les hommes montre que chez les 24-34 ans, on voit réapparaître des comportements virilistes chez les 24-34 ans. Je l'ai constaté en faisant des débats dans les lycées où des jeunes gens m'ont expliqué pourquoi il y avait des sports masculins, des sports féminins, et qu'il ne fallait pas mélanger les choses. Donc on voit bien que ce combat, il n'est pas derrière nous, il n'est pas réglé. Il est vraiment d'actualité d'autant plus qu'il y a des pays aujourd'hui qui y vont à reculons. Je suis très proche des femmes afghanes et iraniennes, on voit comment les premières décisions des Talibans, ça a été d'interdire la pratique sportive aux femmes. Soyons vigilants !

    • Les JO de Paris (JOP) vont-ils donner plus de visibilité aux sportives ?

    C'est le plus des JOP. France télévisions va retransmettre l'ensemble des épreuves. On va voir beaucoup de pratiques par les femmes de différents sports, ça va jouer. On a pu constater que la très bonne retransmission du Tournoi des six nations féminin de rugby l'année derrière avec les bons résultats de l'Équipe de France a fait qu'il y a eu plein de filles qui se sont inscrites dans des clubs de rugby. C'est très important parce qu'aujourd'hui les sports féminins sont seize fois moins retransmis que les sports masculins à la télévision en France ! Donc les JOP ont ce rôle, d'abord de faire découvrir des pratiques qu'on ne voit jamais et puis des pratiques hommes, femmes. Ça, c'est bien. Le problème, c'est après, une fois qu'on aura rangé la flamme olympique, si nos clubs n'ont pas les moyens d'accueillir les filles, les garçons qui ont envie de s'inscrire, , s'il n'y a pas les emplois qualifiés qu'il faut, s'il n'y a pas le budget qu'il faut… Je propose que pour la prochaine olympiade, 2024-2028, on mette 1% du budget pour le sport par an, comme on l'a fait à une époque pour la culture afin de donner les moyens aux clubs d'accueillir un nouveau public, des filles, des garçons dans toutes les pratiques, avec plus de mixité. J'espère qu'on va se saisir des JOP pour faire ça. 

    • Quelle est la place aujourd'hui du sport dans le débat politique ?

    Il n'y a jamais de grands débats publics, politiques sur les enjeux du développement du sport dans notre pays… Ces dernières années, on a eu beaucoup de ministres des sports, de secrétaires d'État aux sports qui ne sont pas restés longtemps en place. Il ne s'agit pas de s'y connaître, de mettre forcément des ministres qui soient d'anciens athlètes. On apprend à s'y connaître. Moi, j'ai appris à m'y connaître. J'ai consulté, j'ai écouté, j'ai discuté. La question est d'avoir une orientation politique, une volonté politique. Qu'est-ce qu'on veut faire du sport ? Est-ce qu'on veut mener le combat éthique ou pas le mener ?… C'est bien le problème que nous avons encore aujourd'hui. Le ministère des Sports a été placé de nouveau sous la tutelle de l'Éducation nationale. Il n'a plus les moyens de jouer ce rôle à la fois d'impulsion et de contrôle du mouvement sportif. Il est complètement affaibli.

     

    Pourquoi avoir accepté de participer à Mars au féminin ?

    Parce que c'est mon engagement féministe, mon engagement pour la place des femmes dans le sport, pour le droit à la pratique sportive des filles et des femmes. J'ai créé une association Femmes ici-là bas, qui a pour objectif justement cette pleine et libre pratique du sport partout, en France et ailleurs. Le sport, c'est le bien-être, le lien social. Je pense que c'est comme la culture, le sport doit être l'objet de beaux débats. La Ville de Dieppe y participe et je suis contente d'en être !

    Propos recueillis par Pierre Leduc

    © Photo D. Allard - AFP

  • Actualité 11/01/24

    Recensement : Dieppe compte sur vous !

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    8 % de logements vont être recensés à Dieppe, entre le 18 janvier et le 24 février 2024.

    Des agents recenseurs sont accrédités par la Ville de Dieppe pour réaliser le recensement des foyers dieppois tirés au sort par l’Institut national de la statistique (Insee). Sur la photo, les agents recenseurs municipaux sont, de gauche à droite : Sylvain Walmacq, Amandine Deschamps, Florence Jue, Sandra Ridel, Audrey Le Courtois, Nathalie Ménival, Emmanuelle Throude, Thomas Bergounioux et Natacha Chavry.

    Si vous êtes concernés, l'agent recenseur, identifiable grâce à une carte tricolore, vous proposera deux options : soit répondre par Internet, via le site le-recensement-et-moi.fr, et dans ce cas l’agent recenseur vous expliquera la démarche à suivre, soit répondre sur papier et il vous remettra une feuille de logement et autant de bulletins individuels qu’il y a de personnes dans votre foyer.

    À savoir :

    • Le recenseur peut vous aider à remplir le questionnaire et viendra récupérer les documents à un moment convenu avec vous.

    • La réponse aux questionnaires du recensement est obligatoire (loi n° 51-711 du 7 juin 1951)

    • Tout agent possède une carte tricolore avec son nom, signée par le maire, qu’il doit vous montrer.

    • Aucun autre organisme que l’Insee n'a accès aux données.

    • Le recensement de la population respecte le règlement général sur la protection des données (RGPD).

    • Le recensement est totalement gratuit. Les agents ne posent aucune question sur les revenus. Ils n’ont rien à vendre et ne proposent aucun service. Ne répondez pas aux sites qui vous réclameraient de l’argent.

    © Photo : Erwan Lesné – Ville de Dieppe

  • Actualité 29/12/23

    Coupe de France : le FCD veut faire valser les Tangos !

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    C'est le match-phare de ce début d'année. Les Harengs du FC Dieppe (National 3) affronte les footballeurs professionnels du Stade lavallois (Ligue 2, L2) le dimanche 7 janvier à 17h30 au stade Jean-Dasnias pour le compte des 32e de finale de la Coupe de France. Face aux Tangos — surnom et couleur du maillot des Lavallois — actuellement 4e de Ligue 2, les joueurs de Guillaume Gonel n'ont rien à perdre. Plus de 3 000 spectateurs sont attendus et rêvent d'un nouvel exploit des Dieppois. Après tout, il y a près de quatre ans, le FCD avait éliminé chez lui le RC Lens (2-1), alors leader de L2. Alors, impossible n'est pas Dieppois ! 

    • Plus d'infos sur le match sur la page Facebook officielle du FC Dieppe.

    © Photo : Pascal Diologent (FCD-Ergué Gabéric, 8e tour de la Coupe de France, 9/12/2023) 

  • Actualité 29/12/23

    Nicolas Langlois élu président de l'Agglo Dieppe-Maritime

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    Pour la première fois depuis la création de l’Agglo en 2003, le Maire de Dieppe gère l’intercommunalité. Maire de Dieppe « à 100 % », Nicolas Langlois préside en effet, depuis le 18 décembre et la tenue d'un conseil communautaire, l’agglomération, entouré de 14 vice-président(e)s (dont 5 Dieppois) issus de la diversité du territoire. Après un hommage rendu à son prédécesseur Patrick Boulier, qui « a particulièrement su bâtir la cohésion qui est la nôtre depuis 2017 », et à ceux qui ont posé les bases de Dieppe-Maritime, « Jean Dasnias, Christian Cuvilliez, Guy Sénécal », le premier édile dieppois s’est attaché à rappeler les grands enjeux intercommunaux.

    Territoire de vie

    « Nos priorités sont celles des gens : le logement, la santé, le développement de notre économie réelle, de l’industrie qui prend ici le virage de la décarbonation, de notre place portuaire, du commerce qui va néces- siter une attention particulière, car les conséquences de l’inflation et de la vie chère sont brutales en ce moment » a-t-il indiqué. Les politiques culturelles et sportives sont essentielles et ne devront jamais être mises de côté. Nous sommes un territoire de vie sur lequel nous voulons le meilleur pour les habitants » note-t-il, soulignant « le rôle et le travail fait par notre député Sébastien Jumel depuis six ans, pour créer du lien, pour dépasser les craintes ou les blo- cages historiques voire passéistes. »

    Nicolas Langlois a également précisé que « nous voulons un ensemble fort de ses communes et de leurs identités sans gommer les particularités, mais en additionnant les forces. » Mieux identifier les compétences et le rôle de l’Agglo sera un enjeu. Même si, se félicite le nouveau président, « quand il s’agit de travailler, de se soigner, de prendre des cours de piscines, d’aller à la mer ou sur l’Avenue verte, les habitants vivent, expérimentent concrètement l’intercommunalité »

     

    Seize communes et des compétences multiples

    Depuis 2003, la communauté d’agglomération Dieppe-Maritime, regroupe 16 communes dans le cadre d’un projet commun destiné à améliorer la vie quotidienne de ses 55 000 habitants et 2 000 entreprises. Lescommunes : Ancourt, Arques-la-Bataille, Aubermesnil-Beaumais, Colmesnil-Manneville, Dieppe, Grèges, Hautot-sur-Mer, Martigny, Martin-Église, Offranville, Rouxmesnil-Bouteilles, Saint-Aubin-sur-Scie, Sainte-Marguerite-sur-Mer, Sauqueville,Tourville-sur-Arques,Varengeville-sur-Mer.

    Parmi les compétences de l'Agglo, il y a les transports, la santé, l'économie, l'eau et l'assainissement, la collecte des déchets ménagers, la culture, l'emploi, l'habitat, la qualité de l’air, la maîtrise de l’énergie, l'insertion et le Campus connecté.

    © Photo : Erwan Lesné - service Communication de la Ville de Dieppe

  • Actualité 29/12/23

    Le Maire adresse ses vœux à la population le 12 janvier

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    Les habitants sont invités dans les salons de l’hôtel de ville à la cérémonie des vœux du Maire à la population, le vendredi 12 janvier 2024 dès 18 heures. L'allocution de Nicolas Langlois est suivie d'une collation. 

  • Actualité 15/12/23

    Recensement : Dieppe gagne des habitants

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    Les résultats du recensement 2024 portant sur la population 2021 sont connus. Dieppe compte 28 813 habitants contre 28 535 en 2023, soit une hausse de 278 habitants (1 % de plus). 

    Les données officielles de l'INSEE pour le recensement annuel des populations des communes, viennent d’être adressées aux maires. Pour 2024, Dieppe comptabilise officiellement 28813 habitants (population légale au 1er janvier 2021), dont 455 habitants « comptés à part » (élèves du territoire installés à Dieppe et étudiants hors Dieppe).  Après plusieurs années où la tendance était à la baisse – tendance statistique rappelons-le puisque le chiffre de population est calculé à partir du recensement d’une partie seulement de la population de chaque ville –, la population augmente donc de nouveau.

    « Une bonne nouvelle pour notre ville, réagit Nicolas Langlois, qui confirme que de nouveaux habitants choisissent Dieppe et que nous avons eu raison de résister à un modèle qui déménage les territoires vers les grandes métropoles et oblige les habitants à aller de plus en plus loin pour étudier ou travailler. Pour autant, notre engagement à prendre soin de Dieppe ne se fonde pas sur ce seul chiffre. Les chiffres du recensement ne sont pas notre alpha et oméga : au cœur de notre politique, et de celle de mes prédécesseurs, c’est l’ambition d’offrir aux habitants le plus grand nombre de services, un tissu commercial dynamique dans chaque quartier, des formations et des emplois pour vivre bien. » 

    Poursuivre des politiques volontaristes fortes 

    Et le Maire d'ajouter : « La tendance à la hausse de la population dieppoise nous confirme qu’il faut continuer notre politique volontariste de construction de logements, continuer à prendre soin de notre environnement, de notre pêche artisanale et du cadre de vie, continuer à soutenir notre riche tissu associatif, continuer à travailler à consolider notre centre hospitalier, notre Scène nationale, continuer à conforter notre port et notre liaison Transmanche, à soutenir les grandes entreprises comme Alpine mais aussi la construction navale et demain la maintenance maritime. Nous voulons aussi continuer à développer la formation sur notre territoire, pour que les jeunes dieppois puissent aussi faire le choix de rester à Dieppe pour étudier. Et continuer à défendre les moyens pour une meilleure connexion du territoire dieppois : davantage de directs Paris-Dieppe par exemple ! Des projets comme le futur EPR et les constructions de logements s’inscrivent dans cette volonté de poursuivre sur la voie d’une ville à vivre et où toujours mieux vivre. Ce chiffre légitime également nos efforts en termes de logement, par exemple dans le cadre de la délibération consacrée aux meublés touristiques qui vise à favoriser le logement des dieppois et futurs dieppois. Une démarche volontariste qui se conjugue au travail législatif porté avec force par le député Sébastien Jumel ». 

    Pour que les chiffres de population tendent toujours plus vers la réalité, la Ville travaille enfin à mieux faire connaître la procédure de recensement annuel et à lever les craintes de certains habitants qui renoncent à répondre, par peur d’être importunés, ou par peur du contrôle. La prochaine campagne annuelle de recensement, pour laquelle 14 agents du service public municipal sont engagés, est programmée du 18 janvier au 24 février 2024. 

    © Photo d'illustration : service Communication de la Ville de Dieppe 

  • Actualité 15/12/23

    Meublés touristiques : Dieppe, ville pionnière pour réguler les locations saisonnières

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    Dieppe est la première ville de Seine-Maritime à encadrer les locations touristiques. Deux délibérations proposées par l’exécutif ont été adoptée à l’unanimité en ce sens. Un gain de plus de 215 logements est escompté pour permettre aux dieppois et futurs dieppois de se loger.

    La Ville de Dieppe vient donc d’adopter, le 14 décembre 2023, deux délibérations importantes (que l’arrêté préfectoral du 11 décembre 2023 autorise à prendre) : l’une met en place au 1er janvier 2024 un régime d’autorisation temporaire de changement d’usage des meublés touristiques, l’autre met en place un numéro d’enregistrement au moment de cette déclaration préalable. Concrètement, il sera désormais obligatoire pour les propriétaires de déclarer le « changement d’usage » de leur logement et de faire enregistrer leur location de tourisme. « Si nous avons toujours défendu le droit aux vacances et le tourisme, la ville que nous voulons, c'est d'abord pour les habitants qui y vivent toute l'année » souligne le maire Nicolas Langlois, évoquant « un signal fort pour encadrer, et demain limiter, les locations saisonnières ».

    Des quotas en baisse

    Pour les prochaines années, des quotas en baisse, ont donc été définis quartier par quartier (quatre secteurs ont donc été définis), pour diminuer le nombre de biens sortis de location traditionnelle. « Ces logements, nous en avons besoin collectivement pour accueillir tous les Dieppois et futurs Dieppois » précise le maire, soulignant que le gain escompté à moyen terme est de plus de 215 logements remis en location classique !

    On compte à Dieppe pas loin de 700 meublés touristiques déclarés à ce jour. Des meublés sont majoritairement concentrés dans les quartiers donnant notamment sur la plage de Dieppe, le port de plaisance, le Pollet et son île qui deviennent inaccessibles pour la population locale ou qui souhaite s’y installer. Des nuisances (fêtes occasionnant du bruit…) sont aussi périodiquement signalés par les riverains. « Tous ces éléments nous ont conduit à adopter une démarche très volontariste sur ce sujet, en essayant de trouver la réponse la plus adaptée et en consultant des villes littorales qui y étaient également confrontées » souligne Nicolas Langlois. « La proposition de loi « transpartisane » sur la régulation des locations Airbnb et plateformes, sur laquelle s’engage fortement notre député Sébastien Jumel à l’Assemblée nationale, devrait permettre des avancées en renforçant le pouvoir de régulation des maires » note également le maire, qui espère des avancées parallèles du phénomène législatif.

    Voir infographie ici.

  • Actualité 14/12/23

    Chantier de restauration du pont Colbert : la foire aux questions

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    Le chantier de restauration du pont Colbert, piloté par Ports de Normandie, va démarrer en février 2024. Son absence implique de nouveaux usages pour maintenir le lien entre les deux rives et consolider l’animation du quartier historique du Pollet. Afin de vous aider à vous y retrouver, dieppe.fr vous propose une Foire aux questions qui sera régulièrement mise à jour. (dernière mise à jour : 5/02/23)

     

    Quels travaux vont être effectués sur le pont Colbert ?

    Le pont Colbert disparaîtra du paysage en ce début d'année 2024. Il sera transporté (le 9 février 2024 si la météo le permet) vers le cours de Dakar et placé sous cocon pour être entièrement désamianté et décapé (6 mois). La structure sera ensuite réparée (8 mois) puis une protection anti-corrosion et la peinture seront appliquées (3 mois). Dans le même temps le mécanisme et les zones de retrait et de manœuvre seront rénovés (8 mois), tout comme la cabine de manœuvre (10 mois). Il sera procédé également au ravalement de la façade du bâtiment des machines (6 mois) et à la mise en lumière de l’ensemble (3 mois). Selon le calendrier prévisionnel, le chantier devrait s’achever mi-2025. Conduit par Ports de Normandie, propriétaire de l’ouvrage, ce grand chantier s’élève à 19,6 millions d’euros, financés par la Région Normandie (9,7M€),le Département de Seine-Maritime (3,3 M€), l’Union Européenne (2 M€), l’État (4,4 M€) et Ports de Normandie (0,2 M€).

     

    Quand le pont sera-t-il fermé à la circulation ?

    Afin de préparer son retrait, il a été fermé à la circulation routière et piétonne le 24 janvier 2024. C’est autour du 9 février 2024, si la météo le permet, qu’il quittera son implantation historique pour être emmené au moyen d’une barge vers un terrain portuaire, situé en bordure du cours de Dakar et entièrement aménagé en novembre et décembre.

     

    Quand le pont sera-t-il transféré sur son lieu de restauration et comment va se dérouler l'opération ?

    Il sera transféré les 9 et 10 février 2024, selon les aléas météos et de chantier. L'opération de déplacement du pont Colbert jusque sur la plateforme, située cours de Dakar, où il sera restauré durant quinze mois occasionnera des fermetures de la passerelle piétonne provisoire (dès le jeudi 8 février à 8h30 au samedi 10 février à 12h50) et de la passerelle Rolland (sur plusieurs étapes de l'opération) ainsi que des fermetures d'espaces au public et des déviations routières.
    Jeudi 8 février : Afin de permettre l'arrivée et la mise en place de la barge qui transportera le pont Colbert, la passerelle piétonne provisoire ne sera plus accessible au public à partir de 8h30 et jusqu'à samedi à 12h50. Durant cette matinée, la passerelle Rolland, qui sera le seul point d'accès piéton durant deux jours, fermera également le temps de laisser passer la barge. La barge sera fixée au moyen de câbles d'amarrage et une zone d'interdiction au public sera délimitée de part et d'autre du pont pour sécuriser la zone.
    Vendredi 9 février : Le pont sera transféré sur la barge entre 9h30 et 10h15. Il restera sur la barge, sans mouvement, jusqu'au lendemain matin.
    Samedi 10 février : Les câbles d'amarrage seront déconnectés de la barge entre 8 heures et 10 heures. La navigation aura lieu entre 10 heures et 13 heures. Durant une partie de cette opération, la passerelle Rolland sera fermée aux piétons tout comme la passerelle provisoire qui rouvrira au plus tard à 12h50. Le pont sera ensuite transféré du quai de Norvège jusqu'à la plateforme aménagée le long du cours de Dakar. Une déviation routière est mise en place sur le cours de Dakar à partir de 6 heures et pour toute la journée. Pour rappel, l'application Citykomi ® permet de savoir en direct si les passerelles sont ouvertes ou fermées.
    Le réseau de bus de Deep Mob. offre également aux piétons une alternative de déplacements. Pour connaître les tarifs et les horaires, rendez-vous sur deepmob.fr.
    Retrouvez le communiqué de presse de Ports de Normandie expliquant l'opération ici.

     

    Combien de temps va durer le chantier ?

    Le pont sera placé sous cloche et donc totalement inaccessible au public. Une sorte de grand sarcophage à l’intérieur duquel ingénieurs et ouvriers spécialisés vont s’affairer pour mener les diverses étapes d’une rénovation complexe réalisée selon les règles de l’art. Classé Monument historique, le pont Colbert sera, en effet, restauré à l’identique. Selon les prévisions, même si divers aléas peuvent engendrer des retards, le chantier devrait durer près de quinze mois.

     

    Va-t-on encore pouvoir traverser à pied ?

    Et oui ! Ports de Normandie a installé une passerelle provisoire. Fonctionnant, à l'énergie électrique permettant de limiter les nuisances sonores, grâce à un système de pivot qui permet à ce nouvel ouvrage de tourner pour les besoins du trafic portuaire, la passerelle, accessible également aux personnes à mobilité réduite, se situe à quelques mètres de l’emplacement du pont Colbert, reliant le quai de l’Yser au quai de la Somme. Ouverte 24h/24 et éclairée la nuit, elle s'ouvre à la navigation sur demande, 2 heures avant la pleine mer et 45 minutes après. Attention, cette passerelle, de couleur blanche, sera fermée à la circulation piétonne quand le vent sera supérieur à 50 km/h en rafale. Un anémomètre mesure la force du vent sur place. En cas d’indisponibilité, la passerelle Amiral Roland (bleue) sera toujours accessible via la rue Robbe. Les cyclistes peuvent emprunter ces deux passerelles, mais en mettant le pied à terre. Une signalétique spécifique sera créée pour que les piétons puissent s’y rendre sans difficulté. Voir le plan.

     

    Et si je prends le bus, comment je fais ?

    Deep Mob. qui organise les transports en commun pour le compte de la communauté d’agglomération Dieppe Maritime a entièrement retravaillé les itinéraires de l’ensemble de ses lignes. Un nouveau schéma qui, non seulement, ne pénalise pas les habitants des zones situées au Pollet et aux Côteaux, notamment, mais qui apporte en plus de véritables améliorations sur une grande partie des dessertes. Retrouvez tous les tracés et les nouveaux horaires des lignes du réseau sur deepmob.fr et qui prendront effet dès le 8 janvier 2024. Voir le plan.

     

    Et en voiture, on passe par où ?

    Un grand plan de déviations routières a été pensé. Testés lors de la fermeture du pont pont Colbert au printemps 2021 durant trois semaines pour les besoins des toutes dernières études préalables à sa restauration, de nouveaux itinéraires vont être mis en place. S’ils permettent de contourner le secteur pour les automobilistes de passage, ils garantissent également la possibilité de se rendre, en toute quiétude au Pollet pour profiter des commerces (Voir le plan général des déviations et le nouveau plan de circulation sur la presqu'île du Pollet). D’importants travaux ont été menés pour sécuriser plusieurs axes comme la route de Bonne Nouvelle et la rue Joseph Brunel, où se trouve l’école Vauquelin, et pour fluidifier le trafic à l’image des deux ronds-points cours Bourbon (voir les plans des travaux d'aménagement). Par ailleurs, le plan de circulation est modifié sur la presqu’île du Pollet (plan) pour faciliter les déplacements et éviter les engorgements. Des places de stationnement en zone bleue (stationnement minute nécessitant la mise en place d’un disque sur le tableau de bord) vont également être créées.

     

    Y aura-t-il un risque de bouchons autour du bassin de Paris en raison des transports de pales d'éoliennes ?

    C'est l'une des bonnes nouvelles qui prendra effet dès le 1er janvier 2024. Les négociations avec les transporteurs et la société d'autoroute Sanef ont permis d'aboutir à une solution qui permet à la Ville de Dieppe d'interdire désormais le trafic des convois exceptionnels de colis lourds comme les pales d'éoliennes lors des heures de pointe (entre 8 heures et 8h45; entre 12 heures et 12h30; entre 13h15 et 14 heures et entre 17 heures et 18h30).

     

    Les commerces restent-ils accessibles au Pollet ?

    Ils le seront quelque soit votre mode de déplacement. Tous les commerces du Pollet tout comme les cabinets médicaux vont continuer à fonctionner normalement et tous les lieux publics comme l’école Vauquelin, la résidence Marcel-Paul, la Poste ou encore l’épicerie solidaire Chez Louisette continueront à accueillir le public. De nombreuses animations seront par ailleurs organisées durant toute la durée du chantier pour faire vivre le quartier.

     

    Comment je m’informe sur l’actualité autour du chantier ?

    Le site Internet pontcolbert.portsdenormandie.fr a été créé par Ports de Normandie et est déjà en ligne. Il sera régulièrement mis à jour et permettra de suivre l’avancée du chantier. Par ailleurs, la Ville de Dieppe publiera régulièrement des actualités sur ses réseaux sociaux (Facebook, Instagram et X), sur le site dieppe.fr et dans les colonnes de Journal de Bord. Ports de Normandie propose également de s’informer en temps réel des mouvements du pont Ango et des passerelles piétonnes grâce à l’application Citykomi (téléchargeable sur Google Play et Apple Store). Notez que des flyers intégrant les plans de déviation et l'explicatif du chantier ont été édités par Ports de Normandie. Ils seront disponibles début janvier dans les accueils municipaux et chez les commerçants du Pollet.

     

    Auprès de qui je m’adresse en cas de problème ?

    Si vous rencontrez un désagrément durant le chantier, plusieurs possibilités s’offrent à vous. Un espace vous est accessible directement sur le site pontcolbert.portsdenormandie.fr pour adresser directement votre question à Ports de Normandie. Il en est de même pour les questions liées aux transports en commun auprès de Deep Mob. (deepmob.fr). La Ville de Dieppe pourra également relayer vos doléances. Une présence régulière des agents et d'élus municipaux sera mise en place dès les premiers jours du chantier et une ligne de téléphone portable dédiée sera ouverte à l'approche du chantier et communiquée début janvier 2024.

     

    Pourquoi était-il si important de restaurer le pont Colbert ?

    Il relie les deux rives du Pollet depuis 134 ans. Le pont Colbert est bien plus qu’un ouvrage portuaire. Il est un élément à part entière du patrimoine maritime dieppois. Suite à une forte mobilisation des habitants, du comité de sauvegarde et des élus du territoire, il avait été classé Monument historique en 2020. Le pont Colbert, qui pèse 840 tonnes (il a été pesé précisément en décembre) et mesure 70 mètres de long, a subi les attaques du temps. Une détérioration qui nécessite une complète restauration pour préserver ce joyau architectural mais aussi sa machinerie et son mécanisme d’origine.

     

    J'ai raté la réunion publique du 6 décembre 2023 sur la présentation du chantier, comment savoir ce qui s'est dit ?

    C'est très simple ! L'équipe du service communication en assuré la captation. Vous pouvez revoir la vidéo ici.

     

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  • Actualité 17/11/23

    20/25 novembre : des saynètes pour sensibiliser au harcèlement de rue 

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    Du 20 au 24 novembre, la Compagnie M42, missionnée par la Ville de Dieppe pour créer des saynètes sur le thème du harcèlement de rue, se déplace dans un bus de Deep Mob près des centres de formation, lycées, collèges et centres sociaux pour présenter celles-ci.

    Le samedi 25 novembre, pour la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le bus s’arrêtera sur le quai Henri IV, de 9 heures à 12 heures, puis sur le parvis de l'hôtel de ville, de 14 heures à 15h30, pour des séances grand public.

    Une marche, organisée par l'association Nous Toutes Dieppe, sera proposées dans la foulée des saynètes jouées le 25 novembr sur le parvis de l’hôtel de ville. Départ depuis ce même parvis à 15 h 30.

    © Visuel d'illustration : Adobe Stock / Samuel Gros - Ville de Dieppe

  • Actualité 17/11/23

    Du 20 au 23 novembre, la petite enfance à l'honneur

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    Du 20 au 23 novembre 2023, la Ville de Dieppe et ses partenaires vous proposent la Vien gradir ensemble, une semaine de la petite enfance, un rendez-vous gratuit raéunissant parents, enfants et professionnels, avec de nombreux stands, animations et temps d’échange, dans le cadre de la Journée internationale des droits de l’enfant qui se tient chaque 20 novembre.

    • Retrouvez le programme complet et les animations prévues sur Dieppe sur https://vu.fr/mweWu.

     

    Du 20 au 23 novembre 2023, de 10 heures à 18 heures (avec une nocturne le mardi 21 novembre jusqu’à 20 heures) à la salle des congrès. Parmi les temps forts à ne pas manquer :

    •Lundi 20 novembre de 10 heures et 18 heures : atelier de la Cie Les saltimbanques de l'impossible. À la découverte des Arts du cirque avec jonglerie (balle, cerceau, foulard) et équilibre sur objets

    • Mardi 21 novembre de 16h30 à 20 heures : intervention de Florent Metlzer, pianiste, qui propose des comptines pour les enfants et toutes les générations. Spectacle d’éveil musical à la fin duquel les tout-petits sont invités à toucher les instruments

    • Mardi 21 et mercredi 22 novembre de 10 heures à 20 heures le mardi et 10 heures à 18 heures le mercredi : animation : La Maison géante ®. Identifions les dangers domestiques en se mettant à hauteur d’un enfant de 2 ans

    • Mercredi 22 novembre de 14 heures - 16 heures : Afrika Musique propose un atelier autour du djembé

    • Jeudi 23 novembre de 10 heures à 12 heures : atelier Le corps en mouvement puis de 14h30 à 17 heures atelier Motricité et bibliothèque éphémère (ouvrages sur la petite enfance)

     

    Deux conférences, gratuites, ouvertes à toutes et tous seront proposées par des spécialistes autour de thématiques liées à la petite enfance et se tiennent dans les salons du Casino de Dieppe.

    • Lundi 20 novembre de 18h30 à 20 heures : ''Le tout-petit'' par David Ducastel

    Le psychologue de crèche David Ducastel vous propose de parler du “tout-petit” (0-3 ans). Éveil et rythmes de développement, colère et agressivité (comment réagir ?), séparation parents-enfants et accompagnement des émotions sont au cœur de cette conférence.

    • Jeudi 23 novembre de 18h30 à 20 heures : ''La confiance en soi de mon enfant'' par Arnaud Deroo, thérapeute et consultant.

    Fort d’une expérience de plus de 30 ans auprès d’enfants, adolescents et familles, il propose une conférence sur la confiance en soi : sa définition mais aussi celle de l’estime de soi. “Comment la confiance se construit-elle ? et si elle se construit peut-on l’abîmer ?”

    © Conception graphique - Samuel Gros – Ville de Dieppe

  • Actualité 07/11/23

    Assemblées de quartier : votre parole compte

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    En présence de Nicolas Langlois, maire de Dieppe, de Sébastien Jumel, député, des élus et des services municipaux, cinq réunions publiques ouvertes à tous se tiennent du 6 au 20 novembre dans les quartiers :

    •Centre-ville, Saint-Pierre, Vauban : lundi 6 novembre à 18 h salle Paul-Éluard

    •Le Pollet, Côteaux, Vieux-Neuville : vendredi 10 novembre à 18 h à l’école Jacques-Prévert

    •Val Druel : lundi 13 novembre à 18h à la Maison de quartier Camille-Claudel 

    •Neuville (nord) et Puys : jeudi 16 novembre à 18 h au Drakkar

    •Caude-Côte, Janval, Les Bruyères : lundi 20novembreà18hàla Maison Jacques-Prévert

    Les aménagements routiers préparatoires des futurs travaux du Pont Colbert, la réorganisation du réseau de bus, avec Deep Mob et l’Agglo Dieppe-Maritime), le cadre de vie quotidien sont en débat. Infos : Service Démocratie locale au 02 35 06 61 24 ou 02 35 06 61 05.

    Faire avec les habitants

    Saviez-vous que les projets d’installation de nouvelles cabines sur le front de mer ou de consignes à vélos (résidence Marcel-Paul, place Saint-Jacques et quai du Hâble) sont nés des réflexions collectives issues d’une Assemblée de quartier ? Car chaque prise de parole lors de ces réunions publiques est prise en considération.

    Dans la mesure du possible, des réponses sont données en direct, soit par des élus, soit par des agents des services techniques de la Ville. Mais parfois, la doléance est expertisée au sortir de la réunion publique. « On note tout ce qui est dit, assure Bruno Le Marrec, responsable du service Démocratie locale à la Ville. On laisse aussi des petits coupons sur chaque chaise pour que les habitants émettent des remarques ou posent des questions, en mettant leurs coordonnées. Ça permet aux personnes plus timides ou qui n’ont pas eu la possibilité de poser leur question, de relayer leurs demandes, qui concernent à 80 % l’amélioration du cadre de vie. On rappelle les habitants après les Assemblées. Leur requête est instruite par les services municipaux avec une réponse adaptée. »

    La spécificité de la Démocratie locale sauce dieppoise est d’impliquer l’habitant dans les solutions. « Lors des Assemblées, on recueille une première expertise et on creuse des premières réponses avec les habitants, note Bruno Le Marrec. C’est l’essence même de notre démarche, faire avec eux ! » Alors, du 6 au 20 novembre, venez prendre le micro et la parole !

    © Photo Erwan Lesné

  • Actualité 07/11/23

    Foire aux harengs : ça grille les 18 et 19 novembre !

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    Dégustations et ventes de produits de la mer frais, braderie, déambulations musicales et théâtrales, feu d'artifice, concours de décorticage de coquilles… On ne présente plus la Foire aux harengs et à la coquille Saint-Jacques de Dieppe. Organisée par la Ville, la 53e édition se tient les 18 et 19 novembre.

    L’inauguration a lieu le samedi à 10 h au quai Trudaine : déambulations le long des quais Henri IV et du Hâble avec la fanfare Le Temps de chanter, Les Polletais et la Confrérie du hareng.

    Télécharger le programme complet de la Foire aux harengs des 18 et 19 novembre

    Et aussi…

    • Pour célébrer les dix ans de la reprise de l’organisation de la Foire par la Ville, le service Communication expose les affiches 2014-2023 créées par Brigitte Pope, alias Popey, avec pour chacune des œuvres une anecdote de l’artiste anglo-dieppoise. À voir sur le stand de la Ville, près de l’Office de tourisme.

    • Vente de produits dérivés : à retrouver tout le week- end, sur l’autre stand Ville situé près de la fontaine du quaiHenriIV. Desaffiches de cette édition 2023 (3 €), des mugs/tasses (6 €), des sacs en coton (6,50 €) et des magnets (3,50 €) y sont en vente pour le public.

    • 1050 places de parkings de délestage pour les véhicules légers : hippodrome (500) et parking Alpine (550). L’hippodrome (20) et le quai Duquesne (30) réservent également du stationnement pour les personnes à mobilité réduite (PMR). Des navettes gratuites de Deep Mob sont mises en place toutes les trente minutes au départ de l’hippodrome et d’Alpine, le samedi de 9h à 22h30 et le dimanche de 9h à 20h.

    © Photo d'archive Foire aux harengs 2022 : Erwan Lesné

  • Actualité 01/11/23

    Tempête Ciarán : les bons gestes à adopter pour votre sécurité

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    Météo-France indique que la tempête Ciarán abordera les régions du nord-ouest de la France dans la nuit du mercredi 1er au jeudi 2 novembre et sévira encore au cours de la matinée du jeudi.

    Pour traverser cet épisode venteux en toute sécurité, voici quelques recommandations qu'il convient de respecter :

    • Protégez vos biens !

    Pensez à mettre les objets d’extérieur à l’abri du vent pour éviter qu’ils s’abîment et qu’ils s’envolent : mobilier de jardin, poubelles, jouets et tout autre objet qui n'est pas fixé au sol. Idem pour votre voiture, qu'il convient, si possible, de mettre au garage ou sous un abri.

    • Mettez-vous à l'abri !

    Les autorités préconisent de limiter vos déplacements voire de rester chez soi et de ne pas utiliser la voiture. Le télétravail, s'il est envisageable, est à privilégier.

    Pour parer à toute coupure d'électricité, prévoyez une lampe de poche et une radio portable à piles pour s’informer de l’évolution de la situation. Par ailleurs, limitez le nombre d'appareils électriques pour éviter la surcharge !

    De plus, une fois à l'abri, fermez vos volets.

    • Faites attention aux chutes d'arbres !

    C'est l'une des principales inquiétudes liées à la tempête Ciaran. Il est donc conseillé d'éviter les zones boisées, que ce soit à pied ou en voiture.

    • Ne vous promenez pas sur la plage !

    Les vents forts seront accompagnés de vagues très importantes, de six à huit mètres sur les côtes de la Manche, selon Météo-France. Des submersions importantes et des projections de galets peuvent avoir lieu. Dès la vigilance orange pour vagues-submersion, les balades sur la côte sont proscrites, de même que toute sortie en mer. Pour rappel, la jetée ouest est fermée au public jusqu'à lundi prochain.

    © Photo d'archive et d'illustration : Pascal Diologent

  • Actualité 31/10/23

    Tempête Ciaran : les infos en direct

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    Informations au 3 novembre 2023 :

    • Le marché du 4 novembre est maintenu ;
    • L'électricité sera rétablie quartier Saint-Pierre en début d'après-midi ;
    • Suite aux précipitations et à une coulée de boue, la rue du Général Chanzy est fermée jusqu'à la fin de l'intervention des services ;
    • Les terrains de sport sont fermés par arrêté municipal jusqu'au lundi 6 novembre (lire l'arrêté : https://vu.fr/xmFN) ;
    • L'animation Cabane de l'écrivain prévue rue Mme Renée-Coty est annulée ;
    • Dieppe-Maritime informe que la tournée du tri sélectif du jeudi sera réalisée vendredi, les tournées déchets verts du jeudi et vendredi sont annulées et repoussées au jeudi 9 et vendredi 10 novembre, les tournées habituelles du vendredi sont, pour le moment, maintenues ;
    • L'avenue Jean-Riblet (Neuville) est fermée à toute circulation, de l'intersection de l'avenue Jacques-Prévert à l'entrée du terrain de foot des Côteaux (tout le grand virage) ;
    • La jetée ouest est fermée jusqu'au lundi 6 novembre ;
    • La circulation des trains restera fortement perturbée vendredi matin et la reprise sera très progressive en fonction de l’état des voies constaté ce jour et cette nuit par les trains de reconnaissance.

     

    © Photo : Pascal Diologent - Ville de Dieppe

  • Actualité 23/10/23

    Château et Musée : 100 ans de vie commune

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    Une exposition qui retrace leur destin commun a débuté le 21 octobre. Jusqu’au 5 mai 2024, d’autres animations et conférences rythmeront cet anniversaire.

    Un siècle partagé ensemble. Le château bâti au XVe siècle et le Musée municipal créé en 1863 se sont unis en 1923 pour ne faire qu’un. La Ville avait racheté l’édifice à l’État en 1905. Pour célébrer ce centenaire, l’équipe du Musée de Dieppe explore, dans l’exposition Château-Musée, 100 ans en commun, tant l’histoire tourmentée du château classé monument historique en 1862, que l’évolution des collections du Musée. 

    « Témoin des soubresauts de l’histoire et lieu de vie, le château de Dieppe a fait l’objet de découvertes archéologiques au fil des différents remaniements architecturaux, attestant des fonctions militaires et domestiques de la forteresse, explique Pierre Ickowicz, conservateur en chef du Musée. Les collections du Musée évoquent également l’histoire longue et mouvementée de l’édifice. »

    Le communiqué de presse de l'exposition centenaire

    Au programme

    - des visites guidées de l'exposition temporaire les 28 octobre, 3 novembre et 25 novembre à 14h30 ainsi que le 3 décembre à 15 heures

    - des ateliers collages créatifs, avec l'artiste Muxx, à partir d’images du château et des œuvres qui y sont présentées les 29 octobre et 4 novembre à 14h30 (tarifs : 6,50 €, accompagnement obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans)

    - des ateliers diorama, avec l'artiste Muxx, les 2 novembre et 30 décembre à 14h30 : création à l’aide
    de colle, de ciseaux et d’imagination, du château de vos rêves en décor miniature via des dessins et des images imprimées (tarifs : 6,50 €, accompagnement obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans) 

    - le spectacle L'artilleur du roi par la Cie L’Epée d’Aymeric les 29 octobre et 4 novembre sur la terrasse Jean-Ribault : un campement d’artillerie à ciel ouvert avec des tirs de canons, arquebuses et tirs à poudre 

    En pratique

    Ouverture du mercredi au samedi de 10 heures à 12 heures puis de 14 heures à 17 heures, et le dimanche de 10 heures à 12 heures puis de 14 heures à 18 heures. Tarif plein : 5,50 €. Tarif réduit : 3,50 €. Gratuité : moins de 25 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, cartes professionnelles, personnes handicapées et accompagnateurs.

    Contact : 02 35 06 61 99 ou museededieppe@mairie-dieppe.fr. Infos : page Facebook du Musée de Dieppe.

    © Visuel : Ludwig Malbranque - service Communication de la Ville de Dieppe

  • Actualité 13/10/23

    Pont Colbert : des travaux préparatoires débutent ce lundi 16 octobre 2023

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    En amont du chantier de restauration du Pont Colbert qui devrait débuter en janvier 2024, la Ville de Dieppe et Ports de Normandie vont réaliser différents travaux préparatoires aux mises en place de déviations routières et piétonnes, à compter de ce lundi 16 octobre 2023.

    1- La Ville de Dieppe va ainsi procéder à des aménagements de sécurité sur la route Départementale 1 (rues Joseph-Brunel, Maurice-Levasseur et Bonne Nouvelle). Ces premiers travaux, qui dureront quatre semaines (hors intempéries ou aléa de chantier), nécessitent de réguler la circulation routière.

    Le chantier se fera par secteurs successifs et une circulation en alternat, ainsi qu'une interdiction de stationner en journée seront mises en place tout le long du chantier.

    Objectifs :

    • Sécuriser les cheminements piétons  : renforcer ou créer des passages piétons sur tout le linéaire, mettre les traversées piétonnes aux normes PMR (Personnes à Mobilité Réduite), évacuer autant que possible le stationnement des trottoirs ;
    • Ralentir les véhicules en ponctuant l’itinéraire avec des aménagements ralentisseurs (coussins et chicanes).

     

    Retrouvez l'intégralité des séquences, ainsi que les plans de circulation, sur cette plaquette (une distribution va également effectuée dans les boîtes aux lettres des riverains).

     

    2 - Parallèlement, Ports de Normandie va procéder à des aménagements du double rond-point du cour Bourbon afin de le sécuriser. Le propriétaire des infrastructures portuaires préparera dans le même temps les futurs travaux du pont avec la création d'une plateforme de stockage où sera installé le Pont Colbert après son enlèvement pour effectuer la restauration.

    Les travaux sur le rond-point, prévus pour durer un mois (hors intempéries ou aléa de chantier), consisteront à :

    • Procéder à une reprise de l’enrobé qui est assez endommagé et du réseau d’eaux usées et pluviales situé juste en dessous ;
    • Réduire la circulation au sein du double-giratoire à 2 X 1 voie et en augmenter le diamètre ;
    • Refaire le marquage au sol. En effet, ce double rond-point ne sera pas surélevé de manière à laisser la possibilité aux convois exceptionnels d’emprunter cet axe ;
    • Il est à noter que les rails situés sur cette zone seront conservés afin de préserver la possibilité d’une desserte ferroviaire du port de Dieppe.

     

    Retrouvez l'explicatif de ces travaux, ainsi que leur impact sur la circulation, sur le communiqué de presse de Ports de Normandie.

     

    3 - Ports de Normandie va également effectuer des travaux de remise en état des maçonneries du quai de l'Yser, du lundi 16 octobre 2023 au vendredi 1er décembre 2023 inclus.

    En l’occurrence, le stationnement de tout véhicule sera interdit quai de l'Yser, côté chenal, au niveau de l'intersection avec la rue Jean-Antoine Belleteste.
    Lire l'arrêté municipal.

     

    Conception graphique : Samuel Gros – Ville de Dieppe

  • Actualité 11/10/23

    Dieppe – Château-musée, un destin partagé : Le colloque

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    Le 21 octobre 2023, dans le cadre des 100 ans du Musée de Dieppe, la Ville de Dieppe et les Amys du Vieux-Dieppe organisent un colloque exceptionnel et invitent la direction du Musée, des spécialistes et étudiants ayant étudié l’histoire de Dieppe, du château et de ses collections muséales à présenter leurs dernières recherches.

    Deux thèmes y seront évoqués : ''Le Château de Dieppe : Histoire et archéologie'', de 9 h 30 à 12 h 30, et ''Coexister : Un musée dans un château'', de 14 heures à 16 h 30.

    Avec la présence de nombreux intervenants, dont Christophe Maneuvrier, enseignant-chercheur en Histoire médiévale, Philippe Lardin, historien professeur honoraire de l’Université de Rouen, Grégory Quiquempoix, étudiant chercheur en archéologie à l'Université de Rouen, Véronique Montembault, restauratrice, spécialiste des cuirs...

    De 9 heures à 16 h 30 dans les salles du Conseil municipal, au 2e étage de l'hôtel de ville
    Gratuit

    Programme complet (PDF)
    Contact : accueil du Musée de Dieppe et 02 35 06 61 99

    Conception graphique : Ludwig Malbranque – Ville de Dieppe

  • Actualité 02/10/23

    7 et 8 octobre : coups d’œil dans le rétro

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    Les 7 et 8 octobre, le Rallye historique organise en parallèle le 1er Festi-vintage sur les pelouses.

    Un nouveau virage. Au départ de la plage de Dieppe à 13h15 le 7 octobre et à 8 heures le 8 octobre, environ 80 véhicules de plus de 30 ans et véhicules d’exception de plus de 25 ans inscrits au 4e Dieppe Rallye historique traversent le Pays de Caux. Le principe ? Suivre un itinéraire à l’aide d’un road- book fléché et métré, tout en respectant des moyennes que l’organisateur a fixées. Les non respects des moyennes sont sanctionnées par des points de pénalité, les concurrents n’ayant pas connaissance du positionnement et du nombre de contrôles. Au final, ces pénalités permettent d’établir un classement dit “de régularité”. Cette épreuve propose aussi une catégorie “navigation découverte” (sans contrainte de moyenne) et un challenge Alpine pour les nouvelles A 110.

    Camping, rock, pin-ups, tatouages… 

    Le 7 octobre, de 9 heures à 23 h 30, et le 8 octobre, de 9 heures à 18 heures, le Dieppe Festi-vintage prend ses quartiers sur les pelouses de front de mer. De nombreuses animations gratuites attendent le public : exposition d’anciens tracteurs, camions de pompiers et véhicules (motos, mobylettes, autos américaines...), installation d’un camping type années 60 et d’un camp militaire avec l’association 89e Dius, concerts rock (Cheap SunglassesBig Dood Hot SwingersRoute 590), cabaret et défilé de pin-ups avec Lady Beverly, danses avec Dieppe Country Liners, stands tatouage et barbier....

    • Plus d'infos sur le site de Dieppe Rallye historique

    © Photo d'illustration : Pascal Diologent

  • Actualité 29/09/23

    Grande collecte photos du sport dieppois

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    Vous êtes sportif ou ancien sportif, bénévole, supporter, photographe… ? Vous possédez dans vos archives des photographies anciennes et/ou récentes (en tirage papier ou en format numérique) de moments sportifs dieppois ? Alors prêtez-les nous !

    À l’horizon des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, le Fonds ancien et local, le service des Sports et le service Communication de la Ville de Dieppe veulent constituer un grand album photos de l’histoire du sport dieppois, qui sera exposé durant l’Olympiade.

    Jusqu’à fin décembre 2023, venez déposer vos clichés dans un des lieux suivants :

    • Médiathèque Jean-Renoir
    • Hôtel de ville
    • Maison des sports (centre-ville)
    • Maison Jacques-Prévert (Janval)
    • Pôle La Fontaine (Les Bruyères)
    • Mairie annexe de Neuville
    • Bib’-ludo du Drakkar (Neuville)
    • Espace Camille-Claudel (Val Druel)

     

    Chaque donateur doit signer un contrat de don de reproductions numériques de ses archives. Tous les sports, toutes les pratiques, y compris celles des loisirs hors des terrains de sport, sont les bienvenus à l’exception des photographies issues des réseaux sociaux ou de sport mécanique.

    Un comité sera chargé de valider les photos les plus pertinentes. Les documents seront ensuite rassemblés et, le cas échéant, scannés par le service Communication, avant de faire l’objet d’une exposition grand public l’été prochain au cours d’un temps fort convivial.

    Les clichés originaux seront restitués à leur propriétaire sous un délai d’un mois.

    Contact : Fonds ancien et local au 02 35 06 63 35

    Pour les photos numériques vous pouvez les envoyer aux formats Jpeg, Png et Tiff en précisant vos noms, prénoms et le contexte de la prise de vue à journaldebord@mairie-dieppe.fr.

    Grande collecte de photos visuel 2023

    Conception graphique : Samuel Gros – Ville de Dieppe

  • Actualité 11/09/23

    16 et 17 septembre : le week-end du patrimoine

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    Pour les Journées européennes du patrimoine (JEP), les équipes de Dieppe Ville d’art et d’histoire, du Musée, du Fonds ancien et local et des partenaires culturels de la cité ont concocté un riche programme gratuit sous le thème du “Patrimoine vivant”.

    •Télécharger le programme complet des JEP 2023 à Dieppe

    Sont proposés : des visites guidées et des expos sur l’histoire de Dieppe (Dieppe au Moyen-ÂgeDieppe station balnéaireCanot le Côte d’AlbâtreDieppe et le Canada…), un pan sur la Seconde Guerre mondiale (ouverture du Mémorial du 19 août 1942, visite du Bunker de Puys, histoire du bombardier anglo-canadien Halifax...), l’accès libre aux lieux de culte, de culture (Estran-Cité de la mer) ou méconnus (serres municipales, fonds ancien, Les dentelles), un concert du Chœur Saint- Rémi à l’église Saint-Rémy, des Tribunes d’orgue et même du jeu avec l’asso Questions pour un champion.

    Le château, édifice vivant

    Il est ouvert et accessible gratuitement lors du week-end des JEP, les 16 et 17 septembre de 10h à 18h. La Cie du théâtre de la Bataille propose La vie de château !, pour partir à la rencontre de personnages qui ont marqué l’histoire de Dieppe (Jehan Ango, Duchesse de Berry, Camille Coche...) le temps d’une déambulation au sein même du château. Spectacles visibles samedi et dimanche à 10h10, 11h40, 14h30 et 16h15. Réservation obligatoire au 02 35 06 61 99.

    Les Amys du Vieux-Dieppe propose une découverte ludique du patrimoine du Pollet sous forme de BD ainsi qu’une expo de photographes dieppois, à voir tout le week-end de 10h à 18h à la salle pédagogique. Par ailleurs, il est encore temps de plonger Sous les eaux, épaves de la côte d’albâtre, de10h à 18h. Des visites expresso (30 minutes) de l’expo temporaire du Musée ont lieu le samedi à14h et 15h, le dimanche à 11h,14h et 15h. De son côté, l’association Terres et Mers d’ivoire propose de (re)découvrir l’histoire des ivoires sculptés, tout le week-end de 10h à 18h à la salle des ivoires.

  • Actualité 08/09/23

    Participez à la Corrida et gagnez le droit de courir le Marathon pour tous de Paris 2024

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    Dans le cadre du label Terre de Jeux 2024, la Ville de Dieppe fait remporter quatre dossards pour participer au Marathon pour tous de Paris 2024 aux participants de la Corrida, le 23 septembre. Explications.

    Pour la première fois de l’histoire, Paris 2024 propose aux spectateurs de se lever des gradins pour vivre l’expérience des Jeux dans la peau d’un athlète. Ainsi, le Marathon pour tous de Paris 2024 se déroulera sur le même parcours que la mythique course du Marathon Olympique, le 10 août, de nuit, entre Paris et Versailles. Une distance plus courte de 10 kilomètres sur ce même parcours sera également proposée pour permettre à chaque sportif – confirmé et débutant, jeune et moins jeune – de vivre une expérience unique pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024 Plus de 2 000 membres du Club Paris 2024 ont d’ores et déjà remporté leurs précieux sésames et seront présents sur la ligne de départ en clôture des Jeux.

    La Ville de Dieppe, labellisée Terre de Jeux 2024, offre la possibilité pour les participants de la Corrida, organisée en partenariat avec le Stade Dieppois et qui sera courue le 23 septembre en cœur de ville, de remporter également leur dossard pour le Marathon Pour Tous.

    Quatre dossards sont à gagner, soit deux femmes et deux hommes.

     

    Pour tenter de les remporter, rien de plus simple :

    1- Il faut tout d'abord, au préalable, s'inscrire à l'épreuve « adultes » (à partir de 16 ans) de 7 kilomètres de la Corrida (corridadedieppe.fr).

    2- Le jour de la course, le 23 septembre, après avoir retiré son dossard pour la Corrida, sur le front de mer, il faudra ensuite se rendre sur le stand du service des sports (identifié avec des flammes Terre de Jeux), muni de son smartphone, où il sera proposé de s'inscrire au tirage au sort pour remporter son dossard pour le Marathon pour tous en scannant un QR code.

    3- Pour être retenu pour le tirage au sort, il est impératif de franchir la ligne d'arrivée de la Corrida.

    4- Après la course, le tirage au sort sera effectué pour désigner les quatre heureux participants qui pourront prendre le départ du 10 kilomètres du Marathon pour tous.

     

    Pour celles et ceux qui n’ont pas encore obtenu leur dossard pour le Marathon Pour Tous, rendez-vous sur le site du Club Paris 2024 pour relever des défis et tenter de remporter un dossard.

     

    © Photo d'archive : Erwan Lesné - Ville de Dieppe

  • Actualité 07/09/23

    François Morel : « Ce qui à première vue paraît inutile s'avère indispensable »

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    Sensibles et drôles, le comédien, humoriste, poète et chroniqueur de France Inter, François Morel, et son fils Valentin, auteur, forment un duo atypique qui se produira sur la scène du conservatoire Camille Saint-Saëns, vendredi 6 octobre à 20 heures dans le cadre du festival Terres de paroles. Ils se donnent ainsi la réplique dans le spectacle Le dictionnaire amoureux de l’inutile inspiré de l’ouvrage qu’ils ont rédigé à quatre mains. Interview.

     

    Pour les Normands que vous êtes, jouer à Dieppe ça a une saveur particulière ?
    François Morel :
    « Le normand que je suis me semble géographiquement assez éloigné du normand dieppois. Quand, enfant, j'allais à la mer, c'était plutôt du côté du Mont-Saint-Michel, de Port-en-Bessin ou de Luc-sur-Mer. Dieppe, c'était loin ! J'ai heureusement eu le bonheur en grandissant de mieux connaître ce qu'on appelait jadis la Haute-Normandie riche à mes yeux de paysages extraordinaires et d'amis précieux ! »

    Valentin Morel : « Né à Paris, je ne suis normand que d’origine, par mon père, ma mère et les étés d’enfance passés dans l’Orne chez mes grands-parents. Aujourd’hui, mon lien avec la Normandie est plus nostalgique que concret, fait de souvenirs lointains et ensoleillés. Ceci étant précisé, je n’éprouve, moi, aucune difficulté à m’accaparer le territoire dans son ensemble, de Vernon au Mont-Saint-Michel, et à me revendiquer normand quand je suis à Paris. Venir à Dieppe c’est donc comme jouer à la maison. »
     

    Vous êtes les auteurs d’un dictionnaire amoureux de l’inutile que vous adaptez désormais à la scène. Pourquoi l’inutile ?
    F.M. :
    « Ce n'est pas spécialement un livre consacré à l'absurde même si l'absurde y est parfois présent. Je crois que le point de départ, c'était l'idée des ricochets. Quand on est au bord de la mer et qu'on s'amuse à saisir un galet plat pour essayer de le faire rebondir sur l'eau, ce n'est pas un instant critique. On ne peut pas spécialement s'en prévaloir le soir en rentrant chez soi mais ça peut être un instant de vie irremplaçable pour peu que ce soit un jeu entre un adulte et un enfant, un joli moment de complicité et d'amusement. Alors, on a commencé comme ça, tenter de collectionner tout ce qui à première vue paraît inutile et cependant s'avère indispensable... »

    V.M. : « Et nous nous sommes rapidement rendus compte, à condition de trouver le bon angle, que ce thème de l’inutile était suffisamment large pour nous laisser la liberté de parler de quasiment tout ce que nous voudrions. Parce que tout peut être regardé, selon le point de vue, comme étant inutile. »
     

    C’est d’abord un ouvrage. Qu’est-ce qui vous a amené à le présenter sur les planches ?
    F. M. :
    « On n'aurait sans doute pas eu l'idée de faire une lecture-spectacle si on n'avait pas été sollicité. On s'est rendu compte que dire des extraits sur scène (parce qu'on ne peut pas tout lire : le livre est trop épais !) provoquait de jolis moments, parfois drôles, parfois émouvants, et nous permettait de voyager dans un imaginaire assez riche qui pouvait nous faire passer de l'évocation d'Intervilles à la baguette de Léonard Bernstein en passant par les canulars de Jean Carmet ou la disparition d'un animal familier... »

    V.M. : « Que les spectateurs ne s’inquiètent pas trop, si nous lisons effectivement nos textes, nous avons essayé de leur éviter au maximum l’ennui. Le rythme est enlevé, il y a un piano sur scène, de la musique, des projections vidéo, nous nous déplaçons dans l’espace, il y a même des effets lumière grandioses ! C’est pas de la comédie musicale, mais presque… »
     

    Parlez-nous de cette relation père-fils. Qu’est-ce qui vous a amené à partager la scène ?
    F.M. :
    D’abord, écrire un dictionnaire tout seul me semblait impossible. J'ai donc proposé à Valentin, dont je connaissais la plume et l'esprit, de le faire à deux. Quand il a été question d'en présenter une version scénique, c'était tout naturel qu'on poursuive l'entreprise à deux ! »
    V.M. : « Plus jeune, j’aurais sûrement refusé de travailler avec mon père. Orgueilleux, je voulais me construire sans son aide, ne pas faire comme tous les fils de. Avec l’âge, ces barrières tombent: on se rend compte que le temps passe vite et qu’il faut profiter de ses parents. C’était aussi l’occasion, par le travail, de se découvrir l’un l’autre à travers un nouveau prisme. »
     

    Valentin, cette expérience de la scène a-t-elle fait évoluer vos rapports à tous les deux ?
    V.M. :
    « L’écriture, d’abord, a changé des choses. L’enjeu était de prouver, à moi d’abord puis à mon père, que je pouvais être à la hauteur. Mais même si le livre a été écrit à quatre mains, l’écriture reste un travail solitaire. On peut revoir des détails ensemble mais plus difficilement le fond. Sur les lectures il y a plus un travail de duo. N’ayant jamais fait de scène, ni pris de cours de théâtre, je me retrouve comme un étudiant, j’apprends de son expérience, j’essaie de suivre à la lettre les conseils de mon père. « Si tu dis ça comme ça, si tu prends un temps à ce moment-là, tu verras, les gens vont rire. » Jusqu’à maintenant il a toujours eu raison ! »
     

    Vous prenez plaisir tous les deux à vivre cette expérience partagée ?
    F. M. :
    « Oui, c'est naturellement parce qu'on prend du plaisir en le partageant avec le public qu'on vit cette expérience. Valentin apporte souvent une dimension personnelle, sensible,  qui rend la soirée plus touchante que ce que l'on aurait pu imaginer au départ... »

    V.M. : « Un plaisir immense ! Celui de la découverte de la scène, de dépasser la peur du public, le plaisir de s’améliorer d’une représentation à l’autre, de rencontrer les spectateurs. Et de passer du temps avec mon père, ce qui n’est pas, pour le coup, inutile. »

    Propos recueillis par Stéphane Canu

    © Photo : Arnaud Journois

     

    Bio express

    François Morel

    Né en 1959 à Flers (Orne). Acteur, metteur en scène, humoriste, essayiste, chanteur et chroniqueur à France Inter.

    Valentin Morel

    Né en 1989 à Paris. Auteur.

     

    Le spectacle

    Le dictionnaire amoureux de l'inutile

    Adapté de l'ouvrage déjà écrit à quatre mains par François et Valentin Morel et publié chez Plon, il sera joué le vendredi 6 octobre à 19 heures au conservatoire Camille Saint-Saëns dans le cadre du festival Terres de paroles.

    Complet. Se présenter 30 minutes avant le spectacle.

  • Actualité 06/09/23

    Action cœur de ville : 286 logements construits ou rénovés d'ici trois ans !

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    Plus de 17 millions d'euros pour accompagner les propriétaires ou les bailleurs dieppois dans leurs projets. C'est ce que va permettre la signature du nouvel avenant “immobilier” de la phase 2 du programme “Action cœur de ville”, qui a eu lieu hier à l'hôtel Mercure. Ainsi, entre 2023 et 2026, ce ne sont pas moins de 286 logements qui seront produits ou rénovés sur le périmètre (hyper-centre, Bout du quai, Le Pollet, quartiers Saint-Pierre, Pasteur et Dieppe Sud), avec, en particulier, des opérations importantes sur l'ex-site industriel Lebon Vinco et dans le centre-ville historique.

    Inscrite depuis 2018 dans ce dispositif de l'État qui vise à soutenir financièrement les opération de redynamisation des centres urbains, la Ville de Dieppe a déjà bénéficié de 15 millions d'euros sur les cinq dernières années, ce qui a permis de construire ou rénover 256 logements en cœur de ville.

    "Quand il y a moins à distribuer (NDLR : l'enveloppe "logement” d'Action cœur de ville sur le plan national passe de 1,4 milliards d'euros de 2018 à 2022 à 250 millions annuels entre 2023 et 2026), Dieppe arrive à en prendre plus !, note Alain Piquet, président du Comité régional d'Action logement Normandie, qui accompagne et finance les porteurs de projets Action cœur de ville. Dieppe est le champion d'Action cœur de ville en Normandie. Le processus d'Action cœur de ville fonctionne bien, car on a la mainmise sur les projets et les partenaires. Les projets sont de qualité. On repart sereins pour cette 2e phase !"

    Signataire de cet avenant, aux côtés de Patrick Boulier, président de l'Agglo Dieppe-Maritime, d'Alain Piquet, Régis Bellencontre et Joël Le Ny d'Action logement Normandie, Nicolas Langlois se réjouit de ce nouvel élan porté au logement. "C'est du concret pour loger les salariés de notre territoire de vie, surtout en vue des projets industriels majeurs autour d'Alpine, du port de Dieppe ou des deux futurs réacteurs nucléaires, a déclaré le Maire de Dieppe. Pour faire face aux défis du logement, nous sommes fortement mobilisés, mais il faut évidemment aller beaucoup plus loin. Il faudra que l'État soit au rendez-vous, dans une situation où nationalement tous les signaux sont au rouge, avec une production de logements sociaux comme de logements privés catastrophique, ou encore le développement anarchique des locations Airbnb contre lequel il faut légiférer. À Dieppe, nous prenons et allons prendre dans les prochaines semaines de nouvelles initiatives pour le droit au logement pour toutes et tous."

    © Photo : Pierre Leduc - service Communication de la Ville de Dieppe

  • Actualité 05/09/23

    Des chantiers pour “prendre soin des habitants”

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    La traditionnelle visite des chantiers par les élus du conseil municipal s'est déroulée le 25 août, en présence des techniciens de la Ville et de la presse locale. L'occasion de faire un tour d'horizon des chantiers achevés, en cours ou à venir cette année, comme le remplacement du pont parc François-Mitterrand, les aménagement de sécurisation routière et des espaces de jeux extérieurs aux Coteaux, la restructuration du gymnase Robert-Vain, le remplacement des éclairages sur le front de mer, la modernisation de la Maison des sports ou du gymnase de l'école Broglie, la création d'un terrain de pétanque au Val Druel, les travaux dans les écoles…

    • Lire et/ou télécharger la plaquette de la visite des chantiers 2023 : https://vu.fr/VIWs

    Des livraisons de chantiers à venir

    Elles sont attendues dans les prochaines semaines, à commencer par celle du gymnase Robert-Vain (Anru 2, Neuville), totalement réhabilité. Aux Coteaux, si un terrain de pétanque a été créé et si un terrain de football a été engazonné, une nouvelle aire de jeux doit remplacer les installations existantes. D’autres travaux sont programmésd’icilafindel’année. À Janval,des jardins familiaux vont être construits à la Cité Million.

    Sur le pôle Delaune, si le permis de construire du futur centre aquatique doit être déposé en septembre, les vestiaires du fitness vont être refaits au gymnase. Aux Bruyères, une clôture va être installée pour un espace d’écopâturage au niveau des jardins partagés. Parmi les travaux dans les écoles qui vont se finaliser lors des vacances d’octobre, à noter celui de la rénovation du hall d’entrée de l’école Jacques-Prévert (Neuville).

    À la médiathèque Jean-Renoir, l’ascenseur va être remplacé. Sur le front de mer, un terrain de basket 3 contre 3 va être construit, avec, en parallèle, un marquage au sol “design actif” incitant à faire de l’exercice. Des modules de street workout (sportmêlantgymetmusculation)vont êtreaussiposés.

    Des aménagementsde sécurité sont prévus au Pollet pour anticiper la hausse de trafic lors des travaux du pont Colbert, rues Joseph-Brunel, Maurice- Levasseur, de Bonne Nouvelle, ainsi que route de Bonne nouvelle. Trois consignes abritées et sécurisées pour le stationnement de vélos (6 places) vont s’implanter au Bout du quai, près de l’église Saint-Jacques et en face de la résidence autonomie Marcel-Paul.

    © Photo : Erwan Lesné - Ville de Dieppe

  • Actualité 31/08/23

    Une rentrée soigneusement préparée

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    Les élèves de maternelle et d'élémentaire reprennent ce lundi le chemin des écoles. Une rentrée préparée méticuleusement par les services municipaux, en lien avec les équipes éducatives, et placée sous le signe des solidarités concrètes.

     

    Les effectifs

    2202 élèves font leur rentrée ce lundi 4 septembre dans les 20 écoles de la ville, soit 795 en maternelle et 1407 en élémentaire.

     

    Les enfants accueillis dès 2 ans

    Particulièrement bénéfique à l'éveil et au développement des enfants, l'accueil dès deux ans s'est développé aux sein de l'ensemble des écoles maternelles de la ville avec près de 80 enfants pris en charge. Des dispositifs spécifiques ont même été créés au sein des écoles Feldman, Delaunay et Langevin.

     

    Le service public municipal engagé

    126 agents municipaux du service Education de la Ville de Dieppe veillent au quotidien à assurer l'accueil des enfants et à fournir des conditions d'enseignement adaptés, en lien avec les enseignants. Les missions sont diversifiées avec 42 Atsem (agent territorial spécialisé des écoles maternelles), 41 agents de mixité, 18 responsables d'office, 3 gardiens d'école, 3 agents de maîtrise et 19 agents horaire.

     

    Du mouvement chez les enseignants

    Plusieurs écoles ont connu des changements au sein de leur direction.

    • Maternelle :

    - départ de Mr Charpentier Philippe, directeur de l’école maternelle Louis de Broglie (retraite), remplacé par Mr Jacquot Xavier (mouvement),

    - départ Mme Duhamel Françoise, enseignante (retraite).

    • Élémentaire :

    - départ de Mr Wallaert Thomas, directeur de l’école élémentaire Louis de Broglie (retraite), remplacé par Mme Pellerin Cécile (mouvement),

    - départ de Mr Jacquot Xavier, directeur de l’école élémentaire Paul Langevin (mouvement), remplacé par Mme Vain Aurélie,

    - départ de Mr Allaire Sébastien, directeur de l’école Pierre Curie (mouvement), remplacé par Mr Million-Brodaz,

    - départ de Mr Belletre Laurent, enseignant (retraite).

     

    De nombreux travaux dans les écoles

    Une vingtaine de chantiers et plus d'1,5 million d'euros d'investissement. La Ville de Dieppe a poursuivi encore durant l'été son programme d'entretien et de modernisation des écoles. Retrouvez le détail au sein de la plaquette consacrée aux chantiers de la Ville de Dieppe en cliquant ici.

     

    Des moyens contre l'échec scolaire

    Le Programme de Réussite Éducative (PRE) et le Programme Éducatif Local (PEL) ont pour but de favoriser l’égalité des chances pour tous les enfants, en accompagnant dès le plus jeune âge les plus fragiles et en les soutenant dans leurs apprentissages.

    Le nombre d’ateliers évolue en fonction des besoins d’une année sur l’autre. Ainsi, en 2022/2023, 21 ateliers ont été mis en place, encadrés par 22 intervenants, qui ont accueilli une centaine d’enfants répartis entre la moyenne section de maternelle et le CM2.

     

    Un éveil à la culture

    Depuis 2021, la Ville de Dieppe propose des parcours culturels aux élèves de maternelle et d'élémentaire. Ainsi, pour l’année scolaire 2022 – 2023 il a été proposé aux écoles 2 parcours courts et 18 parcours longs créés par des artistes du territoire. Les écoles ont largement investi le dispositif. L'année passée, 575 élèves ont participé, soit 32 classes provenant de 12 écoles.

    Pour l’année 2023/2024 le dispositif est renouvelé.

     

    La Ville finance les fournitures

    Cette année encore, la Ville attribue une dotation à chaque école et pour chaque élève (40 € en élémentaire et 24 € en maternelle ou encore respectivement 45 et 50 € par élève dans les classes Ulis — Unités localisées pour l'inclusion scolaire — en maternelle et en élémentaire) permettant de prendre en charge les fournitures scolaires et évitant ainsi ces dépenses à l'ensemble des familles.

     

    Des tarifs de cantine en baisse

    C'est le geste fort de la rentrée. Malgré l'inflation et sans diminuer la qualité des repas servis, la municipalité a décidé de baisser les tarifs de la restauration scolaire pour l'immense majorité des familles facturées. Pour en savoir plus, cliquez ici. Les élèves de maternelle prennent par ailleurs chaque jour un petit déjeuner préparé par L'assiette dieppoise.

     

    Une aide à la rentrée

    Afin de permettre aux familles en difficulté de préparer plus sereinement la rentrée scolaire, une aide, soumise à conditions de ressources, est proposée aux familles dieppoises et neuvillaises par le Centre communal d'action sociale. Elle se présente sous la forme d'un chéquier comprenant quatre chèques de 10 € à utiliser pour les fournitures scolaires, l’habillement et les loisirs. Les chéquiers seront disponibles du 18 septembre au 20 octobre 2023. Le calcul est effectué selon le revenu fiscal de référence. Informations auprès du CCAS au 02 35 06 62 00.

     

    Un coup de pouce aux loisirs

    Cette aide de la Ville peut aller jusqu’à 120 € sur le montant de l'adhésion à une association ou d'une licence au sein d'un club sportif mais aussi de l’achat d’un équipement. Pour l’obtenir, il faut avoir entre 3 et 19 ans, résider à Dieppe, disposer d’un quotient familial inférieur ou égal à 800 €. Contact: 02 32 14 55 78 ou anne.blondel@mairie-dieppe.fr.

     

    P'tits explorateurs et école municipale des sports

    Les mercredis, six centres de loisirs fonctionnent : 3 pour les maternelles et 3 pour les élémentaires.

    Dans ce cadre, l'école municipale des sports animé par le service des sports de la Ville de Dieppe propose de nombreuses activités complétées par l'apprentissage de la voile avec le Cercle de Voile de Dieppe, et de la natation.

     

    Les accueils de loisirs

    Trois centres de loisirs fonctionnent durant les petites et grandes vacances et sont uniquement réservés aux élèves scolarisés en maternelles. Les élémentaires sont pris en charge par des associations de l’éducation populaire.

    L’équipe d’animation construit, en lien avec les deux coordinateurs et le responsable de service, les

    programmes des animations qui sont différents pour chaque structure. Ainsi, tous les centres de loisirs fonctionnent indépendamment les uns des autres. Il arrive cependant qu’ils se regroupent pour partager une activité ou un temps fort (pique-nique, village des sports…).

    L'année passée, la fréquentation sur les temps du mercredi et sur les vacances scolaires a augmenté.

     

    Le Conseil des enfants…

    De nouveaux volontaires siègeront cette année. Sur la période 2022-2023, deux assemblées plénières se sont tenues. Les enfants ont travaillé, en lien avec leur école et les animateurs référents sur les projets suivants : fresque dans les préaux des écoles, jardinage et potager dans les écoles, boum solidaire, réalisation d’affiches sur les déchets. Les enfants ont participé le samedi 8 avril au « Temps d’échange – Temps de restauration » et ont eu l’occasion de s’exprimer à la fois sur les menus et les activités proposées sur les temps du midi. Une visite à l’Assemblée Nationale s’est déroulée le 3 mai 2023 où tous les enfants étaient présents.

     

    et le Conseil des ados

    Le jeunes de 11 à 15 ans ont désormais aussi leur instance. Pour participer au Conseil des ados et prendre part à la vie de la ville, apporter ses idées ou organiser des projets collectifs, contacter le service Jeunesse au 02 35 06 63 50 ou à dieppejeunesse@mairiedieppe.fr.

     

    Les étudiants soutenus

    Une aide financière peut être octroyée dans le cadre d’études hors Dieppe. Ce soutien financier peut concerner l’inscription, la mobilité, le logement, l’achat d’un ordinateur… Plus d’infos : service jeunesse au 02 35 06 63 50.

  • Actualité 31/08/23

    Des repas ''Moins cher et aussi bon'' à la rentrée

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    Vous avez peut-être remarqué cette campagne d'affiches dans la cité d'Ango. En cette rentrée 2023, alors que flambent les prix des denrées, la Ville de Dieppe a pris la décision inédite de diminuer les tarifs de la restauration scolaire dans les écoles maternelles et primaires.

    Concrètement, un repas sera facturé entre 15 centimes, tarif le plus bas hors gratuité, et 4, 98 euros, tarif maximum, en fonction des revenus du foyer, avec un gel du tarif sur les dernières tranches. Un effort de justice sociale qui se chiffre à 300 000 euros pour la commune, le coût unitaire d’un repas représentant 12,5 euros, entre sa confection et la prise en charge de l’enfant sur la pause méridienne, avec 169 agents municipaux mobilisés dans 19 restaurants scolaires.

    Cet effort ne se fait pas au détriment de la qualité, car, plus que jamais, la qualité et l’équilibre des assiettes demeurent les objectifs de l’Assiette dieppoise, qui privilégie circuits courts et produits frais, avec près de 50 % de produits biologiques ou issus de filières labellisées qualité.

    Lire le communiqué de presse (PDF)
    Un dossier à lire dans le Journal de bord de septembre (PDF)

    Conception graphique : Samuel Gros - Ville de Dieppe
    Photos : Erwan Lesné / Pascal Diologent - Ville de Dieppe

  • Actualité 31/08/23

    Le permis de louer entre en vigueur ce 1er septembre

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    À compter du vendredi 1er septembre 2023 le permis de louer entre en vigueur sur une partie du quartier du Pollet.

    Ce dispositif créé par la loi ALUR (pour l'Accès au Logement et l'Urbanisme Rénové) poursuit trois grands objectifs :

     

    • Assurer un logement digne aux locataires ;
    • Améliorer le patrimoine et l'attractivité résidentielle du territoire ;
    • Lutter contre les marchands de sommeil.

     

    "L’autorisation préalable de mise en location", dit permis de louer, s'adresse aux propriétaires bailleurs du parc privé souhaitant mettre à la location leur bien destiné à l'habitation principale, meublé ou non meublé, au sein du périmètre concerné (cliquer pour agrandir). Elle permet de garantir aux locataires un bien conforme aux normes de sécurité et d'habitabilité.

    Ainsi, à compter du 1er septembre 2023, les propriétaires concernés doivent obligatoirement obtenir une autorisation de la commune avant toute conclusion d'un nouveau contrat de location.

     

     

    Pour plus d'informations sur les démarches vous pouvez contacter le Service de Lutte contre l'Habitat indigne par téléphone au 02 35 06 63 58 ou par courriel à l'adresse suivante permisdelouer@mairie-dieppe.fr.

     

    Photo : Euclyd Eurotop / Conception graphique : Samuel Gros – Ville de Dieppe

  • Actualité 30/08/23

    La fête des associations et du sport, le rendez-vous des activités en cette rentrée

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    C’est le rendez-vous incontournable de cette rentrée : dimanche 3 septembre, associations et clubs sont conviés à la Fête des associations et du sport dans le parc François-Mitterrand. Près de 140 associations y participent.

    « Chaque année, la fête des associations et du sport, dont c’est la 9e édition, prend une ampleur supplémentaire, se félicitent les adjoint(e)s Laetitia Legrand et Luc Desmarest. C’est en effet une vitrine pour les activités proposées par le mouvement associatif et sportif local sur Dieppe. Le temps d’ouverture avec les nouveaux habitants leur permet, qui plus est, de prendre connaissance de la grande diversité du tissu local dieppois ».

    Qu’on en juge : près de 140 associations d’ores et déjà présentes ce jour avec une très grande diversité, un espace bien-être, des démonstrations et des animations sur les différents planchers…. Un grand plan permet à chacun de se repérer sur la fête. Un QR Code renvoie à la brochure de la Maison des associations.  

    La fête s’ouvre à 10 heures, elle se clôture à 17 h 30 à l’auditorium.

    Dès 10 h 30, est organisée la cérémonie d’accueil des nouveaux habitants à l’auditorium, un temps destiné à faciliter leur installation et leurs démarches.  Toute la journée durant, démos et animations se succèdent. Au détour de votre passage à la Fête des associations et du sport, vous pouvez, par exemple, chiner à la foire à tout organisée par l’Amicale des employés municipaux, sur le parking derrière la mairie.

    À noter la présence du stand coopératif La Petite Conserverie Projet coopératif des centres sociaux du territoire, elle a pour objectif l’accès à une nourriture saine et locale. Le surplus des agriculteurs et autres partenaires est cuisiné, mis en conserve et distribué avec un véhicule adapté. Espace animé et piloté par la MJP, l’Archipel et son équipe de bénévoles et professionnels, la Micro-Folie Dieppe présentera sa version mobile avec son musée numérique, son espace VR et son espace de jeux vidéo.

    ZONE - PLANCHER

    • 10 heures - 10 h 45 : Zanshin Budo Kaï
    • 11 heures - 11 h 45 : Acro’ sport 76
    • 14 heures - 14 h 45 : Club Municipal de gymnastique
    • 15 heures - 15 h 45 : Aïkido club dieppois
    • 16 heures - 16 h 45 : Cercle de lutte dieppois
      Vous pourrez également découvrir et pratiquer les disciplines suivantes : savate française, hockey sur glace, chessboxing, baseball, golf, sport adapté (rugby), escrime et tennis de table.

     

    ZONE - AUDITORIUM

    • 10 h 30 - 12 heures : accueil des nouveaux habitants
    • 14 heures - 14 h 30 : Accordéon club dieppois
    • 14 h 30 - 15 heures : Signe sans frontière + Amies et amis de la Commune de Paris 1871
    • 15 heures - 15 h 30 : Afrika music
    • 15 h 30 - 16 h 15 : Amal’gamme
    • 16 h 30 - 16 h 45 : Osons l’Opéra
    • 17 h 45 : Tour d’Ivoire (chorale)

     

    ZONE - CASCADE

    • 10 heures - 11 heures : Énergie Association (yoga)
    • 11 heures - 12 heures : Amicale Laïque de Neuville-lès-Dieppe (fit’stick et stretching)
    • 12 heures - 13 heures : Cascades (qi-gong)
    • 13 heures - 14 heures : Leslie sophro (sophrologie)
      Places limitées. Les initiations sont sur inscription à l’espace Bien-être (cascade)

     

    17 h 30 : Clôture de la fête


    Télécharger / Consulter le programme complet et le plan (PDF)

  • Actualité 10/08/23

    « Un lieu pour les musiques actuelles »

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    Né il y a sept mois, le collectif La Machine prépare un projet novateur. Porté par Olga Giardelli (musicienne et professeure de musique) et Jimmy Fauvel (programmateur culturel), il a vocation à créer un lieu dédié aux musiques actuelles et notamment aux musiques alternatives et à organiser des événements à l'image du festival La Machine à boujoux qui se déroulera les 23 et 24 septembre. Entretien.

     

    Comment est né votre projet de créer une salle de musiques actuelles ?
    Jimmy Fauvel :
     "A Dieppe, il manque un lieu dédié uniquement aux musiques actuelles pour que les groupes émergeants puissent se produire. Ce serait un lieu ressource où les musiciens pourraient se rencontrer et avoir des outils à disposition, de la documentation, un accès à des intervenants qui les encadreraient dans le développement de leur carrière. Où ils pourraient répéter et s'installer en résidence. Avant de s'exporter hors région, il faut avoir un set musical qui tienne la route. Il y a un potentiel et il y a une attente très forte."

    Olga Giardelli : "Il y a clairement un besoin. Au-delà de la salle de concert, d'un lieu ressource pour les artistes, la Machine est un lieu qui va appartenir à ses adhérents. L'idée est, qu'en plus des concerts qui sont le centre névralgique du projet, la Machine soit accessible tous les vendredis et samedis soirs même s'il n'y a pas de concert programmé. Les adhérents pourront y passer de la musique. Ce sera un lieu de vie. Le mercredi et le samedi après-midi, ce sera pour les enfants et les ados."

    Où se situera cette salle ?
    Olga Giardelli :
     "On a un lieu. Il se trouve au 132 bis avenue de la République à Neuville. C'était impératif pour nous d'être au cœur d'un quartier. On va pouvoir travailler avec les habitants et les associations. Nous allons mener une étude acoustique. Les voisins s'inquiètent et c'est normal. Il y a des lois qui sont très strictes et que nous allons évidemment respecter. Cela conduira à des préconisations sur les matériaux à utiliser pour qu'il n'y ait pas de nuisances. Il n'est pas question d'ouvrir et que cela embête les voisins. On les associera et on sera complètement transparents avec eux. Nous avons donc des travaux d'aménagement à réaliser et nous espérons une ouverture de la salle en 2024."

    Jimmy Fauvel : "on ne va pas bosser tout seul dans notre coin. On veut mettre en place un projet collectif qui s'inscrira dans le cadre de l'éducation populaire. Il sera ouvert à tous parce que nous souhaitons que ce lieu permette à toutes et tous d'accéder à la culture. Cela passe par le prix. On ne veut pas imposer un tarif parce que quand on impose un tarif pour un concert, souvent il est dans un moyenne trop haute pour des gens qui ont peu de moyens. C'est un frein alors que tout le monde a droit à la culture."

    Votre démarche autour des tarifs pour accéder aux concerts est assez novatrice elle aussi…
    Olga Giardelli :
     "Quand un prix est imposé, les gens ne viennent en général voir que ce qu'ils connaissent déjà et ne vont pas prendre le risque de la découverte. Ils vont venir consommer des spectacles. Ce qu'on attend dans ce lieu, c'est que ses occupants en soient les acteurs. En mettant en place un concept d'adhésion pour une période de trois mois, les gens pourront venir quand ils le souhaitent et ils viendront découvrir également. L'abonnement est à prix libre, avec un tarif conseillé de 50 euros pour un trimestre, ce qui nous permet d'être à l'équilibre. Mais chacun paye en fonction de ses ressources et de ses envies. Nous sommes aujourd'hui déjà 160 adhérents. Ce montre qu'il y a un intérêt fort et cela prend de belles proportions."

    Jimmy Fauvel : "Il y a un engouement du public dieppois et plus largement. Dieppe est une ville en plein boom. Alors il faut offrir aux gens qui vivent ici, qui viennent s'y installer, qui y viennent en vacances, des opportunités de sortie."

    Quel type de programmation proposerez-vous ?
    Olga Giardelli :
     "Il y a plein d'endroits qui ont une âme et proposent déjà des programmations. Nous avons envie de compléter l'offre. Les musiques actuelles, ce sont toutes les musiques amplifiées de 1950 à aujourd'hui. Certaines formes de jazz, la chanson française entrent aussi dans le cahier des charges des musiques actuelles. Dans notre programmation, nous allons le respecter ce cahier des charges avec des groupes locaux, régionaux et émergeants, des groupes britanniques également. On a fait un premier concert, hors les murs, au Domaine des Roches qui s'est super bien passé. C'était un concert de post-punk psyché (Mickle Muckle), de la musique alternative que le public n'avait jamais vraiment pu entendre avant à Dieppe. Le jazz, la chanson française, les groupes de reprise ont déjà une place à Dieppe. En revanche, les groupes de musique alternative n'ont que peu d'espace. Nous avons déjà été sollicités depuis six mois par une bonne soixantaine de groupes. C'est dire l'intérêt que notre démarche suscite."

     

    Vous organisez un festival les 23 et 24 septembre 2023 sous le chapiteau des Saltimbanques de l'Impossible dans le parc paysager de Neuville. C'est une façon d'amorcer votre projet ?
    Olga Giardelli :
     "Complètement. Pour être honnête, on a fait fort. Entre le moment où on s'est lancé le défi de faire un festival, deux mois après tout était calé, avec une programmation complète. Avec ce festival, ça devient concret et cela montre le panel de programmation de la Machine avec une affiche très éclectique. Il y a des grosses pépites."

    Jimmy Fauvel : "Ca nous ancre sur le territoire. C'est d'ailleurs ce qui a conduit au choix du nom. On voulait un nom « terroir » bien implanté avec une identité forte."

    Textes : Stéphane Canu; Photo : Pascal Diologent

     

    Le festival La Machine à Boujoux

    Le collectif La Machine organise son premier festival de musiques actuelles, samedi 23 et dimanche 24 septembre 2023 sous le chapiteau des Saltimbanques de l'Impossible (Neuville). 

    Au programme, Moo Box, un trio de rock extraverti venu de Rouen, Kaask, un groupe havrais qui mêle les influences rock, noise et rap, Baasta, du post punk qui nage entre histoires de charbon, ciels gris, Barbes D, compositeur, riddim maker et guitariste, réel activiste du reggae dub, DJ XYZ, DJ, beat maker, créateur de soirées mix pointues du Hip Hop, spectacle jeune public avec Les Lardons et bal musette le dimanche après midi.

    Infos pratiques :

    Samedi :
    Ouvertures des portes à 18 h 30
    Tarif : prix libre (conseillé 15€)

    Dimanche :
    Spectacle jeune public à 11 heures (durée 1 heure)
    Tarif : prix libre (conseillé 5€ par enfant, gratuit pour les accompagnant.e.s)
    Bal musette à 15 heures (gratuit)

    Restauration sur place

    Vous pouvez réserver dès maintenant vos places ici.

  • Actualité 25/07/23

    À vous la vie de château !

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    Les festivités du centenaire du Château-Musée se poursuivent avec un programme estival étoffé.

    L’expo Sous les eaux fait surface. Objets de vie, de navigation ou d’armements, récits de naufragés,
    carte animée des épaves, exploration de celles-ci via des films, des enregistrements sonores ou des casques de réalité virtuelle... Produite par le Musée, le Grieme et le Drassm, Sous les eaux, épaves de la Côte d’Albâtre à voir jusqu’au 17 septembre, du mercredi au dimanche de 10 heures à 18 heures.

    À visiter avec un guide. Découvrez l’expo temporaire d’archéologie sous-marine le 23 août, à 15 heures. Les 16 et 26 août à 15 heures, partez À l’assaut du château afin de replonger dans l’histoire et les évolutions de l’édifice médiéval.

    Du modélisme naval en démo. Le 17 août, de 10 heures à 17h30, le Club de modélisme naval de Haute-Normandie expose ses navires de guerre miniatures. Le public pourra prendre les commandes d’une maquette et la faire voguer sur un bassin. Gratuit.

  • Actualité 25/07/23

    Foire d'été : le sens de la fête

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    Elle est attendue chaque année par les habitants avec impatience. La Fête foraine de Dieppe s’installe sur les pelouses du front de mer du 11 au 27 août. Les forains débarquent avec leur bonne humeur contagieuse et proposent plus de 120 attractions pour petits et grands. Les grands manèges à sensation seront bien présents pour faire le plein d’adrénaline tout comme les traditionnelles auto-tamponneuses, la pêche aux canards, le tir à la carabine ou encore l’indémodable chamboule-tout.

    De quoi se forger de beaux souvenirs en famille ou entre amis, mais aussi l’assurance de partager un moment de pur plaisir en profitant également des nombreux stands de restauration. La fête et aussi du grand spectacle puisque les industriels forains proposeront à nouveau des feux d’artifice les samedis, mais aussi le 15 août.

    • Foire d'été du 11 au 27 août, pelouses du front de mer. Plus d'infos sur le groupe Facebook Foire de Dieppe - Officiel.

  • Actualité 18/07/23

    Imen Es et Franglish en concert le 29 juillet, du bon son tout l'été !

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    L’été sera rythmé. De nombreux rendez-vous musicaux sont proposés durant La Belle saison. Le Casino, qui fête son 50e anniversaire, organise un concert gratuit sur les pelouses du front de mer le 29 juillet, dès 21 heures, avec deux têtes d’affiche : la chanteuse Imen Es et le rappeur Franglish (photo), dont la popularité continue de grimper, se partageront la scène.

    Enfin, le 15 août, l’agglomération Dieppe-Maritime proposera également un événement sur le front de mer pour célébrer les 20 ans de sa création avec les For The Hackers.

    De nombreuses autres dates sont au programme à l’image de celles de la Cie Le temps de chanter dans les quartiers (21, 28 juillet et 25 août). Les bars dieppois, particulièrement dynamiques, continueront de proposer des concerts (programme à retrouver chaque semaine, vendredi à midi, dans le Coin des bars sur la page Facebook de la Ville de Dieppe).

    Mais ce n’est pas tout, l’association J’aime le Bout du quai organise à nouveau les Jeudis du quai. Des groupes locaux se succéderont sur les terrasses du quai Henri IV :

    • Jeudi 20 juillet

    18 heures - Bandou style

    19 heures - Alain de Nardis, Touche manouche

    20 heures - Los Desperados band

    21 heures - Chepakois

    • Jeudi 27 juillet

    17 heures - Joris Bonvalet

    18 heures - Blague à part

    19 heures - Joséphine Blanc

    20 heures - Didier Baiet

    21 heures - Midnight storm

    • Jeudi 3 août

    18 heures - Stefano Maghenzani

    19 heures - Aural, Penny

    20 heures - Mr et Mrs Lago

    • Jeudi 10 août

    17 heures - Florence Lacaille

    18 heures - Route 590

    19 heures - Guitario

    20 heures - Stinky hammers

    21 heures - Goss

    Jeudi 17 août

    18 heures - Marcel Cloques

    19 heures - Courvite Isabelle, Neo and the Winks

    20 heures - Cafe’ In

    21 heures - Éric Hallavant

  • Actualité 06/07/23

    Anru 2 : des fermetures de rues cet été à Neuville

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    En raison de travaux de rénovation urbaine (Anru 2) sur le secteur Bel Air/Coty, les rues de la Victoire, Aristide-Briand et du Marché seront barrées du 10 juillet au 30 août.

    • Consulter la carte en ligne : https://vu.fr/sUWS.

    Seuls les riverains pourront accéder, entre 17 heures et 8 heures, à leurs propriétés. À noter que, durant cette même période, les rues Mme René-Coty et Aspirant Bizien sont mises en impasse.

    Des panneaux de signalisation seront installés sur place afin d’indiquer les déviations temporaires de circulation.

    © Conception graphique : Samuel Gros – Ville de Dieppe

  • Actualité 05/07/23

    Le graffiti se greffe aux cabines du front de mer les 15 et 16 juillet

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    Vous allez en prendre plein la vue ! Une quinzaine d’artistes de street art sera au rendez-vous de la 6e édition du festival Spray, sur le front de mer, les 15 et 16 juillet. Le public pourra assister en temps réel à des performances de graffiti sur d’anciennes cabines de plage. « La culture hip hop s’implante ainsi par le biais d’œuvres picturales en milieu urbain, souligne le graffeur dieppois Konu, président de l’association Ex-Spray. C’est une façon de sensibiliser tous les publics confondus à cette culture moderne et riche. »

    Des concerts seront également proposés sur le front de mer dans le cadre du festival, mais aussi des coloriages géants pour per- mettre aux petits et même aux plus grands de participer à l’événement. Et pour prolonger le plaisir, utilisez l’application mobile St’art et suivez les équipes de Dieppe Ville d’art et d’histoire en ville, à la découverte de nombreuses pépites de l’art urbain. « Ce festival attire des publics de tous horizons, assure Konu. La qualité des artistes invités contribue à promouvoir cette culture, à faire rayonner sur le territoire régional un mouvement riche et en pleine émergence. »

    Gratuit.

    • Lire/télécharger le programme du festival Spray

    © Photo d'archive : Erwan Lesné

  • Actualité 05/07/23

    Festival de BD : entrez dans la bulle les 22 et 23 juillet

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    35 auteurs sont réunis sur le front de mer les 22 et 23 juillet L’association ANBD a encore fait très fort à l’occasion de la 21e édition de son Festival de bandes dessinées avec un plateau exceptionnel. Le romancier Michel Bussi sera présent pour présenter la BD Cinq Avril qu’il a signée avec Fred Duval et Noë Monin. Il participera même à une table ronde intitulée Du roman à la bande dessinée, de la bande dessinée au cinéma : l’art de l’adaptation est-il l’art de la trahison ?.

    D’autres créateurs de renom ont également répondu à l’invitation à l’image de Marie Bardiaux-Vaïente (auteure de L’Abolition - Le Combat de Robert Badinter), Didier Cassegrain (auteur de la récente adaptation du roman de Michel Bussi Ne lâche pas ma main), Jérôme Félix, Milan Jovanovic (auteur de Les sept vies de l’épervier) ou encore Matz (auteur de la série Le tueur qui va être adaptée par David Fincher pour Netflix).

    Le public pourra ainsi faire dédicacer des ouvrages, échanger avec les auteurs et même s’offrir des albums, puisque des libraires de neuf et d’occasion ainsi que des éditeurs tiendront des stands.

    Gratuit.

    • Lire / télécharger le programme du Festival de BD

  • Actualité 05/07/23

    10 au 28 juillet : le goût de l'effort au Village des sports

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    Et si vous vous organisiez des vacances sportives ? Les pelouses du front de mer se métamorphosent en stade géant du 10 au 28 juillet. Le service municipal des Sports et plusieurs clubs ont concocté un programme qui permettra au public de pratiquer et même de découvrir de nombreuses disciplines. 

    • Lire/télécharger le programme complet des trois semaines du Village des sports

    Un rendez-vous aux couleurs de l’olympisme qui s’inscrit dans le cadre du label Terre de Jeux 2024, à un an de l’ouverture à Paris de la plus grande des compétitions mondiales. « Dieppe est une ville de sport et le Village des sports, qui permet d’accéder à une pratique libre, reflète ce dynamisme, souligne Luc Desmarest, adjoint aux Sports. Et comme c’est bon pour la santé, il est également possible de profiter, naturellement, des espaces publics pour se dépenser avec les parcours d’Urban training proposés, en autonomie, depuis le parvis de l’hôtel de ville ou encore, bien sûr, le Point plage, sur le front de mer, qui donne accès à de nombreuses activités nautiques, comme le paddle ou la voile. »

     

    © Photo d'archive : Pascal Diologent 

  • Actualité 05/07/23

    8/9 juillet : fantastique week-end au château !

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    « Il était une fois, dans une ville appelée Dieppe, un grand château planté en haut des falaises... » L’accroche est mystérieuse. Elle donne aussi très envie d’entrer dans l’aventure et de faire un grand bond dans le temps et dans l’imaginaire de l’association Ante Mortem. Le festival Mer et mondes fantastiques investit, à nouveau, le vieux château et y recrée une ambiance médiévale et féerique, les 8 et 9 juillet. « Après avoir bravé bien des tempêtes, tué la reine et vaincu la peste », les organisateurs reviennent pour la troisième édition d’un événement culturel atypique, qui avait séduit un large public lors des premiers rendez-vous.

    Des concerts, des spectacles vivants, des lectures de contes, des campements, des rencontres avec des auteurs et même un marché médiéval. Le programme est riche et garantit aux visiteurs une évasion hors norme dans un cadre exceptionnel. Le public, invité à venir déguisé, y rencontrera des personnages plus fantastiques les uns que les autres. Il y aura également la possibilité d’accéder aux collections du Musée.

    Gratuit.

    • Télécharger le programme complet du week-end 

  • Actualité 28/06/23

    Stationnement : Un parking-relais et une navette mis en place tous les week-ends de juillet et août

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    Du samedi 1er juillet au dimanche 27 août 2023, le boulevard Foch sera réservé aux promeneurs et aux sportifs qui pourront profiter de 15 hectares de nature sur le front de mer, le temps du week-end, du samedi à 7 heures au lundi à 7 heures.

    Pour permettre aux visiteurs d'accéder au front de mer sans encombre et sans s'engouffrer en centre-ville, le parking Alpine, situé avenue Vauban, sera ouvert les samedis et dimanches, ainsi que les jours fériés (14 juillet et 15 août), de  9 h 30 à 20 heures.

    Une navette, mise en place par l'agglomération Dieppe-Maritime, assurera, de 10 heures à 12 heures et de 13 heures à 19 heures (toutes les 30 minutes), la liaison jusqu'au pont Ango. Ces navettes seront accessibles avec un titre de transport du réseau Deep Mob (vente à bord, Ticket SMS - "T1" au 93 007 - et application Android et iOS M-ticket).

    Visuel : Deep Mob

  • Actualité 23/06/23

    La flamme olympique passera par Dieppe le 5 juillet 2024 !

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    C'est officiel !  La flamme olympique arrivera en France à Marseille le 8 mai 2024 et parcourra tout le pays jusqu'à la cérémonie d'ouverture des jeux de Paris 2024 le 26 juillet. Elle passera par Dieppe le vendredi 5 juillet en fin de matinée.

    Une vingtaine de relayeurs se transmettront le flambeau en ville sur une distance de 4 kilomètres. Dieppe fait partie des 7 villes de Seine-Maritime où passera la flamme avec Rouen, Yvetot, Jumiège, Étretat, Mirville (château du baron Pierre de Coubertin, inventeur des JO modernes) et Le Havre.

    En lien avec le Département de Seine-Maritime, qui finance intégralement l'accueil de la flamme olympique, la Ville va mettre en place un comité territorial d'engagement afin de fédérer tous les partenaires souhaitant animer le passage de la flamme dans la cité des quatre ports.

    © Conception graphique : Samuel Gros - Ville de Dieppe

  • Actualité 23/06/23

    La Belle saison pour tous les goûts

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    Un riche programme d’animations en tout genre vous attend en juillet et en août. Suivez le guide !

    Le soleil, la plage... Et avant tout, une nuée d’occasions de se retrouver, de se rencontrer, de partager des instants inoubliables. Certes, Dieppe a le vent en poupe et attire de plus en plus de visiteurs. Néanmoins, la programmation estivale, construite en partenariat étroit avec l’ensemble des acteurs associatifs dont les quatre centres sociaux, répond à un enjeu majeur : proposer des vacances pour tous les habitants, pour tous les âges et quelles que soient les ressources. Grands concerts, Village des sports, marchés nocturnes, Foire d’été... De nombreux rendez-vous, petits et grands, jalonneront l’été sur le front de mer mais aussi dans l’ensemble des quartiers. 

    « C’est la marque de fabrique de notre ville vivante et solidaire, souligne le maire Nicolas Langlois. Il se passe toujours quelque chose à Dieppe. C’est le reflet d’un dynamisme associatif exceptionnel mais aussi un choix fort qui mobilise l’ensemble du service public communal. Les habitants subissent de plein fouet la crise du pouvoir d’achat. Beaucoup de familles n’auront pas les moyens de partir en vacances. Elles trouveront dans leur ville toutes les opportunités de respirer, de s’évader, de se ressourcer. C’est aussi cela la solidarité. »

    • Lire/télécharger le programme des animations : https://vu.fr/lfRdh.

    © Conception graphique : Samuel Gros

  • Actualité 23/06/23

    Face à la pénurie de maîtres-nageurs sauveteurs, Dieppe s’organise et exige un grand plan national de formation

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    La pénurie de maîtres-nageurs sauveteurs (MNS) impacte toutes les piscines de France. Il en manque aujourd'hui près de 5000 dans tout le pays, selon la Fédération des maîtres-nageurs sauveteurs et la Fédération française de sauvetage et de secourisme, et de nombreuses communes, comme Cluses en Haute-Savoie ou encore Chinon, ont été contraintes de fermer leurs piscines faute de personnel en nombre suffisant permettant d’assurer des baignades surveillées.

    Dieppe n'est pas épargnée par ce problème qui a des conséquences sur les créneaux d'ouverture et les activités des piscines mais fait en sorte de maintenir l’ouverture des piscines des Bains et Coubertin en juillet.

     

    « Indispensable de savoir nager »

    A Dieppe, la Ville est très engagée sur la question du « savoir nager » avec des stages organisés à chaque vacance scolaire et l’accès donné aux piscines à l’ensemble des écoles du territoire pour des sessions d’apprentissage.

    Cela suppose une présence en nombre suffisant, un par bassin, de MNS.

    Et même si le Gouvernement a récemment, à travers un décret, accordé plus d'autonomie aux titulaires d'un brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique (BNSSA), le compte n'y est pas. D'autant que ces professionnels peuvent, certes, assurer la surveillance mais pas dispenser de cours.

    « Dans des villes comme Dieppe, les habitants vivent avec la mer. Il est indispensable de savoir nager et de mettre en place tous les dispositifs de sécurité possibles pour éviter des accidents encore trop fréquents — on compte 1000 décès chaque année dont la moitié survient pendant l'été, souligne le député Sébastien Jumel. Or, la pénurie de MNS vient mettre dangereusement en question cette problématique de sécurité publique. C'est pourquoi, nous en appelons au Gouvernement pour qu'il prenne des mesures incitatives fortes pour attirer les jeunes vers les formations à ces beaux et indispensables métiers qui méritent d'être mieux reconnus et mieux valorisés. Suite à des Etats généraux de l'encadrement et de la surveillance dans la filière aquatique, qui se sont tenus en octobre dernier, la Ministre des sports a assuré avoir conscience du sujet. C'est bien, mais il y a maintenant urgence à prendre des décisions pour résoudre le problème. Il faut un grand plan de formation. »

    « A presqu’un an du début des Jeux olympiques à Paris, on ne peut pas accepter que, faute d'un nombre suffisant de maîtres-nageurs sauveteurs (MNS), des enfants risquent de ne plus accéder à l'apprentissage de la natation ces prochains mois et ces prochaines années en France », ajoute Nicolas Langlois, maire de Dieppe. Il précise que « des opérations de découverte du métier de MNS, pour inciter des jeunes à s'engager dans ces formations, vont être mises en place. Par ailleurs, la Ville prévoit de recruter sur ces métiers des jeunes en contrat d'apprentissage à travers le BPJEPS - AAN (brevet professionnel de la Jeunesse, de l'Éducation populaire et du Sport - Activités aquatiques de la natation). »

     

    Fermetures et réduction des activités

    « Face à cette situation de pénurie particulièrement grave, la Ville de Dieppe a tout mis en œuvre pour préserver un accès aux piscines, souligne Nicolas Langlois. D’abord, nous continuons à lancer des avis de recrutement de MNS et BNSSA, avec possibilité de logement, pour espérer pouvoir compléter les plannings. En juillet, nous maintenons les Bains et la piscine Coubertin, piscine de proximité à Neuville, ouverts pour satisfaire à la fois les habitants et les touristes. Avec des choix assumés, en lien avec un personnel très engagé dans ses missions, qui sont de privilégier, aux Bains, l’ouverture des bassins extérieurs cet été et de garantir, dans ces deux piscines, des créneaux pour l’ensemble des usagers en maintenant des activités comme l’aquagym ou les séances bébés-nageurs par exemple. »

     

    En pratique :

    Le bassin extérieur des Bains reste ouvert de 7h30 ou 9h à 18h ou 20h tous les jours.

    Le bassin ludique extérieur des Bains sera ouvert à partir de 13h en juillet et une solution est toujours recherchée pour en permettre l’ouverture en août.

    Les cours de l'école de natation des Bains s’interrompent deux semaines avant la date initialement prévue.

    La piscine Pierre de Coubertin proposera en juillet des créneaux tout public sur le temps du midi, et des activités telles que le savoir nager et l’aquagym qui accueillent un public d’habitués fidèle.

    En août, pour garantir des congés aux personnels dont les plannings sont très chargés durant toute l’année avec la poursuite de l'apprentissage de la natation en direction des scolaires et pour permettre d'assurer le nécessaire et obligatoire arrêt technique des piscines Coubertin et Delaune utilisées durant toute l'année également, seule la piscine des Bains sera ouverte.

  • Actualité 13/06/23

    Un Village olympique sur les pelouses

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    La Journée olympique et paralympique anime le front de mer le 21 juin.

    Répétition générale du Village des sports avant son installation du 10 au 28 juillet, cette journée marque la dernière étape des Anim’mercredis dans les quartiers. De 10 heures à 18 heures, les pelouses du front de mer se transforment en stade olympique. Dans le cadre de son label Terre de jeux Paris 2024, la Ville et son service des Sports rassemblent ainsi la communauté sportive locale pour qu’elle fasse la promotion de ses disciplines : athlétisme, foot, aviron, rugby, handball, volley-ball, bras de fer, foot américain, chess-boxing, savate boxe française, sport adapté...

    Cette journée met en exergue les valeurs olympiques sur la base des trois piliers : bouger, apprendre et découvrir. Si la matinée est en partie réservée aux jeunes des centres sociaux et accueils de loisirs, l’après-midi est accessible à toutes celles et ceux qui veulent s’amuser ou tester de nouvelles pratiques sportives.

    Le 23 juin, date officielle de la Journée olympique et paralympique, le service des Sports organise une grande marche intergénérationnelle. Par ailleurs, la Ville va appeler, prochainement, à une grande collecte de photographies du sport dieppois, de toutes les époques et tous sports confondus. Les participants pourront déposer leurs clichés dans plusieurs points de collecte. Le but sera de créer un fonds d’archives et une exposition numérique Les Dieppois et le sport, en vue des prochains JO de Paris.

    • Plus d'infos sur la page d'infos sur la page Facebook @dieppesports ou au 02 35 06 60 28.

    © Photo : Pierre Leduc

  • Actualité 01/06/23

    De vieux gréements en escale

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    Pour les 70 ans du Côte d’Albâtre, la Ville organise le festival Les Vieilles voiles les 10 et 11 juin.

    De véritables petits joyaux des mers et un léger parfum d’Armada. Sept voiliers sont amarrés au ponton Cousin, à hauteur de La Dunette du quai Henri IV, les 10 et 11 juin. La Ville de Dieppe organise pour la toute première fois le festival Les Vieilles voiles et célèbre à l’occasion le 70e anniversaire du Côte d’Albâtre. Propriété de la Ville de Dieppe, le canot de pêche traditionnelle du Pollet a repris la mer ces derniers mois après une longue et minutieuse restauration sur un chantier naval spécialisé à Saint-Vaast-la-Hougue.

    Le Mutin invité

    Construit en 1953 sur le chantier dieppois Bocquet, le bourcet-malet, classé monument historique en 1998, va recevoir la bénédiction par le diacre Dominique Lesueur lors de ce rendez-vous. Désormais entretenu par l’association La Dieppoise, le Côte d’Albâtre lèvera, à nouveau l’ancre, ces prochains mois, pour embarquer un public curieux de mieux connaître encore son histoire maritime. 

    Le gréement dieppois partage la vedette avec le Marie-Fernand (construit en 1894), le Veulais (1967), le Man’Villais (1965), le Marie-Madeleine (1919), le Val’riquais (1964) et le Professeur Gosset (1935). Alors que dix-sept stands accueillant des structures et associations liées au monde maritime vont former un grand village d’animation sur le quai, le bateau école de la Marine nationale, Le Mutin, va créer lui aussi l’événement en faisant son entrée dans le port de Dieppe dès le 9 juin au soir. Un grand rendez-vous à ne surtout pas manquer qui fera date dans le calendrier maritime dieppois.

    Le programme

    Ouverture du village de 9h30 à 18h le 10 juin et de 10h à 18h le 11 juin. Sur les stands, sont présents : les sauveteurs en mer de la SNSM, l’Admmac, le Cercle maritime Mers & Marine, Terre Neuve, le Cercle de la voile de Dieppe, Voiles et Falaises, la Confrérie du hareng et de la coquille Saint-Jacques, l’Estran-Cité de la mer, les Amys du Vieux-Dieppe, le Tourist club, Dieppe Navals, QG Nautic, l’Agglo Dieppe-Maritime, la Ville de Dieppe et La Dieppoise.

    Une exposition sur la restauration du canot Côte d’Albâtre est à découvrir sur le stand de la Ville et de La Dieppoise. Des dégustations de produits de la mer sont proposées par Crustafrais. L’inauguration est prévue le 10 juin à 10h45 (bénédiction du Côte d’Albâtre visible depuis La Dunette, prise de paroles des officiels
    et remise de la croix de chevalier du mérite maritime à Bruno Thériez sur la zone technique face à la Tour aux crabes).

    Le groupe folklorique des Polletais assure l’animation le 10 juin et le groupe Tribal Jâze durant tout le week- end. Les peintres Béatrice Dagan, Pierre Larchevèque et Michel Godefroy sont présents les 10 et 11 juin après-midi au niveau de La Dunette et du ponton Cousin.

    © Photo : Pascal Diologent

  • Actualité 01/06/23

    La facture de cantine va baisser

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    En pleine crise du pouvoir d’achat et de l’inflation des prix, la Ville vient de décider de baisser les tarifs dès septembre prochain pour la plupart des familles.

    C’est un choix particulièrement fort. En fonction du revenu des familles, le prix du repas par enfant baissera de 10 centimes à plus de 1 € dès la rentrée de septembre 2023. Le coût réel du repas qui s’élève aujourd’hui à 12,50 € pour la Ville n’était déjà facturé que 5 € au maximum aux familles. « Pour la Ville, le coût de fabri- cation et de service par repas a augmenté d’1 € avec l’inflation des prix des produits alimentaires, rappelle le maire de Dieppe Nicolas Langlois. Ce surcoût, non seulement nous ne l’appliquons pas aux familles, mais en plus nous baissons les tarifs, pour que chaque enfant puisse continuer à bien manger dans nos restaurants scolaires. »

    La plupart des familles concernée

    Un choix validé en conseil municipal, le 25 mai, et qui consolide le soutien à l’ensemble des habitants, majoritairement percutés par la crise du pouvoir d’achat. « À Dieppe, c’est la force du service public, que de mettre tous les enfants à la même table, et que chacun ait accès à un service de qualité, quels que soient ses revenus, explique Nicolas Langlois. Chacun est accompagné à proportion de ses moyens et de ses capacités. À Dieppe, nous faisons un choix de justice sociale pour toutes les familles qui ont du mal à boucler les fins de mois parce qu’elles gagnent des salaires insuffisants, parce qu’elles perçoivent de faibles revenus et que flambent, notamment, les prix de l’alimentation. »

    1 700 enfants sont inscrits à la cantine, soit 80 % des élèves de maternelle et élémentaire. 35 % des familles avec les plus bas revenus bénéficient de la gratuité. Les baisses de tarifs s’appliqueront à 62 % des familles, mais concerneront plus fortement celles aux revenus modestes et moyens. « Les tarifs de cantines sont déjà très bas. Cela fait plusieurs années que nous avons mis en place une tarification sociale et solidaire, souligne Marie-Luce Buiche, adjointe au Maire en charge des Solidarités. À la rentrée, nous irons plus loin. La baisse des tarifs concernera l’immense majorité des familles, mais nous faisons un effort plus particulier pour toutes celles dont le ou les parents travaille(nt), mais n’arrivent plus à joindre les deux bouts quand tout augmente sauf les salaires. Ce sont les familles qui ont parfois le senti- ment de n’avoir droit à rien, et qui se sentent oubliés. »

    Aux petits soins des enfants

    Cette baisse des tarifs n’implique pas de renoncer à la qualité des repas, fabriqués par les agents du service public municipal à l’Assiette dieppoise. Les menus intègrent d’ailleurs presque 50 % de produits biologiques ou issus de filières labellisées qualité. « Quand beaucoup de collectivités ont fait le choix de passer par des centrales privées, nous préférons maîtriser de bout en bout ce qu’il y a dans l’assiette de nos enfants, avec une cuisine centrale en régie publique et leurs agents, qui fabriquent chaque jour des repas de qualité », confirme Florent Bussy, conseiller municipal délégué et président de l’Assiette dieppoise. Chaque midi, ce sont 169 agents municipaux qui sont mobilisés dans les 18 restaurants scolaires, pour le service et l’animation du temps du midi, avec des actions pédagogiques autour de l’alimentation et du bien manger. « Les agents municipaux du service éducation, sont aux petits soins de nos enfants, assure Emmanuelle Caru-Charreton, adjointe à l’Éducation. Pour les accompagner dans ce temps de midi, qui est un véritable temps éducatif. On ne fait pas que manger dans nos restaurants scolaires, on apprend à bien manger, à goûter, à découvrir. Pour beaucoup de familles, ce repas du midi est très important. Ils sont équilibrés avec une recherche sur la diversité des goûts parce que c’est aussi une manière de sensibiliser les enfants. »

     

     

    La répartition de la nouvelle tarification

    • 36 % des familles bénéficient de la gratuité
    • 53 % des familles paieront de 15 centimes à 3,95 euros le repas (soit une baisse moyenne de 25 % du tarif actuel)
    • 9 % des familles paieront de 3,95 à 4,83 euros le repas (soit une baisse moyenne de5%).
    • 2 % des familles paieront 4,98 € (gel du tarif actuel).
    • Majoration de 20 % sur le montant du quotient familial pour les résidents hors commune, à l’exception des enfants scolarisés en Ulis (unité localisée pour l’inclusion scolaire) ou en unité d’enseignement spécialisé, ou bénéficiant d’un projet d’accueil individualisé.

     

    La cantine en chiffres

    • 1 700 repas servis en moyenne chaque jour dans les écoles
    • 18 restaurants scolaires
    • 169 agents municipaux mobilisés sur les temps du midi
    • 48 % de produits bios et de qualité
    • 80 % des enfants demi-pensionnaires

     

    Le calcul du tarif dans le détail

    Il existe 8 tranches de facturation, en fonction du quotient familial (revenus annuels de la famille divisés par le nombre d’enfants, parts fiscales ; les familles monoparentales bénéficient d’une part fiscale supplémentaire). Chaque famille paie, selon ses revenus et sa composition, un tarif adapté, de 15 centimes le repas à 4,98 euros. Par exemple, pour les familles dont les revenus mensuels sont compris entre 1 et 2 Smic (salaire minimum de croissance fixéau1ermaià1383,08€ nets) par mois, les tarifs baisseront en moyenne de 25 % par enfant et par repas. Pour les familles dont les revenus sont compris entre 3 et 4 Smic, les tarifs baisseront en moyenne de 5%.

    © Photo : Erwan Lesné

  • Actualité 29/04/23

    Musée : plongez dans les secrets de la Côte d’Albâtre

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    Dès le 27 mai, le Musée abrite une exposition d’archéologie sous-marine, Sous les eaux, épaves de la Côte d’Albâtre. Pour une exploration inédite de l’histoire maritime locale qui ouvre les festivités du centenaire du château-Musée. (télécharger le dossier de presse de l'exposition).

    Terre-neuvas, marine marchande, navires de guerre et bateaux réquisitionnés pendant la Première et la Seconde Guerre mondiales, les eaux de la Côte d’Albâtre regorgent d’épaves, témoins de l’histoire récente. Aujourd’hui, une large part de l’histoire locale se trouve cachée au fond de la mer. Jusqu’alors inaccessible, elle fait l’objet d’une redécouverte active depuis quelques années.

    Produite par le Musée de Dieppe en partenariat avec le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm, ministère de la Culture) et le Groupe de recherche et d’identification des épaves de Manche Est (Grieme, associé au ministère de la Culture dans la surveillance des épaves), l’exposition Sous les eaux, épaves de la Côte d’Albâtre retrace l’histoire de bateaux qui ont coulé du XIXe siècle à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. « Le Musée est tourné vers la mer, observe Pauline Le Jossic, directrice adjointe du Musée et responsable de l’accueil des publics. Ses collections et cette exposition affirment cette identité maritime. »

    Elle présente pour la première fois les collections d’archéologie sous-marine remontées du fond des eaux par le Grieme et appartenant au Drassm. Déposées en 2017 au Musée, ces collections sont composées d’objets extraits d’épaves gisant sous les eaux entre Le Tréport et Le Havre. 

    « En général, ce n’est pas nous qui trouvons les épaves, explique Pierre-Yves Lepage. La première source, ce sont les pêcheurs qui nous disent “à tel endroit, on pense qu’il y a quelque chose”. On cherche à confirmer ou à infirmer des identifications faites par d’autres personnes. » Le président et responsable des opérations scientifiques du Grieme poursuit : « Sur chaque pièce remontée, on cherche des indices révélateurs. Parfois, les objets n’indiquent rien, parfois, c’est une machine à indices. Il peut n’y avoir qu’un seul indice, mais qui est une porte ouverte de compréhension. Si on rate ces indices, on peut passer à côté d’un pan de l’histoire. »

    Jamais encore exposés au public, de nombreux vestiges tirés des eaux sont à découvrir: objets de vie à bord (médicaments, cadenas, tasses, carrelages, vais- selles...), objets de navigation (batteries, hublots, transmetteurs d’ordre de passerelle...) ou objets d’armement (lunettes de calibrage d’obus, munitions...). 
    « L’exposition a voulu faire une part à des témoignages humains, au-delà de l’histoire des bateaux, indique Bertrand Ducourau, en charge de la valorisation des biens culturels maritimes au sein du Drassm. Ces objets ont une charge émotionnelle très différente. On a parfois à faire à des objets d’usage intime. Tout ça permet de reconstituer l’existence de la vie à bord. »

    Du matériel, mais surtout de l’humain

    Aux côtés de ces objets, des prêts de collectionneurs privés, du Musée de la Céramique de Desvres et du Musée des Pêcheries de Fécamp ainsi que des pièces des collections et archives du Grieme (maquettes, films, photographies, journaux...) documentent l’histoire de ces bateaux et leur fin tragique. Au sein de l’expo, il est possible d’écouter des récits des naufragés, de découvrir une carte animée de 61 épaves ou encore d’explorer les épaves à travers des films, des enregistrements sonores et des casques de réalité virtuelle. 

    Et Bertrand Ducourau de conclure: « Il n’y a pas que des bateaux qui ont coulé en période de guerre, il y a aussi des navires qui se sont percutés. Ces échecs de navigation auraient pu, pour certains, être évitables. Au cœur de ces naufrages, on touche quelque chose de sensible et d’humain. »

    ……………………………………

    Exposition à voir du 27 mai au 17 septembre

    Les 27 et 31 mai, de 10 heures à 12 heures puis de 14 heures à 17 heures. Les 28 et 29 mai, de 10 heures à 12 heures, puis de 14 heures à 18 heures. Du 1er juin au 17 septembre, du mercredi au dimanche de 10 heures à 18 heures.

    Autour de l’expo

    Tous les mercredis, samedis et dimanches, de 14 heures à 17 h 30, le documentaire Chasseur d’épaves Le Daffodil réalisé par Laurent Mathieu et produit par Mil Sabords est diffusé au Musée. Deux visites guidées de l’exposition ont lieu le 27 mai à 15 heures par Pauline Le Jossic (Musée) et 29 mai à 15 heures, par Pierre-Yves Lepage (Grieme). Ce dernier est présent les 26, 27 et 28 mai pour d’autres visites de l’exposition.
    Le 28 mai à 15 heures, Cécile Sauvage et Nathalie Huet, conservatrices au Drassm animent une conférence, gratuite, sur le Drassm et ses missions. Lila Reboul du Drassm tient une conférence gratuite le 31 mai à 18 heures à la Salle des congrès pour présenter le programme SOS du Drassm.

    © Photo :  Ludovic Madelaine (Grieme)

  • Actualité 29/04/23

    Le front de mer bleu Alpine

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    Pour célébrer le 50e anniversaire du titre de champion du monde des rallyes remporté par Alpine en 1973, un nouveau grand rassemblement consacré à la marque automobile dieppoise est organisé par Idéa (https://idea-alpine.jimdofree.com) du 19 au 21 mai. Le programme complet sur le site www.1973alpinedieppe2023.com.

    50e anniversaire

    Nicolas, Andruet, Thérier, Piot et Darniche. Surnommés les Mousquetaires, l’équipe de pilotes d’Alpine réussit l’exploit en 1973 de devenir championne du monde des rallyes dès la création de la compétition. Nous célébrons cette année le 50e anniversaire de ce sacre qui a marqué les esprits et permis d’écrire l’une des plus belles lignes de l’histoire de la marque au A fléché. Après l’inoubliable rassemblement organisé à l’occasion du centenaire de Jean Rédélé l’année dernière, Idéa (Initiative Dieppe événements Alpine), qui compte notamment dans ses rangs l’Amicale des anciens d’Alpine, remet le couvert.

    Arrêt au stand

    Retour vers le futur. Les organisateurs ont eu la bonne idée de reconstituer un stand de mécanique en invitant les mécaniciens qui ont contribué à l’obtention du titre en 1973. Ils sont accompagnés d’élèves du lycée L’Émulation dieppoise pour effectuer des démonstrations.

    Un musée

    En préfiguration de la création d’un musée Alpine, Idéa installe un musée éphémère sous l’un des chapiteaux. Y seront notamment exposés des véhicules de rallye d’Alpine. Par ailleurs, un village d’exposants est également mis en place réunissant une cinquantaine d’artistes, de boutiques Alpine et de collectionneurs.

    Le rendez-vous des collectionneurs

    Considérée comme une exception française et l’un des grands symboles du Made in France, la marque Alpine a vu sortir de ses chaînes des dizaines de modèles depuis sa création à Dieppe, il y a soixante-huit ans, par Jean Rédélé. Des collectionneurs venus de toute la France, parfois même de l’étranger, ont répondu à l’invitation d’Idéa pour exposer sur les pelouses du front de mer leur véhicule. Plus de 700 voitures sont attendues. Elles commenceront à s’installer dès le 18 mai.

    « Biche », la marraine

    Cette nouvelle édition prendra un fort accent féminin. Symboliquement, c’est Michèle Espinosi-Petit, surnommée Biche, qui est la marraine de l’événement. Elle était, notamment, copilote en 1972 et en 1973 lors de plusieurs rallyes à bord de l’Alpine A 110 1800. Pour rappel, l’usine Alpine compte plus de 15 % de femmes parmi ses salariés et est désormais dirigée depuis quelques mois par Anne-Catherine Basset.

    Slalom sur le boulevard Foch

    C’est l’un des grands temps forts du week-end. L’an dernier, la présence de la Formule 1 avait défrayé la chronique et attiré la foule des grands jours. Cette fois, le samedi après-midi, vers 15 heures, des pilotes de haut niveau sont au volant de véhicules de rallye d’Alpine pour proposer au public des démonstrations de slalom sur le boulevard du Maréchal Foch, entièrement sécurisé pour l’occasion. Sensations fortes garanties !

    L’usine à l’honneur

    S’il est presque impossible de la visiter (secret industriel oblige), la Manufacture Alpine Jean Rédélé est bien de la partie. Sous un chapiteau de près de 200 m2, les salariés présentent leur savoir-faire et livrent au grand public quelques facettes du processus de fabrication des Alpine A110.

    Rallye historique et parades

    Des « Alpinistes » prennent la route le vendredi pour un rallye historique au départ de Dieppe en direction de Neufchâtel et de Bully, d’où était originaire le regretté ancien pilote Jean- Luc Thérier. Par ailleurs, le dimanche matin, à partir de 9 heures, les véhicules paradent dans les rues de la ville. Deux cortèges sont formés, l’un sur Janval, l’autre sur Neuville.

    Stationnement

    Deux parkings gratuits sont mis à disposition. À l’hippodrome qui accueille les camping-cars et les véhicules légers et sur le parking de la Manufacture Alpine qui n’accueille que des véhicules légers. Des navettes sont mises en place pour rallier le front de mer.

    © Photo d'archive (rassemblement Alpine 2022) : Pascal Diologent

  • Actualité 29/04/23

    Prenez-vous aux jeux le 18 mai !

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    À vous de jouer se tient le jeudi de l’Ascension, 18 mai, de 10 heures à 18 heures, au parc François-Mitterrand.

    • Télécharger le programme complet de l'éditio 2023 de À vous de jouer.

    Des espaces jeux 

    Le réseau D’Lire vous propose différents espaces ludiques : petite enfance (jeux de manipulation, de construc- tion, encastrables, balancelles, Légo géant...) ; jeux de société (de dés, de cartes, de hasard, de stratégie, d’ambiance, d’aventure...) ; jeux en tête-à-tête, jeux traditionnels et d’adresse (billard japonais, quilles, tennis hockey...); Micro-Folie (musée numérique, espace de réalité virtuelle, jeux vidéo) ; quiz ludique Questions pour un Dieppois par Dieppe Ville d’art et d’histoire.

    Un château gonflable est implanté pour les plus jeunes, tout comme un stand de tir à l’arc ou à l’arbalète. À noter aussi la présence du Centre Kapla de Paris pour la construction participative d’un kapla géant ains que celles des clubs de jeux dieppois (Échiquier dieppois, Scrabble club de Dieppe, Questions pour un champion, Amical bridge club dieppois) et du Plumier (vente de jeux).

    De la déambulation

    Des Soldats jouets, taquins et chamailleurs, vont faire leur apparition toute la journée sur site. Cette déambulation spectaculaire est proposée par la Cie Acidu. Elle est menée par Capucine, une petite fille qui mène par le petit doigt des soldats-jouets, qui alternent posi- tions martiales et burlesques.

    Des marches familiales

     700 randonneurs sont attendus. Trois marches sont proposées au départ d’Hautot-sur-Mer : marche sportive (16 km) à 9 h 15, marche découverte (11 km) à 10 h 05 et marche familiale (5 km) à 10 h 35. Chaque randonneur doit s’inscrire trente minutes avant son départ en car, depuis le boulevard de Gaulle. Le retour est prévu entre 12 heures et 12 h 30 au parc Francois-Mitterrand où un pot de l’amitié est offert par la Ville.

    © Photo d'archive (À vous de jouer 2022) : Erwan Lesné 

  • Actualité 29/04/23

    Festival “Les bon(s) jour(s)” : la nature en ville revient au galop !

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    Le festival de nature en ville Les Bon(s) jour(s) de Dieppe a lieu du 4 mai au 4 juin. De nombreux temps forts ponctuent le mois d'animation en faveur du développement durable :

    • 21e Fête des fleurs le 8 mai au parc François-Mitterrand

    Déjeuner insolite à la terrasse du château le 6 mai

    Lectures à voix vertes le 10 mai au parc Mitterrand

    Jungle urbaine et Papouasie le 13 mai à DSN (cinéma et rencontre avec Mundiya Kepanga, chef Huli, engagé dans la défense des forêts primaires et de Marc Dozier réalisateur de films documentaires nature) 

    Journée de la Biodiversité et de la nature le 25 mai au lycée Jehan-Ango

    • visite guidée La faune et le patrimoine portuaire le 27 mai par Dieppe Ville dart et d'histoire

    Zen au parc (bois de Rosendal) le 4 juin

    D'autres animations sont aussi prévues : expositions de Margherita Mariano (Végétale et Les Belles rebelles), atelier Plan faune sauvage avec Biodiversit'UP, Olympiades naturelles au parc paysager de Neuville, visites guidées, nettoyages de rue, troc aux plantes et bouture à la bib’-ludo Claudel du 30 mai au 3 juin, stand d’infos sur le vélo, yoga sur la plage de Puys, ateliers (plantations, créa-récup, abreuvoirs pour oiseaux, fabrication de maisons à insectes) ; marches nordiques et randonnées…

    "L’écologie est un combat pour préserver les ressources naturelles et la biodiversité ; un combat pour promouvoir des pratiques respectueuses de la Terre et des droits humains, indique le maire Nicolas Langlois. Dans la course engagée contre les effets du réchauffement, les villes et les territoires sont une bonne échelle pour agir. Cette 3e édition des Bon(s) jour(s) de Dieppe est une vitrine des bons gestes pour la planète."

    • Télécharger le programme complet du festival Les Bon(s) jour(s) de Dieppe

    • Télécharger le programme de la 21e Fête des fleurs (8 mai)

  • Actualité 07/04/23

    La Geek convention sort le grand jeu les 15 et 16 avril

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    Jeux vidéo, manga, cosplay... La pop culture s’invite au gymnase Léon-Rogé les 15 et 16 avril.

    « Quoi de neuf Docteur ? » Qui n’a jamais entendu la célèbre phrase de Bugs Bunny ? L’homme qui fait sa voix française est l’invité spécial de la Geek Convention, qui fait escale pour la première fois à Dieppe. Outre le célèbre lapin de la Warner, Gérard Surugue a également fait les voix de Droopy, Garfield, Joe Dalton, Raditz (Dragon Ball Z), Grognon et Bestiole (Les Bisounours)... Il est présent tout le week-end pour des dédicaces.

    Une fête pour les 7 à 77 ans

    Le gymnase janvalais se transforme en grande salle de jeu avec plus de 40 consoles de jeux vidéo et bornes d’arcade, des années 80 à la dernière PlayStation 5. Deux tournois sur le jeu Super Smash bros sur console Switch sont organisés. Des jeux de société, des quiz, des blind test ou une initiation à l’aïkido vont offrir
    d’autres moments ludiques au public. Des stands de vente sont aussi érigés: bandes dessinées, mangas, pixel art, figurines (Marvel, DC Comics). Par ailleurs, un défilé cosplay et une chanteuse de musique japonaise se succèdent sur scène. À voir, par exemple, des R2D2 grandeur nature !

    « C’est un rendez-vous intergénérationnel qui va plaire aussi bien aux enfants de 5 ans qu’à leurs grands-parents, indique Jean-Paul Mrozinski, président depuis 2017 de NormanGeek, association qui sauvegarde les jeux video et qui organise des conven- tions en Normandie (Montivilliers, Bernay, Gruchet- le-Valasse, Barentin). Le prix d’entrée (NDLR: lire ci-dessous) n’est pas très élevé. On espère attirer le plus de familles possibles pour une belle fête ! » À vous de jouer !

    Dieppe Geek convention les 15 et 16 avril, de 10 heures à 18 heures au gymnase Léon-Rogé. Tarif : 3 €. Gratuit pour les moins de 6 ans.

  • Actualité 07/04/23

    Le bassin nordique des Bains rouvre au public le 15 avril

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    Les nageurs vont réinvestir les lignes d’eau. La crise énergétique avait conduit à fermer, le 6 novembre dernier, le bassin nordique, particulièrement gourmand pour permettre de chauffer les quelque 3 500 m3 d’eau de mer qu’il contient. Les beaux jours reviennent et les usa- gers ainsi que les licenciés des clubs vont pouvoir à nouveau enfiler maillots et bonnets de bains pour enchaîner les longueurs à partir du 15 avril.

    Un arrêt technique de plusieurs semaines a ainsi été nécessaire pour entretenir et préparer le bassin de 50 mètres, mais aussi l’ensemble des espaces (fitness, spa et aquatiques) de l’équipement désormais géré par la Ville de Dieppe.

    Un aquathlon le 16 avril des portes ouvertes le 13 mai

    L'Aquathlon de Dieppe est organisé par les Piranhas le 16 avril de 13h à 18h. Ouvert à tous dès 6 ans, licenciés ou non, cette compétition est un parcours enchaînant natation sur le bassin chauffé extérieur de 50 mètres et course à pied sur le front de mer. Quatre épreuves sont programmées : des aquathlons “jeunes” (participants nés entre 2010 et 2017), “XS minimes” (2008-2009), “XS découverte” (à partir de la catégorie minime) et “double XS supersprint” en relais par équipe de deux (un nageur et un coureur, à partir de la catégorie cadet). Les distances sont adaptées en fonction des catégories d’âges. Contact : 06 88 52 37 57. Plus d'infos sur club-piranhas.com. Inscription sur espace-competition.fr.

    Quant à eux, Les Bains ouvrent leurs portes le 13 mai. L’ensemble de l’équipement sera ainsi accessible gratuitement pour permettre aux usagers de découvrir ou redécouvrir les lieux, mais aussi d’en tester les activités proposées.

    © Photo d'archive : Pascal Diologent

  • Actualité 31/03/23

    Budget 2023 : "un bouclier social et humain“

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    Le conseil municipal a adopté, le 30 mars, le budget 2023 de la Ville de Dieppe. La Municipalité veut "garder sa boussole, son cap. Son cap c'est d'être aux cotés des habitants, d'être en solidarité avec les habitants, d'en prendre soin et de continuer à préparer l'avenir", selon les termes du Maire Nicolas Langlois.

    • Télécharger la plaquette du budget 2023 de la Ville de Dieppe.

    Le budget en un coup d'œil

    ▪️ Un budget équilibré (recettes/dépenses) de 92 millions d'euros

    ▪️ 12 millions d'euros d'investissements en 2023

    ▪️ 0% d'augmentation d'impôt (pour la part communale) depuis 2008 (contrairement au Gouvernement qui a revalorisé ses bases de 7,1 %, ce qui aura pour effet de faire augmenter la facture des contribuables dieppois)

    ▪️ 1 mesure phare : la baisse des tarifs de cantine pour les familles (là où de nombreuses collectivités ont fait le choix ou ont été contraintes de les augmenter face à l'inflation)

    ▪️ 3,3 millions d'euros : un soutien maintenu (subventions) aux associations dieppoises

    ▪️ De multiples projets dans tous les quartiers : future reconstruction de la piscine Delaune, des jardins familiaux au Val Druel et à Janval, l'entretien de voiries, chantiers dans les écoles, toiture refaite du Mémorial du 19 août 1942, poursuite de la rénovation urbaine sur Bel-Air/Coty (Neuville)…

  • Actualité 29/03/23

    Escale du “Scylla“ : cap vers la dépollution

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    Via son voilier long de 18 mètres Scylla, Wings of the Ocean est une association qui lutte contre la pollution plastique dans le but de préserver le vivant. Jusqu'au 17 avril, plusieurs animations gratuites sont organisées pour le grand public : visites, ramassage de déchets sur le port, conférence, ciné-débat.

    • Samedi 1er avril :

    14h30-17h : Visites du bateau

    • Dimanche 2 avril :

    9h30-11h30 : Ramassage de déchets

    14h30-17h : Visites du bateau

    • Lundi 3 avril :

    9h30-11h30 : Ramassage de déchets sur le port

    • Mercredi 5 avril :

    14h-16h : Ramassage de déchets sur le port

    Samedi 8 avril :

    14h30-17h : Visites du bateau

    Dimanche 9 avril :

    9h30-11h30 : Ramassage de déchets

    14h30-17h : Visites du bateau

    • Lundi 10 avril :

    14h30-17h : Visites du bateau

    • Vendredi 14 avril :

    14h-16h : Ramassage de déchets sur le port

    18h30 : Ciné-Débat, documentaire « Les gardiennes de l’océan », suivi d’un échange avec des membres de l’association Wings of the Ocean.

    • Samedi 15 avril :

    9h30-11h30 : Ramassage de déchets

    14h30-17h : Visites du bateau

    • Dimanche 16 avril :

    10h : Conférence de présentation du Label Wings of the ocean à destination des plaisanciers, salle Ango (au-dessus de l'Office de tourisme)

    14h30-17h : Visites du bateau

    • Lundi 17 avril :

    9h30-11h30 : Ramassage de déchets sur le port

    14h30-17h : Visites du bateau

     

    Plus d'infos sur le site https://www.wingsoftheocean.com.

    © Photo : Erwan Lesné - service Communication de la Ville de Dieppe

  • Actualité 29/03/23

    “Tous en bleu pour l'autisme” : des temps forts du 1er au 7 avril

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    Portées et organisées par l'APEI de la région dieppoise, plusieurs actions de sensibilisation à l'autisme sont programmées du samedi 1er avril au vendredi 7 avril. Le thème de cette année est “Parcours de vie”.

    Parmi les temps forts :

    • Une journée festive le samedi 1er avril de 10h à 17h à la Salle des congrès (stands d'information, animations sportives/loisirs/bien-être) avec une marchebleue à 14h30 au départ de Salle des Congrès (parcours de 3 km, venir avec un habit/accessoire bleu) Entrée libre.

    Diffusion du film Pénélope Mon Amour, sur le parcours d’une mère et de sa fille autiste le 6 avril à 18h30 à DSN (tarif unique 4 €)

    • Une conférence de Julie Dachez au Casino de Dieppe le vendredi 7 avril 13h30 (payant)

    • Un concert du groupe “Percujam” au Casino de Dieppe le vendredi 7 avril à 20h (payant)

    À noter aussi, une exposition photos de Romuald Defoulny, intitulée Le parcours de vie des personnes TSA, à découvrir toute la semaine sur le quai Henri IV.

    Télécharger le programme complet de “Tous en bleu pour l'autisme”.

    © Visuel : Samuel Gros - service Communication de la Ville de Dieppe

  • Actualité 10/03/23

    Future restauration du pont Colbert : 15 mois d'interruption de circulation maximum et une passerelle piétons

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    Le communiqué est tombé le 10 mars au sortir du comité syndical de Ports de Normandie où le maire Nicolas Langlois et son adjoint à la mer Dominique Patrix siègent. Ports de Normandie, qui gère la structure du Pollet classée monument historique, a retenu Eiffage Métal pour les travaux de restauration du pont tournant.

    La société propose de réaliser les travaux en 17 mois, avec une interruption de circulation de 15 mois maximum pour un coût de 15,9 millions d'euros , portant ainsi le budget global du chantier à 19,6 M€. En effet, outre les travaux réalisés par Eiffage Métal, 3,7 M€ seront consacrés la rénovation des quais, la mise en lumière, la réfection de la façade du bâtiment des machines, la maitrise d’œuvre…

    Une option passerelle a été choisie par les élus, malgré son coût, afin de prendre en compte les difficultés générées par le chantier. Il s’agit d’une passerelle piétonne mobile qui sera manœuvrée à l’aide d’une grue stationnée en permanence à proximité du pont.

    Le pont sera déposé au cours du premier trimestre 2024 et amené sur une zone qui permettra de réaliser le sablage en limitant au maximum les nuisances sonores pour les riverains ainsi que les risques de rejets (plomb et amiante) dans l’environnement. Un cocon sera d’ailleurs installé afin d’empêcher totalement ces rejets. Le nouveau pont devrait ainsi être livré à l'été 2025. Seule la saison estivale 2024 devrait être impactée.

    "La bataille [de sa restauration à l'identique, via un classement aux Monuments historiques] est partie des habitants et du comité de sauvegarde, soutenue par mon prédécesseur Sebastien Jumel, a réagi Nicolas Langlois. Le Président de Région [Hervé Morin] s’y était engagé en 2015. Il tient parole. Il y a encore du travail, un travail main dans la main avec Ports de Normandie, la Drac et les collectivités pour préparer ce chantier unique. Pour en réduire les nuisances aussi et en faire un projet-école, passeur de savoir-faire uniques. Je rêve que ces 15 mois soient aussi l'occasion pour tous les Dieppois de retrouver leur histoire locale et portuaire, dont le pont Colbert, du haut de ses 134 ans, est un témoin majeur."

    © Photo : Archive - service Communication de la Ville de Dieppe

  • Actualité 04/03/23

    Anru 2 : la future “coulée verte” dévoilée

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    Un café-chantier a été organisé le 28 février dans le hall de l'immeuble Piémont à Neuville. Intégré dans le cadre du projet de renouvellement urbain (Anru 2) sur Bel-Air/Coty, le projet de “coulée verte” va changer la physionomie du secteur.

    Verdoyant et familial, ce “parc linéaire” va ainsi traverser une partie des immeubles de Bel-Air, jusqu'au gymnase Robert-Vain (actuellement en pleine rénovation). Un parvis sera créé le long du gymnase et des équipements ludico-sportifs seront installés. L'ambiance de ce futur lieu de vie en plein cœur du quartier Bel-Air se voudra naturelle et calme : grande pelouse arborée, nature comestible, éco-pâturage…

    D'autre part, le secteur “voirie” sera plus sécurisé pour les cyclistes et piétons et de nouveaux points d'apport volontaire pour les déchets ménagers seront implantés pour les résidents.

     La première des trois tranches de travaux (rues Aristide-Briand et du marché) de la “coulée verte” va débuter mi-avril. Ce nouvel espace public majeur sera livré d'ici trois ans.

    © Visuels : Agence Topo

  • Actualité 04/03/23

    Le Maire à votre rencontre sur les marchés

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    Au plus près des habitants. Marque de fabrique de la municipalité, la proximité imprègne son action au quo- tidien avec la présence de services et d’accueils dans tous les quartiers de la cité. « C’est une volonté forte de faire en sorte que dans une ville à taille humaine comme la nôtre, on puisse accéder à tous les services en moins de cinq minutes, souligne le maire de Dieppe, Nicolas Langlois. Ce choix, nous ne cessons de le consolider notamment à travers notre démarche de démocratie locale qui permet à tous les habitants non seule- ment de solliciter la Ville pour tous les sujets qui les concernent, mais aussi de participer à l’élaboration de nombreux projets et, notamment, ceux de l’aménagement de l’espace public. »

    Rendez-vous

    Durant la crise Covid, les élus avaient renforcé encore leur présence sur le terrain ainsi que celle des services avec le dispositif « On est là ». Toujours disponible pour les habitants, le maire de Dieppe a décidé d’ouvrir de nou- velles possibilités d’échanges. Comme durant le mois de novembre pour sensibiliser les habitants aux enjeux de la crise énergétique, il va installer régulièrement son bureau sur les marchés de Dieppe. « Je m’y rends chaque semaine, car c’est l’un des cœurs battants de notre ville, explique-t-il. Désormais, nous allons proposer des rendez-vous pour permettre aux habitants de venir directement à ma rencontre pour évoquer les sujets qui les préoccupent. » Le tout premier rendez-vous a eu lieu 4 mars sur le marché de Dieppe.

    Les prochaines permanences

    > 13 avril (10 heures -12 heures), marché de Neuville

    > 3 mai (10 heures -12 heures), marché de Janval

    > 3 juin (9 heures -11 heures), place du Puits salé.

    © Photo : Pascal Diologent

  • Actualité 04/03/23

    Des jobs d’été à pourvoir le 25 mars

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    Le 25 mars de 10h30 à 18 heures dans le hall de la mairie, rencontrez les employeurs et postulez aux offres. 

    N’oubliez pas vos CV ! Pour la 6e fois, la Ville de Dieppe et la Mission locale Dieppe Côte d’Albâtre organisent ce rendez-vous utile qui permet à des employeurs (Ville, McDonald’s, Opad, DFDS, centres sociaux...) de rencontrer directement des candidats et de leur proposer leurs offres d’emplois saisonniers. Ces offres se localisent principalement dans le secteur dieppois, mais aussi dans le département, dans d’autres régions et même à l’étranger. Un espace employeur est ainsi aménagé au 2e étage de l’hôtel de ville pour les entretiens, qui durent une dizaine de minutes.

    En amont du Forum job d’été, la Mission locale — 8 avenue Normandie-Sussex — et le service Jeunesse de la Ville — 2 boulevard Georges-Clemenceau — accueillent les jeunes et les accompagnent dans la réalisation de leur CV et la rédaction de lettres de moti- vation. Le jour J, un atelier de sophrologie est dispensé par l’association Leslie Sophro pour apprendre à se détendre avant de passer un entretien d’embauche. Un atelier de création de CV est à la disposition des candidats. Des boîtes à CV vont être aussi instal- lées pour qu’ils puissent être transmis à des employeurs qui n’auront pas pu être présents au Forum.

    • Contact : Service Jeunesse au 0 23 50 66 111 ou Mission locale Dieppe Côte d'Albâtre au 02 35 84 96 56.

    © Photo d'archive : Erwan Lesné

  • Actualité 04/03/23

    Cinéma : Dieppe déroule le tapis rouge au Canada

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    La 10e édition du Festival du film canadien de Dieppe se tient du 23 au 26 mars. À l’affiche, 14 longs-métrages dont 8 en compétition officielle, et 14 courts-métrages.

    « Il est bien ancré dans le calendrier local et régional des manifestations culturelles, assure Ben Collier, président de Ciné-Deep, l’association organisatrice. On aimerait que notre festival soit reconnu parmi les grands festivals de cinéma étranger, comme Deauville l’est pour le cinéma américain ou Dinard pour le cinéma britannique. »

    L’équipe de Ciné-Deep a préparé une édition anniversaire « riche »« éclectique » et « accessible ». À l’affiche, 14 longs-métrages dont 8 en compétition officielle, et 14 courts-métrages. « Notre programmation est un état actuel du cinéma canadien, expose Guillaume Dauzou, programmateur du Festival. On a reçu énormément de films, plus de 100, car désormais on se fait solliciter ! Les films en compétition n’ont jamais été projetés hors du Canada. » 

    Tous les genres du 7e art vont passer sur les écrans : comédie, drame, science-fiction, documentaire... Parmi les nouveautés, un “warm up”, qui précède le lancement officiel, le 22 mars avec la diffusion de l’un des trois films-anniversaire (diffusés lors d’éditions précédentes) ou le jumelage avec le Festival international du cinéma fran- cophone en Acadie via la projection d’un documentaire et la réception d’un invité de cette région nord-américaine.

    Le Festival est une occasion en or de rencontrer, d’échanger avec tous les métiers du grand écran, en toute simplicité. Car comme le revendique Ben Collier : « On a le tapis rouge, mais on n’est pas un festival de paillettes ! » Cette année, l’acteur Bernard Le Coq est le président du jury. À ses côtés, les autres jurés sont Guilaine Londez (comédienne), Anne-Sophie Versnaeyen (compositrice), Vassili Schneider et Gilles Renaud (comédiens québécois), Thierry Godard (comédien) et Pauline Grisoni (journaliste podcasteuse).

    ………………………………

    Vous pouvez accéder à la billetterie en ligne sur le site du Festival du film canadien. Ou alors réserver vos places lors des permanences aux Cinémas Grand Forum de Dieppe les mercredis, samedis et dimanches à partir de 14 heures. Tarifs des cérémonies : 3 € ; ticket unique : 5 € ; Pass (accès à tous les films hors cérémonies) : 23 €.

    Programme complet du Festival du film canadien de Dieppe. Toutes les infos sur le site officiel.

    © Photo d'archive : Erwan Lesné

  • Actualité 04/03/23

    Mars au féminin : les temps forts

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    Spectacles, expositions, marche revendicatrice, cinéma, forum, visites guidées. La Ville de Dieppe, investie dans le combat contre les discriminations, propose de promouvoir l'égalité femme/homme en réalisant, en partenariat avec les associations, un programme d'action sur l'ensemble du mois de mars.

    • Jusqu'au vendredi 10 mars

    Exposition : Jeunesse pour l’égalité de l'Observatoire des inégalités dans le hall de l’hôtel de ville de Dieppe. Accès libre.

    • Samedi 4 mars, 14h30

    Cinéma : film Annie Colère de Blandine Lenoir à DSN, dans le cadre de l'opération Ciné Relax. Tarif unique : 4 €.

    • Mercredi 8 mars, 17h30

    Rassemblement : Marche de Nous toutes. Départ du parvis Rosa-Leroy, après les différentes prises de parole. Ouvert à toutes et tous.

    • Mercredi 8 mars à 20 heures

    Danse : Larmes de la compagnie Re-Création by LOBA au Casino de Dieppe, suivi d’un débat sur le viol comme arme de guerre. Tarif: 5 € (gratuit pour les moins de 25 ans, bénéficiaires des minima sociaux). Infos et réservations auprès du centre social L'Archipel (02 35 84 16 92).

    • Samedi 11 mars, de 14 heures à 18 heures

    Information : Forum des associations et des services engagés en faveur des droits des femmes au Casino de Dieppe. Accès libre.

    • Mercredi 15 mars, 20 heures

    Théâtre : Cette petite musique que personne n’entend de Clarisse Fontaine, mis en scène par JoeyStarr, au Casino de Dieppe. Infos et réservations au 02 35 06 61 97 dès le 11 mars.

    • Samedi 18 mars, 15 heures

    Visite guidée : Louise, Eugénie et Marie-Caroline par Dieppe Ville d'art et d'histoire. Rendez-vous devant l'office de tourisme. Gratuit.

    • Mercredi 22 mars, 20 heures

    Spectacle : Ces gens-là par le Marilù collectif au Drakkar. Accès libre.

    • Vendredi 24 mars, 18h30

    Cinéma : Documentaire sur le spectacle Ces gens-là par le Marilù collectif à DSN. Accès libre.

    • Mercredi 29 mars, 15 heures

    Visite : Les femmes dans les collections du musée au Musée de Dieppe. Gratuit.

    • Jusqu’au vendredi 31 mars

    Exposition : Les inégalités ce n’est pas notre genre à la salle d'exposition du centre social Oxygène. Accès libre.

    • Jusqu’au vendredi 31 mars

    Exposition : Photos et témoignages sur les droits des femmes par le collectif Aime Elles de la Mission locale Côte d'Albâtre, dans les locaux de la structure, 8 avenue Normandie-Sussex. Accès libre.

    • Jusqu'au samedi 22 avril

    Exposition : 11 femmes+1, photos, peintures et sculptures à la Galerie Art VP, 6 rue de l’Oranger

     

    © Photo : archive - Pascal Diologent

  • Actualité 02/02/23

    « Non à la logique comptable dans nos écoles ! »

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    Nicolas Langlois, maire de Dieppe, et Sébastien Jumel, député de Seine-Maritime, ont réuni, le 1er février à Dieppe, des élus, des présidents de Sivos — Syndicat Intercommunal à Vocation Scolaire —, des représentants syndicaux et des parents d’élèves tous inquiets, tous en colère, face à la menace que laisse planer la nouvelle carte scolaire sur les établissements d’enseignement primaire.

    « Nous dénonçons la même logique comptable qui, depuis des années, s’applique sans aucune considération de la réalité des communes et avec une ambition au rabais pour la réussite des élèves, notamment les plus fragilisés, estime Nicolas Langlois qui soutient les mobilisations en cours des parents d’élèves, des enseignants et des syndicats dans les écoles de Dieppe et de Neuville-lès-Dieppe. Les écoles classées en réseau d’éducation prioritaire n’échappent pas à ces suppressions de postes. C’est un contre-sens absolu. Nous savons aussi que les heures d’enseignement dans les collèges et les lycées seront revues à la baisse. C’est inacceptable ! Exigeons plus de moyens pour l’éducation. » 
    Une manifestation est prévue, ce samedi 4 février à 10 heures, sur le pont Ango de Dieppe
    .

     

    • État de situation de la carte scolaire 2023-2024 :

    -Écoles élémentaire Sonia-Delaunay 

    Menace de fermeture d’une classe de CP dans cette école exclue de la REP+ depuis 2014 et classée au 64ème rang au niveau académique. Depuis le 3 janvier dernier, la coordinatrice ULIS n’est pas remplacée. 

    - École élémentaire Paul-Bert 

    Menace de fermeture d’une classe dans une école classée REP+ et située dans un quartier engagé dans un programme de rénovation urbaine. Les doubles niveaux dans les classes dédoublées ne sont pas opportuns. 

    École élémentaire Paul-Langevin 

    Menace de fermeture d’une classe de cycle 3 portant à 28 ou 29 élèves alors que cette école est classée en REP+ et qu’un tiers des élèves de CE1 sont actuellement suivis par le Rased. Trois élèves bénéficient de l’aide d’une AESH.

    -École maternelle Marie-Curie 

    Menace de fermeture d’une classe dans cette école qui, sur un effectif de 49 élèves, compte neuf dossiers MDPH. Cette école accueille souvent des élèves du voyage. Il y a dans cette école un double enjeu d’inclusion et d’émulation alors que l’équipe d’enseignants tournent en effectifs réduits.

    -École De Broglie

    Menace de fermeture d’une classe, après une ouverture en 2021, dans cette école qui accueille neuf enfants en Unité d’Enseignement Elémentaire Autisme.

    © Photo : Erwan Lesné

  • Actualité 30/01/23

    L'Urban trail de Dieppe passe la nuit du 11 février

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    Une autre façon de courir ou marcher et de découvrir la ville aux quatres ports et ses passages secrets. Avec l'Urban Trail de Dieppe, changez de point de vue sur la ville. Pour célébrer sa 5e édition, il se déroule, pour la première fois en nocturne, le 11 février à partir de 18 heures. Au programme, trois parcours urbains entre terre et mer : un trail de 12 km, un trail de 21,5 km, une marche de 11 km. Pas moins de 1 500 dossards sont à retirer. 

    • Plus d'infos : urbantraildieppe.com. Les inscriptions se font jusqu’au 9 février sur le site urban-trail-dieppe-2023.onsinscrit.com/accueil.php.

    © Photo (édition 2022) : Pascal Diologent - service Communication de la Ville de Dieppe ​

  • Actualité 30/01/23

    Les Mycéliades à la conquête de l’espace

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    Cinéma, livres, jeux vidéo, conférences, ateliers: la science-fiction à l’honneur du 1er au 11 février.

    Le premier festival national de science-fiction (SF) Les Mycéliades s’installe dans la salle de cinéma de Dieppe scène nationale (DSN), mais aussi à la médiathèque Jean-Renoir. La thématique “Besoin d’espace” permet de créer des passerelles entre cinéma, littérature, création numérique, arts graphiques ou encore jeu vidéo.

    Côté 7e art, plusieurs séances spatiales sont au programme. À commencer par le film d’animation Wall-E (2008) diffusé à DSN le 1er février et le 4 février (séance Ciné relax) à 14 h 30. Le 3 février à 19 heures, le documentaire Dans les yeux de Thomas Pesquet (2021) est projeté à la Maison Jacques-Prévert. À l’issue du documentaire, est organisée une conférence-débat sur sa mission et sur l’ISS animée par l’association Pilotes & Cie qui a invité Lester David, ingénieur spatial et médiateur scientifique au Palais de la Découverte de Paris.

    À la fin du film biographique First Man : Le Premier Homme sur la Lune (2018), à l’affiche de DSN le 5 février à 15 heures, Pilotes & Cie relance une discussion à propos des futures missions sur la lune, avec la participation de Lester David. Le film d’aventures spatiales Gravity (2013) passe à l’écran, via le port d’une paire de lunettes 3D (1 € de location), le 10 février à 18 heures et le 11 février à 14 h 30 à DSN. Toutes ces séances sont au tarif unique de 4 €.

    Des ateliers gratuits à la médiathèque

    Côté atelier, le public, à partir de 6 ans, peut transformer son Lego Milo en astromobile, puis le mettre en mouvement après l’avoir programmé. Le 1er février à 14 h 30 à la médiathèque, cette activité est animée par Solveig Duhamel, mobilisatrice Micro-Folie et Fabmanager à la Maison Jacques-Prévert. La “média” accueille, le 4 février à 14 heures, l’auteur de science-fiction Philippe Ruaudel pour un atelier autour de la littérature de l’imaginaire. Enfin, un atelier crêpes lunaires se tient le 8 février à 15 heures, sur inscription au 02 35 06 63 43.

    Espace jeux

    Le 1er février, à partir de 14 heures, la médiathèque Jean-Renoir met à disposition des consoles de jeux vidéo rétro avec des jeux autour de l’espace. Même jour, même lieu, à 14 h 30, des jeux de société dès 5 ans sur les thématiques de l’espace, l’imaginaire et le paranormal sont de sortie, pour le plus grand plaisir des familles. Le 11 février à 16 heures, venez tester vos connaissances musicales et cinématographiques lors d’un blind test (sur inscription au 02 35 06 63 43) spécial science-fiction. Gratuits.

    Espace littéraire

    L’auteur dieppois Philippe Ruaudel est présent à la médiathèque le 4 février à 16h30, pour le rendez-vous Tapage, un partage de coups de cœur littéraires spécial science-fiction. Tout au long du festival Les Mycéliades, la “média” propose aux lecteurs une sélection de films, bandes dessinées, œuvres littéraires et musicales autour de la thématique “Besoin d’espace”. Gratuits.

    Télécharger le programme des Mycéliades 2023 à Dieppe

  • Actualité 30/01/23

    DSN : du Ciné Relax à l’affiche

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    Une fois par mois, un public en situation de handicap mental peut assister à une séance ordinaire de cinéma à DSN. La Ville est à l’initiative de la mise en place, à Dieppe scène nationale (DSN), de séances dites de Ciné Relax, un dispositif porté depuis 2005 par l’association Culture Relax qui rend la culture accessible à des personnes qui en sont privées par leur handicap (personnes autistes, atteintes d’Alzheimer, avec un handicap intellectuel, cognitif, des troubles psychiques...). Ainsi, 216 436 spectateurs ont assisté, depuis 2005, aux 4 474 séances Relax (cinéma et spectacles vivants) au sein des 102 salles du réseau Culture Relax.

    « Aller au ciné semble être un acte banal, mais qui, pour certains, paraît impossible ou se transforme en épreuve, indique Juliette Monnier, coordinatrice du réseau Ciné Relax. Nos séances sont simplement adaptées pour que chacun, quel que soit le degré de son handicap, ait le plaisir d’aller au cinéma avec les autres spectateurs. » Les séances vont avoir lieu chaque premier samedi du mois à 14 h 30 et débutent le 4 février. Pour accueillir ces publics qui peuvent ressentir le besoin de se lever, de bouger dans la salle ou de verbaliser leurs émotions, une équipe de bénévoles est présente, de leur arrivée dans le hall de DSN jusqu’au placement dans la grande salle.

    « Une trentaine de bénévoles a répondu présent à la formation proposée le 9 janvier par l’association Culture Relax pour sensibiliser au handicap et expliquer comment les séances de cinéma inclusives vont se dérouler, se félicite Pauline Masson, conseillère municipale en charge de l’Inclusion et du Handicap. Un signe fort que les Dieppois veulent rendre la culture cinématogra- phique accessible pour tous ! »

    Si la plupart des bénévoles connaissent le monde du handicap, ce n’est pas le cas d’Anne-Sophie Loisel. « J’ai simplement envie de me sentir utile, avoue la Dieppoise de 51 ans. J’ai trouvé la formation très perti- nente, même si rien ne remplace l’expérience. Je n’ai aucune appréhension. Pour moi, c’est de l’humain ! » Et la bénévole d’ajouter : « Je suis adhérente de DSN, je reconnais que je vais un peu moins au cinéma depuis le Covid. Donc, ce sera une autre raison d’y retourner ! ».

    Au programme

    Wall-E

    Film d’animation. L’histoire d’un petit robot à la recherche du grand amour sur Terre et dans l’espace... RV le 4 février à 14h30 à DSN. 4 €.

     

    Annie Colère

    Comédie dramatique. L’histoire d’Annie, enceinte accidentellement, qui rencontre le Mouvement pour la liberté de l’avortement. RV le 4 mars à 14h30 à DSN. 4€.

    © Photo : Pierre Leduc - service Communication Ville de Dieppe

  • Actualité 30/01/23

    Sébastien Jumel : « Cette réforme des retraites est injuste et indigne »

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    Alors qu’une mobilisation historiquement forte vient de démarrer dans la rue, le député Sébastien Jumel explique pourquoi il va combattre le projet du Gouvernement dès le 6 février lors de l’ouverture des débats à l’Assemblée nationale.

    Au plus mauvais moment

    « On a traversé la crise Covid qui a fait mal aux vies pendant deux ans. On est en pleine crise de l’énergie et les gens subissent l’uppercut de l’inflation. La guerre en Ukraine est un autre élément anxiogène pour les habitants. Ce n’est pas le moment de présenter une telle réforme. Le Gouvernement va tenter de dire que ce n’est pas le moment de bloquer le pays. Moi, je dis que c’est au contraire irresponsable de la part d’un président, qui décidément se comporte comme un enfant gâté, de faire ça alors que le pays a traversé trois crises majeures successives. »

    Injustifiable financièrement

    « Sur le fond, c’est quoi cette réforme ? C’est deux choses à la fois. C’est l’accélération de la réforme Touraine. C’est-à-dire qu’on accélère une loi, qui était déjà mauvaise, qui vise à dire qu’il faudra cotiser plus de trimestres pour avoir le droit à la retraite. Et en même temps, en plus de l’accélération de la réforme Touraine, on repousse l’âge de départ à 64 ans. Ce n’était pas nécessaire. Tous les arguments qui consistent à dire que, financièrement, il y avait urgence à faire cette réforme pour sauver le régime de retraite par répartition, sont faux. Le Comité d’orientation des retraites, lui-même, disait que dans trois scénarios possibles il y avait un retour à l’équilibre financier à moyen ou long terme. Ce n’est donc pas fondé financièrement. »

    L’espérance de vie en bonne santé baisse

    « Par ailleurs, cette réforme est injuste. Ils nous disent, pour la justifier, qu’on vit plus longtemps, et donc qu’on devrait travailler plus longtemps. Certes, on vit plus longtemps, mais l’espérance de vie en bonne santé, elle, régresse. Pour un homme, elle est d’à peine 64 ans, et pour une femme d’un peu plus de 65 ans. Et selon le métier qu’on a, les salariés modestes, les salariés avec des métiers pénibles, les gens qui ont un métier dur, leur espérance de vie en bonne santé est bien avant 64 ans. Ça veut dire qu’en repoussant l’âge, en augmentant le nombre de trimestres à cotiser, on percute de plein fouet ceux dont Emmanuel Macron avait dit qu’il faudra se souvenir, ceux que nos économies reconnaissent et rémunèrent si mal, ceux qui ont tenu le pays à bout de bras pendant la crise Covid comme les aides-soignantes, les aides à domicile, les gars qui travaillaient au quart dans les boîtes... »

    Des actifs plus productifs

    « Ils nous disent, il y a moins d’actifs par rapport au nombre de retraités, et donc comme ils sont moins nombreux, il faut trouver le moyen de financer les retraités de demain. D’accord, il y a moins d’actifs. Mais il ne faut pas nier le fait qu’aujourd’hui les actifs, pour des tas de raisons, ont une productivité qui est de 80 % supérieure à celle d’un salarié il y a vingt ou trente ans, en raison notamment des évolutions techniques. Ça veut dire qu’un salarié dans une entreprise aujourd’hui produit 80 % de richesse en plus que le salarié d’il y a vingt ans. L’argument sur le ratio actifs/ retraités ne tient donc pas non plus. »

    Les femmes parmi les grandes victimes

    « Les femmes vont être les premières vic- times de cette réforme. Beaucoup de femmes ont eu des carrières hachées, ont occupé des emplois à temps partiel, ont arrêté de travailler un moment pour s’occuper des enfants... Pour avoir le droit à une retraite pleine et entière, elles vont devoir cotiser 43 années et donc partir à 65/66/67 ans... Pour un grand nombre d’entre elles, ce serait 67 ans ! On est loin des 63 ans que laisse entendre le Gouvernement. »

    Des seniors au chômage

    « Le taux d’emploi des seniors est dramatique- ment bas en France. Un grand nombre est sans emploi. En allongeant la durée de cotisation, en retardant l’âge de départ à la retraite, on transfère sur l’assurance chômage le coût de la prise en charge des seniors. Et comme en même temps ils ont réformé l’assurance chômage et diminué la durée d’indemnisation, c’est la double peine pour les salariés concernés. Non seulement rien n’est mis en place pour favoriser leur emploi, mais on peut parier qu’ils seront assurément au chômage et encore moins bien indemnisés demain qu’hier. La seule réponse donnée sur l’emploi des seniors est un index (qui obligerait les entreprises de plus de 300 salariés à publier des indi- cateurs de leur taux d’emploi des plus de 55 ans, NDLR)... Pourquoi pas un numéro vert pendant qu’on y est... »

    Des retraités utiles à la société

    « Dans les alternatives que nous portons, nous, il y a la retraite à 60 ans à taux plein. La retraite, ce n’est pas une charge pour la société. C’est une vie de bonheur au service de la société. On n’a qu’à voir à Dieppe le nombre de gens investis dans la vie associa- tive. Ce sont des jeunes retraités. Plus de 50 % des dirigeants associatifs ont plus de 60 ans. Les élus locaux, c’est la même chose. Plus de 50 % des maires ruraux ont plus de 60 ans. La retraite, c’est aussi le temps consacré à sa famille, à ses enfants, à ses petits-enfants. Cette utilité sociale des retraités au service de la société tout entière, ça n’a pas de prix. Avec cette réforme, ils nous volent nos meilleures années. C’est-à-dire les années où on est en bonne santé, où on peut être utile aux siens, profiter de l’espace de liberté que la retraite offre, de ses loisirs, faire du sport, aller en vacances, mais c’est donc aussi du temps utile à la société tout entière. »

    Des pensions faussement revalorisées

    « Relever le niveau des pensions les plus basses comme le prévoit la réforme du Gouvernement à 85 % du Smic ? Non seulement ce n’est pas suffisant, mais en plus c’est un leurre. Potentiellement, 2 millions de Français pourraient prétendre à cette mesure. Or, seulement un tiers d’entre eux serait concerné par cette revalorisation, avec moins de 100 € d’augmentation de leur pension. Tous les autres, tous ceux qui sont à la retraite aujourd’hui, avec une pension inférieure à 1 200 €, parce qu’ils n’ont pas eu de carrière complète n’y auront pas droit. On fait croire aux gens, qui ont 600 à 900 € de retraite, qu’on a pris en compte leur situa- tion et qu’ils vont toucher demain 1 200 €. C’est faux. Un tiers de 2 millions de personnes, ça fait à peine 600 000 personnes. Et puis la loi qui les oblige à faire passer les retraites à 1 200 € a été votée depuis 2003. Nous dire maintenant, on va mettre en œuvre cette mesure “généreuse” alors que la loi l’obligeait déjà à le faire et que le Gourvernement ne l’a pas fait, c’est se moquer du monde. »

    La pénibilité pas vraiment reconnue

    « En 2019, Emmanuel Macron a fait voter une réforme où il a fait retirer quatre critères de pénibilité : les charges lourdes, les vibrations, les risques chimiques et les postures pénibles. Les mêmes qui ont retiré ces critères nous disent aujourd’hui qu’ils vont prendre en compte la pénibilité. Seuls 11 000 salariés bénéficient chaque année de ce compte pénibilité avec ces quatre critères en moins. C’est tellement une usine à gaz, c’est tellement compliqué, la médecine du travail est tellement laminée, que faire reconnaître sa pénibilité, c’est le parcours du combattant. Nous, nous proposons non seulement de mieux reconnaître la pénibilité d’un certain nombre de métiers, mais aussi de favoriser des départs anticipés à taux plein dès 55 ans. »

    Des salariés sacrifiés

    « La réforme va aussi toucher de plein fouet deux secteurs importants sur notre territoire avec la suppression de régimes spéciaux. Celui des électriciens-gaziers qui sont des milliers à l’échelle de la Seine-Maritime. Il n’est pas juste de dire : “Autant quelqu’un qui intervient sur les lignes haute tension ou travaille dans une centrale nucléaire c’est peut-être juste mais un ingénieur qui travaille dans un bureau, ce n’est pas normal qu’il bénéficie du même régime”. Tout cela est faux puisque, d’ores et déjà, même au sein d’EDF, l’ingénieur derrière un bureau ne bénéficie pas du même régime que le ligneur. La pénibilité des métiers est déjà intégrée. Et puis la fonction publique (territoriale, d’État et hospitalière) est percutée par cette réforme et par la mesure d’âge. On sait que celui qui est au balai, celui qui est couvreur, l’aide à domicile, l’Atsem, les agents de nos crèches, les corps ne suivent pas. Ils sont usés. Cette réforme ne prend pas en compte une réalité physique des métiers. Même si on le voulait, on ne peut pas. Le risque est grand que le nombre de gens en incapacité de travail augmente si on allonge la durée de cotisation. 6 % des ouvriers meurent aujourd’hui avant d’avoir le droit à la retraite. On sait que quand on augmente la durée de cotisation et qu’on décale l’âge de départ, on augmente la proportion de gens qui meurent avant le départ à la retraite. »

    Pourquoi pas un référendum ?

    « Le Gouvernement, avec cette réforme, veut économiser 14 milliards d’euros sur le dos des salariés et des retraités. En 2022, la crise n’a pas été la même pour tout le monde. Les 500 plus grosses fortunes ont dégagé 1000 milliards d’euros de superprofits. Si on taxait ces 500 plus grandes fortunes à hauteur de 2 %, ce qui n’est quand même pas révolutionnaire, ça rapporterait 20 milliards. On financerait ainsi 6 milliards de plus que ce que la réforme du Gouvernement rapporterait, sans percuter les Français et sans risquer un conflit dur. Il y a donc des solutions de financement qui pourraient nous épargner deux mois de conflit, de manifestations, de grèves, qui sont légitimes. Je rappelle que personne ne fait jamais grève pour le plaisir et que les salariés auraient bien voulu s’épargner ça si on ne les avait pas contraints. Le Président Macron préfère rassurer les marchés plutôt que rassurer les Français. Ça l’obnubile. La mobilisation, de grande ampleur, nous donne de la force pour nous battre à l’Assemblée, pour faire entrer la vraie vie dans l’hémicycle, faire rentrer cette réalité du travail. Et puis, puisque le Président a confiance dans le peuple français et comme cela engage leur vie, alors, chiche, faisons un référendum sur le sujet ! » 

    Propos recueillis par Stéphane Canu

    © Photo : Pierre Leduc - service Communication Ville de Dieppe 

  • Actualité 05/01/23

    Une aide pour acheter un vélo

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    La Ville de Dieppe a mis en place un soutien financier pour l’acquisition d’un vélo, électrique ou non, d'occasion ou neuf, depuis le 1er janvier 2023.

    Ainsi, une aide de 50 € est accessible à tous les habitants et une enveloppe de 100 € pourra être accordée, sous condition de ressources.

    Cette aide ne pourra être versée qu’une seule fois par an, par foyer dieppois, à une personne majeure, mais elle sera cumulable avec les autres aides comme celles du Département et de l’État. Cet accompagnement permettra le financement de tout type de vélo, qu’il soit classique, neuf, d’occasion ou à assistance électrique.

    Pour en bénéficier, il faudra justifier d’une facture chez un revendeur agréé installé sur le territoire de l’agglomération Dieppe-Maritime et remplir un formulaire disponible ici :

     

    Parallèlement, la Ville de Dieppe fera l’acquisition, début 2023, de modules de stationnement sécurisés, qui pourront accueillir six vélos chacun. Ils seront installés place Nationale, quai du Hâble et place des Grèves (Le Pollet).

    Photo : Pascal Diologent – Ville de Dieppe

  • Actualité 03/01/23

    La municipalité et le maire de Dieppe vous convient aux vœux, ce vendredi 6 janvier 2023

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    Vendredi 6 janvier 2023, à 18 heures. Nicolas Langlois, maire de Dieppe, et la municipalité vous invitent à les rejoindre, dans les salons de l’Hôtel de Ville, pour la traditionnelle cérémonie des vœux aux habitantes et habitants.

     

    « Je vais vous dire un secret.
    Dans la vie, il ne faut jamais

    lutter contre les hommes.
    Il faut lutter contre le système. »
    Nelson Mandela

     

    La cérémonie des vœux sera également diffusée en direct sur la page Facebook de la Ville de Dieppe, villedieppe.

    Voeux 2023

    Photographie : Guillaume Latorre
    Danseuses : Marie Vu Thanh, Angelle Sannier Moscato et Anaïs Bare, lors de la chorégraphie participative “Nos échos” réalisée les 18 et 19 août 2022 par les Dieppoises et les Dieppois, et la compagnie Ampleman Danse, à l’occasion des commémorations du 80e anniversaire du Raid du 19 août 1942
    Conception graphique : Ludwig Malbranque - Ville de Dieppe

  • Actualité 29/12/22

    Devenez acteur d’une séance inclusive

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    La Ville de Dieppe et Dieppe Scène Nationale recherchent des bénévoles pour accompagner des séances Relax, accessibles aux personnes dont le handicap (autisme, polyhandicaps, handicap intellectuel et cognitif, troubles psychiques, Alzheimer…) peut entraîner des comportements atypiques.

    Ces séances débuteront en février dans la grande salle de cinéma de DSN, quai Bérigny. Une fois tous les deux mois, le bénévole sera missionné pour accueillir, accompagner et informer le public (enfants, adultes en situation de handicap accompagnés par leur amis ou famille, et public non concerné).

    Une formation sera aussi proposée en janvier.

    Infos et inscription auprès de Nathalie Dumesnil, chargée de mission Handicap à la Ville de Dieppe, au 02 35 06 62 44 ou à nathalie.dumesnil@mairie-dieppe.fr

    Photo : Rawpixel.com - Freepik.com

  • Actualité 29/12/22

    Votre sapin de Noël recyclé

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    Comme chaque année, la Ville de Dieppe récupère les conifères naturels pour en faire des copeaux de bois.

     

    Depuis le premier week-end de janvier, vous pouvez les déposer dans les points de collecte de :

    • Neuville - parking près du parc paysager, rue Maupassant, parking près de l’église St-Aubin, rue de l’Avenir et rue de la Caravelle
    • Pollet - parking de l’église Notre-Dame des Grèves
    • Centre-ville - arrière de l’hôtel de ville, parvis de l’église St-Rémy et de DSN, place Berthelot
    • Janval - parking du square Leroux,
    • Bruyères - place Louis-Aragon
    • Val Druel – rue de la Convention

     

    Pour rappel, l’abandon de son sapin sur la voie publique est considéré comme un dépôt sauvage d’ordures et est donc passible d’une amende.

    Photo d'archive : Erwan Lesné

  • Actualité 24/12/22

    Graillon, le statuaire des classes populaires

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    Cent cinquante ans après sa disparition, le Musée de Dieppe rend hommage au sculpteur dieppois avec une exposition du 14 au 31 décembre, puis du 25 janvier au 26 février.

    Un témoignage précieux de la vie des habitants du quartier du Pollet et du port au XIXe siècle. Le Musée met à l’honneur Pierre-Adrien Graillon, artiste né au Pollet en 1807 et décédé à la cité d’Ango en 1872. « Son travail est déjà présenté dans le parcours permanent, indique Pauline Le Jossic, directrice adjointe du Musée et responsable de l’accueil des publics. Une salle lui est consacrée, attestant de son importance dans les collections du Musée. Ce nouvel accrochage offre une vision plus complète du travail de l’artiste dévoilant les différentes techniques qu’il a utilisées (dessin, peinture, sculpture, lithographie), les matériaux divers auxquels il s’est essayé (bois, terres crues et cuites, albâtre,encre de chine, mine de plomb...). »

    Scènes de vie quotidiennes

    Observateur attentif de la vie des quartiers du port et du Pollet, Graillon a recréé des instants de vie quoti- dienne. « Il dessine, peint, sculpte ce qu’il voit au quotidien, des gens qu’il connaît, souvent peu représentés : classes populaires (familles de pêcheurs, gens de mer, clients des auberges, des tavernes), populations marginalisées (mendiants), explique Pauline Le Jossic. Issu de la classe sociale qu’il représente, il peut être perçu comme un précurseur du réalisme. Ses représentations sont exemptes de misérabilisme et marquées souvent par une forme de tendresse pour ses sujets. » En parallèle de l’exposition temporaire, deux ateliers modelages en argile, dès 7 ans, sont animés par la sculptrice Odile Levigoureux le 28 décembre de 14h30 à 16h30 (tarifs: 6,60 € / 3,30 €).

    • Infos, tarifs et réservations au 02 35 06 61 99.

  • Actualité 23/12/22

    « Les demandeurs d'emploi ne sont pas des fainéants »

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    Des employeurs qui peinent à recruter et un taux de chômage demeurant élevé, notamment chez les jeunes. Pour Journal de bord, l'économiste Dominique Redor, chercheur associé au Centre d'étude de l'emploi et du travail (CNAM) et membres du collectif des Economistes atterrés, décrypte la situation dans l'édition de janvier. Retrouvez ici l'entretien complet accordé par l'économiste.

     

    De manière générale, le sujet des métiers en tension avec des difficultés pour recruter dans certains secteurs, n'est pas nouveau. Est-il réellement, comme semblent l'indiquer plusieurs études et témoignages, plus prégnant encore aujourd'hui ?

    Dominique Redor : « Parler de métiers en tension est insuffisant. C'est la situation en général du marché du travail qui a changé par rapport à il y a trois ans. La crise de l'emploi liée au Covid est résorbée notamment grâce aux mesures de chômage partiel qui ont été prises et qui ont été assez efficaces pour amortir le choc lié à la pandémie. Par ailleurs, il y a une forte demande d'emplois dans beaucoup de secteurs, les services comme l'aide à la personne, la restauration ou le bâtiment. D'un autre côté, si on regarde la population, c'est-à-dire ceux qui offrent leur travail (dans les st

    atistiques du travail, on parle de demandeurs d'emploi qui sont les chômeurs, et des offres d'emploi qui viennent des entreprises ; l'offre de travail en économie provient de la population), il existe de nombreux exclus du marché du travail. Ce sont des personnes qui ne recherchent plus d'emploi et qui ne sont pas considérés comme chômeurs. Néanmoins, ce sont des gens qui existent et qui pourraient travailler mais qui ne le font pas pour différentes raisons.

    Le marché du travail est moins défavorable aux chercheurs d'emploi qu'ils y a quelques années et les employeurs ont plus de difficultés à recruter dans de nombreux secteurs. Il y a certes des métiers en tension mais cela va au-delà. Les équilibres du marché du travail ont changé. »

    Les analyses du phénomène varient parfois même à l'extrême en caricaturant par exemple des demandeurs d'emploi qu'on jugerait "fainéants". Qu'en est-il selon vous ? Comment s'explique le fait que des employeurs ne parviennent pas à recruter ?

    D.R. : « Les demandeurs d'emploi ne sont pas des fainéants. Cela n'a aucun fondement. Il s'agit d'une fausse évidence qui circule dans certains médias et sur les réseaux sociaux, qui a l'avantage de la simplicité mais résulte d'une erreur de jugement. Il n'en reste pas moins que beaucoup d'employeurs ont du mal à recruter. Il y a deux raisons à ces difficultés de recrutement. La première : les employeurs sont de plus en plus exigeants sur les compétences et les capacités des personnes qu'elles désirent recruter, y-compris pour des emplois non qualifiés. C'est très important de se rendre compte que les exigences des employeurs sont légitimes. Ils veulent des gens qui soient adaptés aux nouvelles technologies et à la demande des clients et des consommateurs qui, elle-même, est de plus en plus exigeante. Mais ce phénomène touche l'ensemble des personnes qui travaillent, y-compris les non qualifiées. En effet, le numérique touche aujourd'hui tous les emplois. Pour les simples opérateurs ou livreurs, par exemple, il est nécessaire de disposer d'un savoir pour utiliser les bases de l'informatique, avec l'usage de téléphones mobiles, d'ordinateurs, de tablettes. Tous les moyens numériques multiples et variés qui sont utilisés à tous les niveaux du marché de l'emploi, y-compris les moins qualifiés. C'est un premier obstacle car un certain nombre de personnes ne sont pas formées, n'ont pas les capacités voire n'ont pas le matériel parce qu'on va parfois demander aux personnes de disposer elles-mêmes, de leur propre matériel. La deuxième difficulté pour obtenir un emploi, ce sont les horaires décalés et atypiques qui se multiplient. C'est un phénomène assez mal connu. L'économie numérique entraine également une organisation des horaires par les employeurs qui mettent en place du travail de nuit, du travail segmenté — on travaille 2 heures, on s'arrête 2 heures… Autre élément, les lieux de travail, par exemple les plateformes de stockage ou de livraison, sont souvent très éloignées des lieux d'habitation. On se heurte à la difficulté des transports. Ce sont des sites qui sont souvent mal desservis par les transports en commun, surtout pour les personnes qui viennent de quartiers défavorisés. Ce qui fait que quand on regarde les offres d'emploi sur le site de Pôle Emploi, on se rend compte qu'on demande à des gens, payés au Smic, de venir avec leurs propres moyens travailler dans des lieux excentrés. Aujourd'hui, avec le prix de l'essence, c'est compliqué. Sur le site de Pôle Emploi, il y a une base d'offres avec des centaines de milliers de propositions. On voit des choses étonnantes. On voit des offres proposant le Smic mais indiquant qu'il n'y a pas de moyen de transport et qu'il faut donc que les candidats aient leur propre véhicule pour venir travailler. C'est évidemment un obstacle très important pour un certain nombre de gens qui ont un problème de mobilité qui ne trouvent pas de réponse.

    La question de la formation est bien sûr un frein à l'emploi. Là encore, y-compris pour des emplois peu qualifiés ou non qualifiés, payés au Smic. Les insuffisances de formation sont dans deux domaines assez différents. Il y a toujours une demande des employeurs d'une formation générale, c'est-à-dire tout simplement être capable d'écrire, de lire en langue française, et les outils numériques demandent ce type de connaissance, des qualités pour rédiger des courtes notes. La deuxième chose, c'est la formation professionnelle spécialisée dans des domaines bien définis. Là aussi, pour des emplois non qualifiés on demande des formations spéciales, qui peuvent être des formations courtes qui ne sont pas effectives et auxquelles les demandeurs d'emploi n'ont toujours pas accès, en dépit des discours et de certains efforts qui ont été faits par Pôle Emploi mais qui sont insuffisants. Dans la plupart des emplois, aujourd'hui, on demande un permis de conduire. Ca peut paraître étonnant mais c'est encore plus qu'avant. Beaucoup d'emplois sont dans la logistique ou répondant à la demande pour les artisans. Or, beaucoup de gens, pour différentes raisons, n'ont pas le permis de conduire. On demande de cocher un certain nombre de cases dont le permis de conduire voire également posséder un véhicule personnel, pouvoir s'exprimer de façon élaborée en langue française aussi bien à l'écrit qu'à l'oral, on demande même de plus en plus, y-compris pour des emplois non qualifiés de travailler en anglais, de lire des documents en anglais, maîtriser les outils numériques… Quand vous additionnez tout ça, vous comprenez que les gens, ce n'est pas qu'ils ne veulent pas travailler, c'est que, tout simplement, ils n'ont pas accès au marché du travail. »

    Parfois l'idée est avancée que les aides de l'Etat pour les personnes sans emploi seraient plus intéressantes que le fait de percevoir un salaire. Qu'est-ce que cela révèle ? Les aides sont-elles réellement trop importantes ou au contraire le travail n'est-il pas suffisamment bien rémunéré ?

    D.R. : « Non les aides ne sont pas supérieures à un salaire, le plus souvent. Ce qui arrive, en revanche, c'est qu'il y a de plus en plus de jobs à quelques heures par semaine, des temps partiels subis. 5, 10, 15 heures par semaine, entrecoupées par des périodes d'arrêt. Dans ces cas-là, c'est forcément moins rémunérateur d'accepter un travail. Mais, même dans ces cas-là, il y a une disposition, la prime d'activité, qui est relativement efficace. C'est une aide sociale qui consiste à verser un complément de revenu aux travailleurs qui ont des jobs de cette nature, qui sont inférieurs au Smic. Non pas parce que la loi n'est pas respectée mais parce que les gens sont à temps partiel. C'est aussi un élément qui permet de faire en sorte, en faisant le calcul, de prendre un travail. Il ne faut pas considérer que cette question des personnes qui ne reprennent pas d'emploi est liée exclusivement au salaire. Il y a d'autres éléments qui permettent de l'expliquer et sur lesquels il faut intervenir si on veut améliorer la situation des gens qui cherchent un emploi.

    Il y a un autre argument qui est fort et qui démontre que les aides ne sont pas un obstacle à l'emploi, c'est la durée d'indemnisation du chômage. Elle est au maximum jusqu'à présent de 24 mois en France et va être abaissée à 18 mois. Il faut savoir que 50 % des chômeurs à Pôle Emploi ne perçoivent aucune indemnisation et il y en a assez peu qui ont accumulé suffisamment d'heures pour avoir droit à 24 mois. Il faut analyser le sort des personnes qui se trouvent en fin de droit. Que se passe-t-il après pour eux ? Ils basculent dans les revenus sociaux, comme le RSA, qui s'élève à 598 euros par mois. A l'échelle européenne, c'est faible. Des gens qui seraient convenablement indemnisés pendant un certain nombre de mois vont se retrouver cette seule ressource. Cette chute dans les revenus implique que de nombreux chômeurs vont tomber dans ce piège et cette précarité. Il y a différentes façons de compter les chômeurs, mais si on compte 3 millions de chômeurs enregistrés à Pôle Emploi, presque la moitié sont des chômeurs à long terme, et touchent 598 euros par mois. S'ils restent avec un si faible revenu, c'est parce qu'ils n'ont pas d'autre solution et n'ont pas dans leur CV les éléments nécessaires pour retrouver un emploi. On ne peut pas dire que cette situation soit enviable et que les gens restent par plaisir et par choix dans cette situation. »

     

    Le Smic est-il assez élevé en France ?

    D.R. : « Sur les salaires, il est certain qu'ils sont insuffisants pour certains emplois et notamment pour ceux des services à la personne, des aides-soignants, de la restauration, du bâtiment… Ce qu'il faut dire c'est que les salaires sont insuffisants pour un certain nombre de métiers et de professions qui sont souvent celles qui sont en tension mais c'est tout autant un problème de hiérarchie des salaires que de salaire en général. Il faudrait relever les salaires d'un certain nombre de personnes qui sont défavorisées sur le marché du travail. Mais ça ne se fait pas car il y a la question de savoir pour qui on va augmenter les salaires et pour qui on ne pas les augmenter.

    Le Smic n'est pas assez élevé en France, c'est une certitude. On arrive à un niveau du Smic qui est insuffisant. Il y a des arguments sociaux mais aussi économiques : Si le Smic est trop bas, ça favorise le recours aux petits boulots, c'est-à-dire qu'on va avoir de plus en plus d'emplois à faible qualification. Au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, où les dirigeants ne sont en général pas de grands défenseurs des salariés, il y a des augmentations du Smic assez importants, parce qu'ils se sont rendus compte que des salaires très faibles entrainaient le développement de mini-jobs sous-qualifiés, qui occupaient une partie de la population sur des emplois qui n'avaient, d'un point de vue économique, que très peu de valeur avec donc très peu de productivité. Les rentrées pour la protection sociale étaient trop faibles. Cela pose donc la question de la qualité des emplois. Par comparaison, dans les pays d'Europe du Nord, la qualité des emplois et la productivité sont bien plus élevés. Sur le plan social, les emplois sont mieux payés et sur le plan économique c'est plus efficace.

    De rehausser le Smic ne résoudra pas forcément le problème des gens qui sont éloignés du marché du travail. C'est au niveau des branches d'activité qu'on doit négocier. L'Etat employeur est à mettre au rang des priorités avec des problématiques comme celle des personnels dans les hôpitaux, notamment. Là aussi, pour le personnel hospitalier, ce n'est pas tant le salaire des médecins que des gens qui ont de plus faibles qualifications et qui, néanmoins, sont indispensables pour faire tourner les hôpitaux. »



    Faut-il être plus inquiet aujourd'hui pour les employeurs ou pour les demandeurs d'emploi ? Faut-il une réforme structurelle autour de cette question majeure de l'emploi ? Faut-il notamment redonner de la valeur au travail, revoir la question de la formation… ? La réforme de l'assurance chômage en projet au Gouvernement prend-elle une bonne orientation selon vous ?

    D.R. : « Il faut être inquiet pour les deux. Le marché du travail aujourd'hui dysfonctionne et les deux parties sont en difficulté. Certains rejettent la responsabilité sur les employeurs, d'autres et, notamment l'opinion publique, sur les chômeurs. C'est une erreur de les opposer. Malheureusement cette situation est préjudiciable pour des deux côtés du marché du travail. C'est inutile de rechercher une responsabilité, d'estimer que ce serait à cause des chômeurs fainéants ou des méchantes entreprises qui ne veulent pas recruter. C'est plus compliqué. La réponse est dans l'organisation du travail, le temps de travail, la formation…

    La réforme de l'assurance chômage n'aura aucun impact sur le retour à l'emploi. Le discours officiel, celui du Gouvernement est très simpliste. Est-ce simplement dans un but de communication ou le Gouvernement actuel a-t-il vraiment des idées simplistes en la matière ? C'est simpliste car on ne pose jamais la question « qui veut-on faire revenir à l'emploi ? » Les chômeurs déclarés inscrits à Pôle Emploi ne constituent qu'une partie des personnes en non emploi. Un chômeur, c'est quelqu'un qui n'a pas d'emploi, qui est disponible pour chercher un emploi et qui recherche. On est à 7 % de chômage et le Gouvernement voudrait aller à 5 %. Ce sont des gens qui n'ont, selon la définition du BIT (Bureau international du travail), pas travaillé une seule heure durant la semaine au cours de laquelle ils ont été interrogés. S'il s'agit de faire revenir à l'emploi des gens qui sont chômeurs, selon ce dernier critère, il va suffire qu'ils aient un job de quelques heures ou un mini-job pour atteindre les 5 % que s'est fixé le Gouvernement. Or, comme on agit uniquement sur l'indemnisation, ceux sur lesquels ont veut faire pression, ce sont ces chômeurs-là. Finalement, ça représente relativement peu de monde par rapport aux exclus du marché du travail. Ces exclus sont des gens en non emploi et qui sont 2 à 3 fois plus nombreux que les chômeurs indemnisés. De qui s'agit-il ? Il y a une catégorie qui sont les personnes ni en emploi, ni en études, ni en formation. On estime qu'ils sont un million en France. Ils sont hors statistiques puisque pour être chômeur, il faut rechercher un emploi. Ce sont des gens qui ne recherchent plus d'emploi et qui sont en-dehors des radars. C'est un défaut de notre système d'éducation. On sait qu'en France sur une génération, chaque année, il y a 750 000 personnes qui arrivent à l'âge de 20 ans, or 100 à 120 000 n'a aucune formation. C'est énorme et ces personnes-là sont les exclues du marché du travail qu'on va retrouver uniquement avec des revenus sociaux et qui ne cochent pas toutes les cases pour obtenir un emploi.

    L'Insee définit ces personnes qui sont dans le halo du chômage comme des chômeurs découragés, c'est-à-dire des personnes qui, en raison des difficultés d'accès au marché du travail, ont renoncé temporairement et attendent des circonstances plus favorables, quelques fois cela peut être très long, pour essayer de trouver un emploi. D'une manière générale, il y a un chiffre encore plus frappant. Quand on parle du chômage, on parle des actifs, ce sont ceux qui travaillent ou cherchent du travail entre 15 et 64 ans. Il y a donc aussi les inactifs. Ce sont ces chômeurs découragés mais aussi les personnes qui ont des pensions d'invalidité, des parents qui s'arrêtent pour s'occuper de leurs enfants. Le but n'est pas de réduire à zéro le nombre des inactifs. Dans ces inactifs, on saisit la masse des exclus. On peut les définir aussi par leur niveau de diplôme. Sur la classe d'âge 15 à 64 ans, parmi les gens qui ont un diplôme d'enseignement supérieur (bac +2, +3…), 85 % ont un emploi et 15 % qui sont chômeurs. 3 ou 4 % sont chômeurs et le reste c'est pour des raisons personnelles ou de santé. »

     

    La formation est donc l'une des clés…

    D.R. : « Quand on est diplômé on trouve du travail. Le diplôme est la meilleure assurance contre le chômage. On est dans les meilleures conditions. Quand on regarde les gens qui ont un niveau de qualification inférieur au bac, 50 % sont en non emploi, soit chômeurs soit inactifs. C'est là que la réforme du Gouvernement apparaît dérisoire car si on veut faire retourner les gens à l'emploi, il faut s'attaquer aux questions massives et donc à ces exclus. Pour les aider, il faut s'attaquer à la question de la formation, cela ne veut pas dire que tout le monde doit avoir un diplôme d'enseignement supérieur mais que tout le monde doit trouver une possibilité de formation qui corresponde à ses besoins, à ses capacités et aux emplois qui sont proposés sur le marché du travail. Ce n'est pas, aujourd'hui, l'orientation prise. Un deuxième levier, c'est la question du transport et le problème de lieux de résidence dont beaucoup sont éloignés des services publics. Côté employeur, la revalorisation de certaines professions et agir sur les conditions de travail devraient être à l'ordre du jour. Le problème n'est pas uniquement le salaire, les horaires, la compensation des horaires atypiques, que les gens qui travaillent la nuit avec des horaires hachés, segmentés, aient la possibilité de récupérer sous forme de temps ou d'argent, et agir sur l'organisation du travail. On est aujourd'hui dans une forme de taylorisme numérique, cela veut dire qu'avec les outils numériques, les employeurs ont les moyens de contrôler à la seconde même ce que font les gens pendant toute la durée de leur travail, on leur impose parfois alors des rythmes de travail insoutenables. »

    © Photos : Pascal Diologent et DR

     

    Dominique Redor

    Chercheur associé au Centre d'étude de l'emploi et du travail (Conservatoire national des arts et métiers)

    Membres des économistes atterrés

    Auteur de la note « Durcir le contrôle des chômeurs? Ils ne sont ni profiteurs, ni fraudeurs » à lire sur le site atterres.org.

  • Actualité 01/12/22

    Noël magique : le conte est bon !

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    Comme un film de Noël qui se déroule tout au long du mois. La Ville de Dieppe et ses nombreux partenaires associatifs proposent, avec Noël magique, de nombreux temps forts, pour la plupart gratuits, aux couleurs des fêtes de fin d’année. Illuminations dans tous les quartiers (qui démarrent le 8 décembre à 17heures), spectacles et animations dans les bibliothèques-ludothèques municipales, parades du Père Noël en centre-ville avec Vos belles boutiques, marchés de Noël d’associations, propositions culturelles... 

    « Parce que l’année a été compliquée pour les budgets des familles, avec l’explosion des tarifs des énergies et des factures à payer, ces fêtes de fin d’année sont le moment idéal pour souffler quelque peu, se ressour- cer auprès des siens et rêver avec ses enfants, décrypte le maire de Dieppe Nicolas Langlois. Nos services municipaux sont là justement, tout comme nos partenaires associatifs et nos centres sociaux, que nous subvention- nons, pour vous offrir quelques instants de féerie et de magie ! Profitez-en ! » . 

    Des cadeaux livrés avant Noël 

    Chacune des bib’-ludos du réseau D’Lire de la Ville propose une hotte d’animations gratuites.

    • Médiathèque Jean-Renoir

    Des séries TV sont présentées pour vous donner des idées cadeaux le 3 décembre dès 14 heures. Les Bébés livres (0/3 ans) se retrouvent le 7 décembre à 10h30. Un atelier créatif dès 7 ans est organisé le 7 décembre à
    15 heures. Une sélection d’albums et de jeux est à découvrir le 14 décembre à 14 heures. Ne ratez pas la séance de P’tit cinoch’ le 17 décembre à 15 heures ! Tapage, le partage de lectures spécial Noël, est programmé le 17 décembre à 16 heures. Un loto est organisé pour les enfants de 4 à 10 ans le 21 décembre à 15 heures. Écoutez des histoires de Noël (dès 5 ans) le 21 décembre à 15 heures.

    Spectacle Le magicien des couleurs : le 14 décembre à 16 heures à la médiathèque Jean- Renoir. Par la Cie des grandes z’oreilles à partir d’un grand classique de la littérature jeunesse. Dès 3 ans.

    • Bibliothèque-ludothèque Camille-Claudel

    Une histoire de Noël est racontée en musique via une flûte traversière (dès 5 ans) le 7 décembre à 15 heures. Les 3 et 10 décembre, à 15 heures, rendez-vous à la Petite ludique pour une sélection de jeux Noël. Les bébés (0/3 ans) s’éveillent aux livres et aux jeux le 14 décembre à 10h30. Un film de Noël est diffusé le 17 décembre à 15 heures. Un atelier créatif de Noël (dès 6 ans) se déroule le 19 décembre à 15 heures. Tout au long du mois, une sélection de documents à emprunter vous est proposée dans une pochette-surprise dont vous découvrez le contenu à la maison.

    Spectacle Tout et son contraire : le 21 décembre à 15 heures puis à 16 h 30 à la bib’-ludo Camille-Claudel. Par la Cie du Chat Bada à partir de jeux de mains, de musique, de chanson et de lectures musicales. Dès 3 ans.

    • Bibliothèque-ludothèque Le Drakkar

    Les bébés (0/3 ans) s’initient aux livres et jeux, avec des activités manuelles, le 15 décembre à 10 heures. Un P’tit cinoch’ (dès 6 ans) passe à l’écran le 17 décembre à 15 h 30. Un atelier créatif sur le thème de l’hiver (dès 5 ans) est proposé le 20 décembre à 14 h 30. Une bibliothécaire vous raconte une histoire spéciale Noël le 21 décembre à 15 h 30. Amusez-vous le 3 décembre à 15 h 30 (jeux de stratégie), le 7 décembre à 14h30 (Kapla), le 14 décembre à 14h30 (jeu Nouvelle contrée) et 24 décembre à 15 heures (Just dance sur console Xbox).

    Spectacle Les apprentis lutins : le 23 décembre à 15h15 au Drakkar. Par la Cie Cirk Triffis à partir d’une œuvre de littérature jeunesse, sur la thématique de Noël. Dès 2 ans.

    • Bibliothèque Jacques-Prévert et ludo Petit-Prévert 

    Une animation jeux de plateau se tient le 3 décembre à 14 h 30 (Prévert). Un après-midi jeux VR (réalité virtuelle) est mis en place pour les adultes le 16 décembre à 14 h 30.

    Spectacle Ti pouce et montagne : le 15 décembre à 9h30 puis à 10h30 à la Maison Jacques-Prévert. Par la Cie du Safran collectif. Pour les 0-3 ans.

    À noter que le Musée de Dieppe propose deux contes maritimes : Tout au fond de la mer le 22 décembre à 15 h 30 (durée : 30 minutes, dès 3 ans) et À marée haute le 29 décembre à 15 heures (durée : une heure, dès 7 ans). Gratuits. Contact : 02 35 06 61 99.

    ……………………

    Des parades magiques en centre-ville

    Du 3 au 24 décembre, Vos belles boutiques proposent des animations tous les mercredis et les week-ends dès 15 heures. L’association des commerçants renouvelle son opération Le Noël de Vos belles boutiques by José, avec le Puits-Salé comme lieu de rassemblement. Le Père Noël fait l’honneur de sa présence tous les mercredis et les week-ends après-midi, à partir de 15 heures, jusqu’au Réveillon de Noël. Le 3 décembre, Dédé le tourneur joue de l’orgue de barbarie. L’Orchestre de l’Harmonie municipale fait retentir ses sons de Noël le 10 décembre.
    Un atelier maquillage et sculpture de ballons est aussi au programme les 10 et 11 décembre. Le 14 décembre, du maquillage est proposé aux enfants suivi à 16 heures d’une parade avec les danseuses des Shym’s, des Magic Dance et des Mamies en folie, mais aussi avec le Père Noël dans sa calèche. À l’issue de cette parade, un chocolat est offert au Café des Tribunaux. 

    Le 17 décembre est animé par les danseurs du conservatoire Camille Saint-Saëns. Le même jour, les enfants peuvent se promener en calèche avec le Père Noël et ses mascottes (gratuit). Un temps fort cosplay — pratique japonaise qui consiste à revêtir un costume pour res- sembler à des personnages virtuels, en particulier à des personnages de mangas — est organisé le 21 décembre. Enfin, les enfants peuvent faire un petit tour de poney (payant) les 3, 11, 17, 18 et 24 décembre de 14 heures à 18 heures, sauf le 24 décembre de 11 heures à 17 heures. Plus d'infos sur la page Facebook Le Noël de Vos Belles Boutiques by José.

    ……………………

    Ne ratez pas : Marchés de Noël !

    Organisé le 4 décembre de 10 heures à 17 heures par l’association Les fleurs d’antan à l’Ehpad Jacques- Bonvoisin, 7 rue Huguette- Bonvoisin. Le Domaine des roches (73 av. Gambetta) organise le sien du 2 au 4 décembre. Infos sur la page Facebook “Domaine des Roches Dieppe”. Entrées libres.

    La Fête : Saint-Nicolas

    Des mandarines, des bonbons et du pain d’épices pour les enfants du Pollet. À l’initiative de l’association des Citoyens du Pollet, Saint-Nicolas et le père Fouettard défilent le 6 décembre après-midi avec un âne dans les rues du quartier. Gratuit.

    L’adresse : 44 quai Duquesne

    Comme chaque année, la boutique L’effet mer accueille le collectif de créateurs Ancre noire du 6 au 26 décembre, tous les jours de 9h30 à 19 heures. Cette 8e édition de la boutique éphémère des créateurs regroupe des artistes locaux : vente de bijoux, habits de mode, décoration, illustrations... Plus d'infos sur la page Facebook Ancre noire.

    L'animation : foire d'hiver

    Elle s’installe du 9 décembre jusqu’au 2 janvier sur le quai Henri IV. Retrouvez-y un manège enfantin, une pêche aux canards, un stand de tir, un parcours de jeux et d’autres surprises…

    Notez-le : repas de Noël

    Celui-ci est organisé par le centre social Mosaïque le 9 décembre à partir de 19 heures au restaurant scolaire Le Triangle de l’école Sonia-Delaunay. Inscription obligatoire, nombre de places limitées. Tarifs : 7 €/pers. (4 € moins de 12 ans). Contact : 02 35 06 67 35.

    Le chiffre : 44

    C’est le nombre d’exposants à l’événement Magie de Noël organisé par le Collectif Octobre rose dieppois (Cord76) les 10 et 11 décembre à l’Espace des congrès (bd de Verdun) : artisanat, art floral, auteurs, créations, produits locaux, maroquinerie, parfums, confiserie, vente de sapins... Petite restauration, ambiance musicale avec jeux et surprises ! Des repas sont proposés le samedi soir et le dimanche midi sur réservation au 06 78 40 89 30. Entrée libre, le samedi de 16 heures à 21 h 30 et le dimanche de 9 h 30 à 18 heures. Infos sur le groupe Facebook Cord 76.

    Le cadeau : colis des aînés

    Offerts par la Ville aux Dieppois de plus de 65 ans — exclusivement ceux qui sont déjà inscrits et qui ont reçu leur coupon au mois de septembre—, ils sont distribués le 10 décembre, de 8h30 à 12 heures, à l’hôtel de ville, la Maison Jacques-Prévert, la Maison de quartier Camille-Claudel, dans les résidences autonomie Jacques-Lemeunier, Marcel-Paul, Beau-Soleil, Beau-Site et à l’école Thomas. Contact : Accueil unique seniors au 02 32 14 55 70.

    D’autre part, les résidents des Ehpad Bonvoisin, du Château-Michel et Opad Ma Maison se voient offrir le 16 décembre un ballotin de chocolats, fabriqués par la Maison Canaple et offerts par la Ville.

    L’opération : stationnement gratuit

    Vos Belles Boutiques et Indigo instaurent le stationnement gratuit en centre-ville (zones verte et orange) à partir de 17 heures du 10 décembre au 31 décembre inclus.

    Le mot : aquagym

    Le service des Sports de la Ville organise une soirée spéciale Noël le 12 décembre de 19 h 15 à 20 heures à la piscine Auguste-Delaune. Inscriptions au 02 35 06 12 44 avant le 7 décembre. Places limitées à 50 personnes, déguisement conseillé. La soirée se poursuit avec un apéro dînatoire où il faut apporter sa contribution.

    Pensez-y : repas de Noël dans les résidences autonomie

    Ils ont lieu le 15 décembre à 11 h 30 à Beau-Soleil, Beau- Site, Jacques-Lemeunier, Marcel-Paul et Victor-Hugo. Tous les seniors qui habitent à proximité peuvent s’y inscrire auprès des hôtesses.

    Le concert 

    Celui de l'Ensemble vocal de Dieppe, au profit du Comité de sauvegarde des églises Saint-Jacques et Saint-Rémy, le 17 décembre à 20h30 à l'église Saint-Jacques. Tarifs : 15 € 10 € pour les moins de 18 ans). Billetterie à la Maison de la presse, Le Plumier et La Grande ourse. Infos : ensemblevocaldedieppe.fr.

    La parade : Pères Noël en mobylette

    Organisée le 17 décembre au départ de l’hôtel de ville à 9 h 30. L’après-midi, elle visite les quartiers avec distributions de bonbons.

    La date : 21 décembre

    C’est le jour de la célébration des fêtes de fin d’année pour l’association et le centre social neuvillais Oxygène. L’après-midi, la place Henri-Dunant est animée avec des ateliers, des spectacles... Puis, se tiennent, sous le chapiteau du parc paysager, une soirée dansante et un repas (1 €). Contact : 02 35 40 28 87.

    Participez : boîtes de Noël

    Cette année, c’est l’épicerie solidaire Le Petit Marché (Les Bruyères) qui porte cette initiative en faveur des personnes les plus démunies. Les boîtes à chaussures doivent contenir 5 éléments : un truc bon, un vêtement chaud, un loisir, un produit d’hygiène ou de beauté et un petit mot. Elles doivent être enveloppées d’un papier cadeau, en précisant dessus si elles sont destinées à un homme (H) ou à une femme (F). Jusqu’au 17 décembre, la collecte de ces boîtes s’effectue au Petit Marché (8 rue Auguste-Renoir imm. Balzac) le mercredi matin de 9 heures à 12 heures ou chez In’Form, place Nationale (2e étage du Rex), du lundi au vendredi entre 10 heures et 20 heures. La distribution auprès des personnes se fait la semaine avant Noël.

    Le lieu : Galerie anonyme

    Jusqu’au 24 décembre, elle propose œuvres originales, bijoux et livres d’artistes à petits prix,
    au 29 rue de la halle au blé.

    L’écogeste : recyclage des sapins de Noël

    Avant même de le décorer, il est bon de savoir ce que votre sapin peut devenir après les fêtes ! La Ville récupère les conifères pour en faire des copeaux de bois. Dès le premier week-end de janvier, déposez-les dans les points de collecte de Neuville (parking près du parc paysager, rue Maupassant, parking près de l’église St-Aubin, rue de l’Avenir et rue de la Caravelle), du Pollet (parking de l’église Notre-Dame des Grèves), du centre-ville (arrière de l’hôtel de ville, parvis de l’église St-Rémy et de DSN, place Berthelot), de Janval (parking du square Leroux), des Bruyères (place Louis- Aragon) et du Val Druel (rue de la Convention).

    © Photo : Pascal Diologent - service Communication de la Ville de Dieppe

  • Actualité 16/11/22

    Foire aux harengs 2022 : infos pratiques

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    La 52ᵉ foire aux harengs et à la coquille Saint-Jacques se déroulera les 19 et 20 novembre dans toute la ville, mais principalement sur le quai Henri IV et les rues adjacentes. Plusieurs milliers de visiteurs sont attendus pour cette fête qui sera, comme à chaque fois, l'événement le plus couru de la cité d'Ango.

     

    Vous le savez, la Foire aux harengs et à la coquille Saint-Jacques attirent de nombreux participants, des dieppois, mais également des habitants des communes avoisinantes ou de régions plus lointaines, voire de pays limitrophes... avec plus de 200 000 passages recensés en 2019 pour la 50e.

    Comme chaque année, des espaces de stationnement sont ouverts en complément de ceux existants*.

     

    Parking de l’hippodrome (Avenue de Bréauté, 76200 Dieppe), avec 400 places de camping-car et 20 places en PMR Stationnement possible jusqu'au lundi 21 novembre, 12 heures

    • 18 novembre, accueil de 8 h 30 à 20 heures, pas de navette
    • 19 novembre, accueil de 8 h 30 à 23 heures, avec navette gratuite toutes les 30 minutes environ de 9 heures à 22 h 30 (dernier départ du pont Ango)
    • 20 novembre, accueil de 8 h 30 à 20 h 30, avec navette gratuite toutes les 30 minutes environ de 9 heures à 19 heures (dernier départ du pont Ango)

     

    Parking d’Alpine (Avenue Vauban, 76200 Dieppe) avec 550 places pour véhicules légers Stationnement possible jusqu'au dimanche 20 novembre

    • 19 novembre, accueil de 8 h 30 à 23 heures, avec navette gratuite toutes les 30 minutes environ de 9 heures à 22 h 30 (dernier départ du pont Ango)
    • 20 novembre, accueil de 8 h 30 à 20 h 30, avec navette gratuite toutes les 30 minutes environ de 9 heures à 19 heures (dernier départ du pont Ango)

     

    Parking du stade Jean-Dasnias (Rue des Bruyères, 76550 Saint-Aubin-sur-Scie) avec 150 places de camping-car uniquement Stationnement possible jusqu'au lundi 21 novembre, 12 heures

    • 16 novembre, accueil de 14 heures à 20 heures, pas de navette**
    • 17 novembre, accueil de 8 h 30 à 20 heures, pas de navette**
    • 18 novembre, accueil de 8 h 30 à 20 heures, pas de navette**
    • 19 novembre, accueil de 8 h 30 à 23 heures pas de navette**
    • 20 novembre, accueil de 8 h 30 à 20 h 30, pas de navette**

     

    Parking PMR quai Duquesne (centre-ville, près de l'Office du tourisme), avec 33 places

    • Samedi 19 et dimanche 20 novembre

     

    À noter que le 19 novembre, la ligne N°14 de Deep mob circulera le samedi soir, voir les horaires.

    *À ceci s'ajoutent les deux aires de camping-car existantes (plus d'infos et tarifs) et les différents parkings, gratuits ou payants, et places de stationnement en voirie (parkings disponibles).

    ** Arrêt de bus à 10 minutes à pied, place Aragon. Itinéraire

    Photo d'archive : Pascal Diologent – Ville de Dieppe

  • Actualité 16/11/22

    Dieppe et la grande pêche à Terre-Neuve

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    Dans le cadre du 80ème anniversaire du Raid du 19 août 1942, le fonds ancien et local de la médiathèque Jean-Renoir vous propose une exposition intitulée Dieppe et la grande pêche à Terre-Neuve.

    Vous ne le savez peut-être pas mais jusqu'à la fin du 19ème siècle les dieppois se sont aventurés à Terre-Neuve pour pêcher la morue. C'est cette histoire plutôt méconnue qui sera retracée dans le parcours de l'exposition. Ainsi le fonds ancien et local a rassemblé des photos issues du Musée des pêcheries de Fécamp et de l'Arche (musée et archives de Saint-Pierre et Miquelon), mais aussi des objets prêtés par l'Estran-Cité de la mer illustrant la pêche à la morue. De son côté le fonds ancien et local ressort de ses archives des cartes anciennes de Terre-Neuve, des gravures anciennes...

    Cette exposition se tiendra dans le hall de la médiathèque du samedi 19 novembre 2022 au dimanche 8 janvier 2023 (du mardi au dimanche de 13h30 à 18 heures, le mercredi de 10h30 à 18 heures).

    Deux visites guidées de l'exposition vous sont proposées le samedi 19 novembre et le samedi 10 décembre à 16 heures ainsi que différentes animations pour petits et grands autour de l'exposition.
    De plus, en partenariat avec la Maison Jacques-Prévert, les micro-folies s'inviteront à la médiathèque du 6 au 10 décembre.

  • Actualité 10/11/22

    Harengs et coquilles chauds comme la braise !

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    La 52e Foire aux harengs et à la coquille Saint-Jacques de Dieppe va de nouveau enflammer le quai Henri IV et le quai du Hâble les 19 et 20 novembre. L'événement culinaire, festif et identitaire propose un programme pour le moins alléchant : Batucada, concours de décorticage de coquilles, déambulation lumineuse et musicale, parade de La Sirène à barbe, danses folkloriques ou country…

    De la culture

    Par ailleurs, les photographes du service Communication qui ont suivi la restauration du dernier canot polletais, proposent une expotions La Renaissance du Côte d'Albâtre, à voir sur le stand Ville tout au long de la Foire. De leur côté, Dieppe Ville d’art et d’histoire (DVAH) propose, via des visites guidées, de découvrir La ville aux quatre ports le 19 novembre à 10 heures (rendez-vous devant l’Office de tourisme) et Le Pont Colbert le 20 novembre à 10 heures puis le 28 novembre à 15 heures. Sur réservation au 02 35 06 62 79 ou 02 32 14 40 60. L’expo Activités maritimes traditionnelles est visible les 19 et 20 novembre à l'espace DVAH place Louis-Vitet (gratuit). Quant au Cercle de la voile de Dieppe, il organise sa régate des harengs tout le week-end. Infos : site cvdieppe.fr, 02 35 84 32 99 ou contact@cvdieppe.fr.

    Des produits dérivés

    Une coquille confondue dans une feuille d’érable pour rappeler les célébrations de l’Année Canada. Le tableau de l’artiste anglo-dieppoise Brigitte Pope (ci-contre) est l’affiche de la Foire. Durant le week-end, l’affiche est vendue au prix de 3€ sur le stand de la Ville et à l’Office de tourisme. Des produits dérivés y sont aussi accessibles : mug/tasse 2022 (6 €), sac en coton 2022 (6,50 €) et magnet 2022 (3,50 €).

     

  • Actualité 03/11/22

    Exposition participative : cerfs-volants, envols et vous !

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    L’œil du spectateur. À l’occasion du Festival international de cerf-volant, qui s'est tenu du 10 au 18 septembre sur les pelouses du front de mer de Dieppe, le service Communication de la Ville a lancé un concours photos amateur, avec comme thème cette 21e édition. Pas moins de 45 participants, dieppois ou touristes, ont concouru et ont envoyé leur instantané cervolistique. Tous originaux, de par leur angle de prise de vue, leur ambiance terrestre ou céleste, leurs couleurs, leur composition graphique, leur mouvement… Après délibération d'un jury, vingt clichés ont été sélectionnés pour être exposés dans le hall de l'hôtel de ville du 7 novembre au 2 décembre. De quoi revivre le Festival et admirer — cette fois-ci sans lever les yeux au ciel ! — l'objet volant naturellement identifié ! 

    • Exposition visible du 7 novembre au 2 décembre à l'hôtel de ville. HGoraires d'ouverture : lundi au jeudi de 8h30 à 12 heures puis de 13h30 à 17 heures ; vendredi de 8h30 à 17 heures ; 2e samedi du mois de 8h30 à 12 heures

    © Photo : Franck Lorin

  • Actualité 03/11/22

    Handicap : l’accessibilité sous les feux de la rampe 

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    Le site acceslibre.beta.gouv.fr recense les lieux adaptés aux personnes en situation de handicap. Selon la plateforme gouvernementale Accès libreil est estimé que près d’une personne sur 5 est ou sera un jour en situation de handicap au cours de sa vie. Avant de se déplacer et sortir, ces personnes doivent s’informer pour savoir si le lieu sera adapté. C’est pourquoi la Ville s’est emparée de ce site Internet qui permet de recenser l’accessibilité des lieux recevant du public (commerces, bâtiments publics, cabinets de santé...).

    Deux jeunes volontaires en service civique, Camille Aubin et Nathan Fawer (en photo dans le commerce de   ont été recrutés en août dernier par la mairie, et ce pour une durée de huit mois. Ces “ambassadeurs de l’accessibilité” ont pour mission d’aller à la rencontre des ERP, de les informer de l’existence du site Internet collaboratif et de les aider à faire le point sur les opportunités d’amélioration de leur accessibilité aux personnes en situation de handicap ou à mobilité réduite. 

    Un challenge lancé aux Dieppois du 7 au 13 novembre

    « Il ne s’agit pas de pointer du doigt la mise en conformité, ou non, de l’établissement! », précise Nathalie Dumesnil, chargée de mission handicap à la Ville. Les deux ambassadeurs ont déjà recensé et inscrit 267 lieux sur Accès libre alors qu’il est estimé plus de mille ERP à Dieppe. « Tous les Dieppois peuvent alimenter ou mettre à jour cette base de données, ajoute Nathalie Dumesnil. C’est pourquoi on lance un challenge à toute la population sur une semaine. Du 7 au 13 novembre, la personne qui aura rentré le plus de lieux sur le site sera récompensée ! » À vous de relever le défi ! 

    © Photo : Erwan Lesné

  • Actualité 03/11/22

    Assemblées de quartier : expressions libres du quotidien

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    Les habitants ont la parole lors des cinq Assemblées de quartier, du 14 novembre au 12 décembre. 
    Une question à poser, un avis à donner? N’hésitez pas, prenez le micro ! Incontournables instances de la démarche de Démocratie locale, lancées par la Ville en 2009, les Assemblées de quartier appellent les habitants des cinq quartiers à venir s’exprimer librement. Ouvertes à tous, ces réunions publiques donnent la possibilité de faire le point sur la vie quotidienne du quartier, de prendre connaissance des projets, d’apporter des idées et d’échanger, en direct, avec les élus — avec parmi eux le maire de Dieppe Nicolas Langlois ainsi que le député Sébastien Jumel — ou les techniciens de la Ville. 

    Des sujets propres à chaque quartier 

    Au préalable, dans chaque Assemblée de quartier, des grands dossiers sont brièvement présentés, et discutés le cas échéant, avec l’auditoire. Certains sujets sont communs aux cinq réunions comme l’École municipale des sports, la mutuelle communale, le Campus connecté quand d’autres sont plus sectorisés à l’instar d’un point sur la rénovation urbaine (Anru 2) à Neuville, la fusion des écoles Vauquelin-Michelet au Pollet, la problématique du zéro phyto à Janval... 

    Agenda

    • • 14 novembre à 18 heures à la salle Paul-Éluard : habitants du quartier Centre-ville/ Saint-Pierre/Vauban 
    • • 24 novembre à 18 heures à l'école Louis-Vauquelin : habitants du quartier Le Pollet/Côteaux/ Vieux-Neuville 
    • • 28 novembre à 18 heures à la Maison Jacques-Prévert : habitants du quartier Janval/ Caude-Côte/Les Bruyères 
    • • 5 décembre à 18 heures au restaurant scolaire Le Triangle : habitants du quartier Val Druel 
    • • 7 décembre à 18 heures au Drakkar : habitants du quartier Neuville nord/Puys 

     

    Contact : 02 35 06 61 24 ou 02 35 06 61 05, citoyennete@mairie-dieppe.fr

     

    © Photo d'archive Assemblée de quartier au Val Druel (2021) : Erwan Lesné

  • Actualité 03/11/22

    Mobilisation pour le maintien de la Caisse d’épargne de Janval 

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    Non à la fermeture de l'agence Caisse d'Épargne de Janval, non à la suppression du distributeur de billets ! Le maire de Dieppe Nicolas Langlois et le député Sébastien Jumel appellent les habitants à se rassembler le 22 novembre à 18 heures devant l’agence Caisse d’épargne du centre commercial du Belvédère.

    En effet, le 14 octobre dernier, le maire était informé de la perspective de la fermeture de l’agence de Janval au printemps 2023. Les élus avaient énoncé fermement leur désaccord. À l’issue de cet échange, la Caisse d’épargne s’était engagée à étudier d’autres pistes. Or, dans le même temps, un courrier a été adressé aux clients de l’agence les informant de sa fermeture le 10 novembre ! « C’estun service essentiel !, estiment- ils. Quand les services s’éloignent, les habitants renoncent à faire valoir leurs droits et à accomplir leurs démarches. » 

    • Signez la pétition en ligne via le site https://cutt.ly/HNWvBe7, en mairie de proximité Jacques-Prévert ou en mairie de Dieppe, et chez vos commerçants

    © Photo : Erwan Lesné

  • Actualité 03/11/22

    Violences aux femmes : des droits, pas des droites 

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    Avec la campagne Mois des droits, pas des droites, la Ville veut informer les victimes, sensibiliser le grand public et apporter des réponses aux violences. 

    Des chiffres qui font froid dans le dos. En 2021, en France, 113 femmes sont mortes, tuées par leur conjoint ou leur ex-conjoint (source: noustoutes.org). En 2019, le nombre de femmes majeures victimes de violences physiques et/ou sexuelles commises par leur conjoint ou ex-conjoint, est estimé à 213 000. De plus, 8 femmes victimes sur 10 déclarent avoir également été soumises à des atteintes psychologiques ou des agressions verbales. (source: rapport Cadre de vie et sécurité 2019 de l’Insee).

    Reconnues Grande cause nationale en 2018, les violences faites aux femmes sont toujours aussi prégnantes. Le 25 novembre est la Journée mondiale de la lutte contre les violences faites aux femmes. L’occasion pour la Ville de Dieppe de décli- ner une toute nouvelle campagne d’information et de sensibilisation à travers le Mois des droits, pas des droites. « Aujourd’hui, cette campagne est une nécessité, affirme Laëtitia Legrand, adjointe au Maire en charge de la lutte contre les discriminations. On parle de plus en plus de ces violences, mais les moyens mis à disposition par l’État pour lutter contre elles sont insuffisants. Cela fait partie du “prendre soin” de la politique municipale. » L’élue ajoute : « pendant les confinements, les tensions dans les couples se sont exacerbées. Il faut absolument faire de la prévention et apporter un soutien à ces femmes en danger. La parole des femmes se libère peu à peu. Les hommes prennent petit à petit leur part dans les combats pour l’égalité femme-homme et contre les violences faites aux femmes. C’est bien, mais il reste tant à faire... » 

    Commerces refuge, capuchons anti-GHB, Violentomètres 

    La Ville agit déjà face à ces situations de vio- lences avec, notamment, des signalements de situation via les agents des CCAS (Dieppe et Neuville) ou du Point d’accès au droit ou encore la mise à disposition d’un logement pour mettre à l’abri en urgence une mère et ses enfants. Avec le recrutement récent d’une chargée de mission “Handicap, égalité des chances et lutte contre les discriminations”, une campagne de communication est lancée ce mois-ci.

    Appuyée par un visuel fort, elle porte des actions, en particulier avec des commerçants par- tenaires, qui acceptent d’être lieux refuge pour des personnes harcelées ou victimes de violences dans la rue. Les commerçants participants sont identifiés par un sticker En danger ? Entrez ! collé sur leur vitrine. Sur ce sticker, un QR code renvoie vers les numéros d’urgence à composer. Ainsi, une victime peut se présenter dans un de ces pas- de-porte en interpellant le commerçant avec la phrase code J’ai rendez-vous avec Angela. 

    Ces mêmes commerçants vont se voir remettre une plaquette, qui rappelle les procédures d’intervention le cas échéant. En outre, la Ville va fournir à certains bars de la cité des capuchons de verre anti-GHB (appelé “drogue du violeur”). « Mais on ne travaille pas qu’avec les commerçants, précise Laëtitia Legrand. On a aussi un partenariat avec l’hôpital pour sensibiliser personnels et patients avec la distribution de violentomètres (NDLR : outil permettant de “mesurer” si une relation amoureuse est basée sur le consentement et ne comporte pas de violences). Ceux-ci seront également distribués dans les halls d’immeubles, les collèges, les lycées, les associations (Mission locale, Œuvre normande des mères...)... »

    Une marche pour les droits des femmes le 26 novembre

    Le Mois des droits, pas des droites se termine le 26 novembre avec l’organisation par l’association Nous toutes d’une marche et de l’inauguration d’un banc peint en rouge, en hommage aux femmes mortes de vio- lences, au parc François-Mitterrand. D’autre part, les Arcades de la Bourse seront illuminées en violet, couleur synonyme de lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes, le 25 novembre au soir. 

    © Photo : Erwan Lesné ; © Visuel : Samuel Gros

    ……………………

    Notez-les : les contacts en cas d’agression 

    • En cas d’urgence : appelez le 17, envoyez un SMS au 114 ou tchattez avec la Police via le site service-public.fr/cmi

    • Déposer plainte : commissariat de police au 02 35 52 83 50. 

    • Signaler une situation : Violences femmes infos au 39 19 ; Viols femmes infos au 0800059595; Aide aux victimes informations médiation (Avim) au 02 35 82 01 19 ; Enfance en danger au 119 ; personne en situation de handicap victime de violence au 01 40 47 06 06 ; application smartphone “App-Elles” ; tchat gratuit sur le site commentonsaime.fr

    • Trouver un hébergement d’urgence : Œuvre normande des mères (ONM) au 02 35 84 65 62. 

    • Obtenir des informations juridiques : Point d’accès aux droits de la Ville : 02 35 06 61 69 ; Centre d’information sur les droits des femmes et familles de Seine-Maritime : 02 35 63 99 99 ; Maison des avocats du Barreau de Dieppe : 02 35 04 95 26. 

    • Parler de sa situation : plateforme d’écoute de Terra Psy au 0 805 383 922 (n° vert)

  • Actualité 18/10/22

    Transmanche : DFDS toujours ancré à Dieppe-Newhaven

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    Un nouveau souffle pour la ligne. Le 17 octobre, le Syndicat mixte pour la promotion de l'activité Transmanche (SMPAT) a renouvelé la délégation de service public à DFDS pour les cinq prochaines années. Membres du SMPAT, le député Sébastien Jumel, le maire Nicolas Langlois et le vice-président de l'Agglomération Dieppe-Maritime Dominique Patrix ont réagi à cette décision : « Nous avons travaillé depuis plusieurs mois avec les élus départementaux en lien avec les salariés du transmanche et leurs représentants syndicaux, avec une seule boussole : la consolidation du lien historique entre Dieppe et Newhaven, son exemplarité sociale, sa qualité, sa sécurité et son efficacité économique. Ainsi, nous consolidons l’activité avec trois allers-retours en haute saison et deux en basse-saison, nous permettons aux transporteurs locaux dont la présence est renforcée par ce lien d’exercer leur activité. » 

    Les élus dieppois restent vigilants quant au dumping social, qui se répand sur les ferries à l’échelle européenne. « Nous allons poursuivre le travail pour que la loi française et européenne garantisse le maintien du pavillon français, lutte contre les pavillons de complaisance incompatibles avec la sécurité des passagers et des équipages. » Ils estiment, par ailleurs, nécessaire d'élargir le cercle des financeurs (Département de Seine-Maritime, Ville, Agglo, CCI Rouen-Métropole) à de nouveaux contributeurs comme la Région Normandie ou d'autres intercommunalités du territoire.

    Le communiqué des élus dieppois

    © Photo : Pascal Diologent

  • Actualité 23/09/22

    Hausse des prix de l'énergie : Protégez les familles et les services publics !

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    Gaz, électricité : +5 % d’annoncé pour les factures des familles, après 50 % d’augmentation ces dernières années. Pour les collectivités, ce serait des factures de + 300 % !

    Nicolas Langlois, maire de Dieppe, Maryline Fournier, maire d’Arques-La-Bataille, Michel Barbier, Maire d’Eu, Eddie Facque, maire de Floques, José Marchetti, maire d’Incheville, Chantal Benoit, Maire du Caule-Sainte-Beuve et Laurent Jacques, Maire du Tréport lancent un cri d'alarme et adressent une lettre ouverte à Emmanuel Macron, Président de la République.

    Parallèlement, une pétition est lancée, en ligne et sur papier, elle sera remise le 6 octobre prochain en préfecture de Seine-Maritime à Rouen, en compagnie des maires signataires (départ en bus à 10 heures, derrière l'hôtel de ville).

    Vous pouvez d'ores et déjà signer la pétition en ligne sur Change.org et venir à la rencontre de nos élus, ce samedi 24 septembre sur le marché de Dieppe.

    Votre signature compte !

    Pétition

    Cliquer pour agrandir

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    Mise en place du Prix Repère du gaz pour guider les consommateurs

    Les tarifs réglementés du gaz on été remplacés le 1er juillet 2023 par le Prix Repère du gaz. Ce dernier est publié chaque mois, décliné en prix moyen, bas et élevé. Ces différents prix ont été mis en place pour permettre aux usagers de mieux reconnaitre les fournisseurs de gaz les moins chers. Ces indices sont repris par la plupart des fournisseurs pour indexer leurs offres. On rappellera qu’il faut connaître sa zone tarifaire de gaz pour savoir quel prix du kilowattheure concerne son logement.

  • Actualité 12/09/22

    Les 500 ans de Saint-Rémy au chœur des Journées du Patrimoine

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    Les Journées européennes du patrimoine se tiennent le week-end des 17 et 18 septembre avec pour thème national “le patrimoine durable”. Les équipes de Dieppe Ville d’art et d’histoire (DVAH), du Musée de Dieppe, du Fonds ancien et local ainsi que tous les partenaires accueilleront le public pour leur transmettre leur passion du patrimoine dieppois.

    Cette année, l'accent dieppois est mis sur les 500 ans de l'église Saint-Rémy, qui a connu ces derniers mois d'importants travaux. Tout au long du week-end, des expositions, des concerts (Tribunes d'orgue et Chœur Saint-Rémi), mais aussi des visites guidées et une vente du timbre des 500 ans de l’église sont proposés au public. 

    Parmi les nombreux rendez-vous gratuits, à noter :

    - le concert artistique Vents interprété à plusieurs reprises par le collectif Rotule le week-end place du Moulin à vent 

    - le jeu Questions pour un champion spécial patrimoine dieppois le samedi à 18h30 à l'espace DVAH place Louis-Vitet

    - des visites guidées sur les liens avec le Canada et les traces de la Seconde Guerre mondiale (Raid du 19 août 1942, bunker à Puys, Mémorial du 19 août 1942…) sans oublier l'exposition Dieppe et le Canada, histoire et patrimoine à voir à DVAH place Louis-Vitet

    - la découverte de savoirs et savoir-faire des pontiers (pont Colbert), des agents municipaux des espaces verts (aux Serres municipales) ou des denteliers (Les dentelles)

    - des visites thématiques (Dieppe au Moyen-Âge, Il était une fois monstres et chimères, La ville aux quatre ports…)

    - une exposition de peintures er photographies de Françoise Meyer à la chapelle de Puys

     

    Au Musée de Dieppe, deux temps forts sont estampillés Année Canada : l'exposition Mounds and voids : from human to global scale du photographe canadien Edward Burtynsky avec trois visites guidées et le Concert des planètes (musique en Nouvelle-France au 17e et 18e siècle) salle Braque le dimanche à 14h30 puis 16h30. Par ailleurs, Les Amys du Vieux-Dieppe proposent à la salle padagogique De la vieille tour à l'église, les deux Saint-Rémy de Dieppe. L'association Terres et mers d'ivoire délivre le secret des ivoires dans la salle dédiée tout au long du week-end. Enfin, l'histoire des abords du château (Tout de vert : le château et son écrin) sera révélée le samedi et le dimanche à 14h15 et à 16h.

    • Lire et/ou télécharger le programme complet des Journées européennes du patrimoine 2022 à Dieppe

    © Photo de l'église Saint-Rémy : Pascal Diologent

  • Actualité 02/09/22

    Le cerf-volant de nouveau dans l'air du temps

    Pad 9565

    Il reprend son envol. Reporté deux années de suite en raison de la crise sanitaire, le Festival international de cerf-volant réinvestit le front de mer du 10 au 18 septembre.

    Il s’est fait attendre. Le Festival international de cerf-volant de Dieppe s’apprête à retrouver les pelouses du front de mer. Vingt-sept délégations venues de tous les continents seront présentes pour rallumer la flamme d’un rendez-vous né il y a quarante-deux ans et reporté deux années consécutives en raison de la crise sanitaire. « Ce festival, qui attire plus de 400 000 visiteurs, est unique au monde, rappelle Véronique Sénécal, adjointe au Maire en charge de la Culture. Les valeurs d’amitiés entre les peuples qu’il véhicule et qui en sont à l’origine ont plus que jamais du sens. »

    Envols commentés, conception de cerfs-volants artistiques, cerfs-volants sportifs ou de combat, couloirs du vent, ateliers pour enfants, expositions, spectacles, concerts, parade en centre-ville, vol de nuit… Le programme, gratuit, de cette 21e édition est alléchant. Pas de pays à l’honneur cette année, mais une grande thématique ou plutôt une grande cause : celle de la protection de la planète. Dieppe sera neuf jours d’affilée la capitale mondiale du cerf-volant. Neuf jours de féérie.

    • Télécharger/lire le programme du Festival de cerf-volant. Plus d'infos sur le site de Dieppe capitale du cerf-volant ou sur la page Facebook de l'asscoiation organisatrice

    © Photo (édition 2018) : Pascal Diologent

  • Actualité 01/09/22

    2 200 écoliers dieppois sur le chemin de la rentrée

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    L'heure de la reprise. Les 10 écoles maternelles et 10 écoles élémentaires de Dieppe ont accueilli leurs élèves ce matin. Cette rentrée des classes est toujours un moment fort en émotions pour les enfants, leurs parents, mais aussi pour la communauté éducative (enseignants, AESH, personnel des écoles…).

    Cette rentrée a revêtu un caractère encore plus symbolique au Pollet avec la nouvelle école Vauquelin (maternelle et élémentaire), fruit de la fusion entre l'école élémentaire Michelet et l'école maternelle Vauquelin. De nombreux aménagements y ont opérés durant l'été (réfectoire agrandi, classes repeintes, nouveaux jeux dans la cour…) pour recevoir 90 élèves polletais.

    Des travaux ont aussi été effectués dans d'autres écoles. (télécharger la plaquette : https://miniurl.be/r-4707). « Dans chaque école, nous prenons soin de l’environnement dans lequel grandissent les enfants, indique le maire Nicolas Langlois. Cela concourt aussi à mettre toutes les chances de réussite de leur côté. »

    Autre grande nouveauté : la mise en place, le 14 septembre, d'une École municipale des sports (Dieppe Sports) gratuite pour tous les enfants de 4 à 11 ans tous les mercredis matin à la Maison des sports pour les sports d’intérieur, sur les pelouses du front de mer pour les sports en extérieur et à la piscine Delaune pour les activités aquatiques.

    « Tous les autres dispositifs d’accompagnement à la réussite sont reconduits, ajoute le Maire. Nous finançons les fournitures scolaires de rentrée. Nous proposons des tarifs de cantine modérés et la gratuité pour un tiers des enfants. Des petits-déjeuners gratuits sont servis dans toutes les écoles maternelles. Les enfants qui connaissent des difficultés d’apprentissage peuvent bénéficier d’une aide à travers les dispositifs Fa si la dire, Déclic ou un Contrat d’accompagnement à la scolarité. Devant le succès rencontré l’an dernier, les parcours culturels qui impliquent les artistes du territoire sont désormais aussi proposés dans les crèches. Nous poursuivons nos efforts sur la scolarisation des moins de 3 ans pour favoriser la réussite des enfants dont les familles sont éloignées de la culture scolaire pour des raisons sociales, culturelles ou linguistiques. Enfin, nous poursuivons la déprécarisation des personnels des écoles qui prennent soin de nos enfants. »

    © Photos : Pierre Leduc

  • Actualité 26/08/22

    Des chantiers pour « prendre soin des habitants »

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    La traditionnelle visite des chantiers par les élus du conseil municipal s'est déroulée vendredi 26 août, en présence des techniciens de la Ville et de la presse locale. L'occasion de faire un tour d'horizon des chantiers achevés, en cours ou à venir cette année. En 2022, la collectivité a injecté 31,4 millions d'euros (dont 4,4 millions de report de 2021). Un haut niveau d'investissement qui vise à améliorer le cadre de vie des Dieppois : équipements municipaux (écoles, gymnases…), voirie, patrimoine (églises, Musée, Tourelles), logements (réhabilitations et constructions), espaces publics, espaces naturels…

    Parmi les chantiers emblématiques : la nouvelle école Vauquelin, entièrement réaménagée dans le cadre de la fusion des écoles Michelet-Vauquelin au Pollet ; la rénovation urbaine sur le Bel-Air/Coty à Neuville (abords de l'école Paul-Bert, modernisation du gymnase Robert-Vain…) ; la mise en accessibilité (Personnes à mobilité réduite) de bâtiments municipaux comme la Maison des sports, l'école Louis-de-Broglie, le gymnases Robert-Vain… ; la première phase de restauration terminée à l’église Saint-Rémy ; la réfection complète du bout du quai (place du Hâble et rue Houard).

    « Tous ces travaux portent une même exigence : faire de Dieppe une ville qui prend soin de tous ses habitants, a déclaré le maire Nicolas Langlois en préambule de la visite. Dieppe est en perpétuel mouvement, en perpétuelle modernisation. Tous les quartiers, tous les habitants méritent notre attention. Il n'y a pas de petits travaux, tous font le quotidien des habitants ! »

    • Lire et/ou télécharger la plaquette de la visite des chantiers.

    Photos : Erwan Lesné

  • Actualité 25/08/22

    Rendez-vous le dimanche 4 septembre pour fêter le sport et les associations dieppoises

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    Premier grand rendez-vous de la rentrée, la fête des assos et du sport représente la diversité dieppoise. Ainsi, ce sont plus de 140 structures qui ont accepté de nous rejoindre le dimanche 4 septembre à l’arrière de l’hôtel de ville et dans le parc François-Mitterrand, à partir de 10 heures.

     

    Il y en aura pour tous les goûts : associations culturelles, musicales, sportives, éducatives, de santé, solidaires, écocitoyennes, patriotiques ou de loisirs. Le moment idéal pour découvrir la richesse du tissu associatif dieppois et faire des choix d’activité pour ses enfants ou soi-même. De nombreuses animations vont ponctuer cette journée festive dès 10 heures.

     

    Vont se succéder à l’auditorium :

    • Les Magic dance à 10 heures, les Dynamiques (majorettes) à 11 h 45, la COFSGT (zumba) à 13 heures, l’Accordéon club de Dieppe à 13 h 30, Les Shym’s (majorettes) à 14 heures, Signe sans frontières à 14 h 15, les Crystal King’s (majorettes) à 14 h 30, les Dieppe country liners (danse) à 15 heures, Afrika musique à 15 h 30, Amal’gamme (chant) à 16 h et Tour d’ivoire (atelier artistique) à 16 h 30.

     

    Sur le plancher situé devant l’auditorium, des démonstrations sportives vont s’enchaîner :

    • Gymnastique (CSMG) à 10 h 30, lutte (Cercle de lutte dieppois) à 11 heures, gym acrobatique (Acro’ sport 76) à 13 h 30, kung-fu (Adam kung-fu) à 14 heures, full-contact à 14 h 30, aïkido (Aïkido club dieppois) à 15 heures et budo kaï (Zanshin budo kaï) à 15 h 30.

     

    L’accueil des nouveaux arrivants se déroulera à 10 h 30.

  • Actualité 25/08/22

    Corrida : attachez votre dossard !

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    Elle se déroulera le samedi 24 septembre, mais les inscriptions ont débuté ce mercredi 23 août. Un petit millier d’amateurs de course à pied est attendu pour arpenter l’incontournable parcours de 7 km qui passe devant le front de mer et en plein centre-ville.

     

    • La course adultes, ouverte à toutes les personnes nées avant 2009, est programmée au coucher de soleil à 19 heures.
    • Comme à l’accoutumée, elle est précédée de trois courses jeunes : à 17 heures celle des poussins nés entre 2012 et 2013 (1,5 km) ; à 17 h 30 celle des benjamins nés entre 2010 et 2011 (2 km) ; et à 18 heures celle des minimes nés entre 2008 et 2009 (2,5 km).
    • Nouveauté cette année, la tenue en amont d’une marche ouverte à tous, notamment aux seniors, à 15 h 30.

     

    Attention, il n’y a aucune inscription sur place, tout se fait par Internet, y compris la réception des pièces justificatives. Les dossards sont à retirer dès 15 heures sur le village de la course, situé sur les pelouses de la plage, au niveau de la traverse Dollard-Ménard. Il est également recommandé de se munir d’épingles pour attacher son dossard, tout en veillant à ne pas piquer la puce électronique. Organisées par le Stade dieppois, avec le concours de la Ville, ces courses ne prévoient aucun ravitaillement sur le parcours et se font au rythme des musiques qui retentissent tout au long de celui-ci. Si les courses enfants sont gratuites, la grande Corrida (le mot vient de la traduction en portugais du verbe courir) est accessible via une participation de 9 €.

    • Plus d'infos sur https://www.corridadedieppe.fr/inscriptions/.

  • Actualité 19/08/22

    Les cérémonies du 80e et actions culturelles du samedi 20 août

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    À l'occasion des commémorations du 80e anniversaire du Raid du 19 août 1942, la Ville de Dieppe et les communes avoisinantes seront au centre de l'attention, avec nombre d'hommages aux vétérans et à tous ceux tombés sur nos plages pendant l'Opération Jubilee, mais également des expositions, des projections, des dédicaces...

    Cérémonies officielles

    • 9 heures, Pourville-sur-Mer (Hautot-sur-Mer)
    • Cérémonie au mémorial de Pourville

     

    • 10 h 30, Varengeville-sur-Mer
    • Cérémonie au bunker

     

    • 11 heures, Sainte-Marguerite-sur-Mer
    • Cérémonies au monument de la plage et de la place du 4e Commando

     

    • 14 heures, Saint-Nicolas d’Aliermont
    • Cérémonie en souvenir des soldats prisonniers du Raid

     

    • 15 heures, Envermeu, monument de l’église
    • Cérémonie en souvenir des officiers prisonniers du Raid

     

    • 16 h 30, Berneval-Le-Grand, commune de Petit-Caux
    • Cérémonies à Notre-Dame de Liesse et à la stèle des Ciseaux

     

    Actions culturelles

     

    • 16 h 30, parvis de l’hôtel de ville jusqu'au front de mer de Dieppe
    • Parade musicale du Black Watch RHR of Canada et et du Normandy Highlands Pipe Band

     

    • 17 h 30, square du Canada
    • ''Dieppe 42, une mémoire tourmentée''
    • Projection sur écran géant du film documentaire réalisé par Laurent Mathieu

     

    • 19 heures, square du Canada
    • Nos échos

     

    Retrouvez le programme complet des cérémonies via ce lien : https://cutt.ly/qLI5Fxo
    Photo d'archive (2021) : Erwan Lesné – Ville de Dieppe

  • Actualité 19/08/22

    Les cérémonies du 80e et actions culturelles du vendredi 19 août

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    À l'occasion des commémorations du 80e anniversaire du Raid du 19 août 1942, la Ville de Dieppe et les communes avoisinantes seront au centre de l'attention, avec nombre d'hommages aux vétérans et à tous ceux tombés sur nos plages pendant l'Opération Jubilee, mais également des expositions, des projections, des dédicaces...

     

    Cérémonies officielles

    • 9 heures, cimetière militaire des canadiens aux Vertus
    • Cérémonie de dépôt de gerbes suivi de l’office religieux oecuménique
    • Accès libre à l’extérieur du cimetière

     

    • 10 h 30, plage de Puys, commune de Dieppe
    • Cérémonie de dépôt de gerbes au monument du Royal Regiment of Canada

     

    • 15 heures, square du Canada
    • Cérémonie canadienne du 19 août 1942
    • Accès libre avec écran géant, parking de La Rotonde

     

    Actions culturelles

     

    • 16 h 30, au niveau du square du Canada
    • Black Watch RHR of Canada et Normandy Highlands Pipe Band

     

    • 17 heures, La Rotonde, à côté du square du Canada
    • Nos échos

     

    • 20 h 30, Casino de Dieppe
    • Avant d’oublier
    • Représentation de Nicolas Paquin artiste, conteur, acteur, passeur de mémoire

     

    Retrouvez le programme complet des cérémonies via ce lien : https://cutt.ly/qLI5Fxo
    Photo d'archive (2021) : Erwan Lesné – Ville de Dieppe

  • Actualité 18/08/22

    Les cérémonies du 80e et actions culturelles du jeudi 18 août

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    À l'occasion des commémorations du 80e anniversaire du Raid du 19 août 1942, la Ville de Dieppe et les communes avoisinantes seront au centre de l'attention, avec nombre d'hommages aux vétérans et à tous ceux tombés sur nos plages pendant l'Opération Jubilee, mais également des expositions, des projections, des dédicaces...

     

    Cérémonies officielles

    • 11 heures, La Rotonde, front de mer
    • Cérémonies commémoratives de l’aviation et de la marine belge

     

    • 13 h 30, cimetière militaire des canadiens aux Vertus
    • Cérémonie ''Un soldat une fleur'' organisée par l’association ''Je me souviens''

     

    • 14 heures, cimetière militaire des canadiens aux Vertus
    • Cérémonie ''Appel des noms'' organisée par l’association ''Je me souviens''

     

    • 15 heures, aérodrome de Dieppe-Saint-Aubin-sur-Scie
    • Hommage aux aviateurs du Raid

     

    • 16 heures, cimetière de Saint-Aubin-le-Cauf
    • Hommage aux aviateurs canadiens du Raid
    • Accès sur site restreint

     

    • 16 heures, boulevard Maréchal Foch, front de mer
    • Inauguration du monument en mémoire des Rangers américains.
    • Cérémonie organisée par l’association franco-américaine ''Remembering Americans in Europe''

     

    • 18 heures, esplanade Notre-Dame de Bonsecours, sémaphore de Dieppe
    • Cérémonie nationale, hommage de l’État français aux Nations alliées, sous le haut patronage du Ministre des Armées de la France
    • Invitation particulière pour l’organisation des rangs protocolaires et l’accès aux zones réservées.
    • Accès libre derrière la chapelle, avec écran géant

     

    • 21 heures, cimetière militaire des canadiens aux Vertus
    • Cérémonie de la veillée
    • Gardes de recueillement
    • Accès libre à l’extérieur du cimetière

     

    Actions culturelles

    • 22 heures, sur le chemin du Cimetière des Vertus à Saint-Aubin-Sur-Scie
    • Nos échos (version courte)
    • Extrait du spectacle à l’issue de la cérémonie de la veillée

    Retrouvez le programme complet des cérémonies via ce lien : https://cutt.ly/qLI5Fxo
    Photo d'archive (2021) : Erwan Lesné – Ville de Dieppe

  • Actualité 17/08/22

    Les cérémonies du 80e et actions culturelles du mercredi 17 août

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    À l'occasion des commémorations du 80e anniversaire du Raid du 19 août 1942, la Ville de Dieppe et les communes avoisinantes seront au centre de l'attention, avec nombre d'hommages aux vétérans et à tous ceux tombés sur nos plages pendant l'Opération Jubilee, mais également des expositions, des projections, des dédicaces...

    Cérémonies officielles

    • 17 h 30, monument des marins disparus, jetée ouest
    • Cérémonie d’hommage de la communauté maritime avec dépôts de gerbes, organisée par le Cercle mers et marine de Dieppe

    Actions culturelles

    • 14 heures, sur le front de mer, au niveau de la terrasse du restaurant L'O2 mer
    • Mi’kmaq Heritage Actors
    • Spectacle d'un groupe autochtone canadien

     

    • 16 heures, place Henri Dunant, Neuville-lès-Dieppe
    • Nos échos (version courte)
    • Répétition publique et participative du spectacle itinérant (de la place Henri-Dunant au parc paysager) avec les habitants de Dieppe et la compagnie canadienne Ample Man Danse

     

    • 19 heures, salons de l’Hôtel de Ville
    • Passeurs d’histoire(s)
    • Projection du documentaire réalisé avec les jeunes collégiens de Dieppe et de Neuville-lès-Dieppe, les associations Foyer Duquesne et Oxygène

     

    Retrouvez le programme complet des cérémonies via ce lien : https://cutt.ly/qLI5Fxo
    Photo d'archive (2021) : Erwan Lesné – Ville de Dieppe